Islam et autres dérives

Le cheikh qui appelle au djihad aime tant le luxe!

Le salafiste Mohamed Al Arifi a été invité en 2013 au Bourget par l’UOIF (Union des organisations islamiques de France, proche des Frères musulmans). Ce Saoudien très populaire -5 mios d’adeptes sur Twitter chaque jour- bénit Ben Laden. Il s’est rendu célèbre par une fatwa intitulée « ouverture de la porte du dhihad par le mariage en Syrie » qui autorise les djihadistes à avoir des relations sexuelles avec des filles syriennes (ou tunisiennes, voir ce papier édifiant) pour quelques heures. 

C’est après voir appelé les jeunes musulmans à aller faire le djihad en Syrie que les choses se sont gâtées . Il est parti en avion 1^ère classe en vacances dans un hôtel de luxe à Londres.

Ça s'est su. Dans la presse arabe, cette attitude passe mal. Les adeptes du Net trouvent ça pas très net. Un journal saoudien surnomme le prêcheur «cheik des moudjahidines à Piccadilly». A la sortie d’un resto d’Oxford Street, il s’est fait aborder par deux inconnus. Tabassé, il s’est retrouvé à l’hôpital.

Des pervers ont aussi fait remarquer que des prédicateurs appelant au jihad se gardent bien d’y envoyer leurs enfants. L’un d’eux a planqué ses quatre rejetons à Ryad. http://www.islamisation.fr/, 25 juin

2,5 millions d’argent public pour une mosquée

A Tours, l’association qui porte un vaste projet de mosquée "algérienne" était présente au dernier congrès de la très réactionnaire UOIF. La Région Centre et la mairie de Tours n’en souhaitent pas moins lui offrir 2,5 mios d’euros. Pour contourner la loi de 1905, l’argument est habituel: on financera la « partie culturelle » (salles de classe, bureaux, etc.) et elle sera ouverte à tous. Ces locaux, les promoteurs de mosquées les aiment nombreux, ils permettent de formater les cerveaux à l’islamisme et d’augmenter d’autant la taille de la «mosquée».

Pour la partie cultuelle, l’association pourra utiliser le don de 800'000 euros de l’Algérie. Les imams des 900 mosquées «françaises» fédérées par la Grande mosquée de Paris sont des fonctionnaires de l’Algérie. Lisez le reste de ces informations, ce n’est pas nouveau, mais on blêmit à chaque fois devant ce degré d’irresponsabilité politique. Pour en savoir plus: 21 juin, http://www.islamisation.fr/, le site incontournable à qui veut savoir qui paie et à qui sont confiées les mosquées de France.

Mariage, burqa et veulerie

On n’a appris cette charmante histoire que ces derniers jours, le maire n'avait pas souhaité la divulguer.

Le 17 janvier une jeune femme demande à la mairie à se marier en burqa. La Ville explique aux futurs époux que la loi de 2008 l’interdit.

Discussions, négociations… peur des réactions musulmanes: le maire UMP Roger Pellenc propose au couple de se présenter un jour à 6h30 du matin pour convoler. Et d’expliquer à son conseil municipal: «Pour couper court à une affaire rocambolesque, j’ai accepté que ce mariage se fasse au petit matin de façon à ce que la mariée ne se trouve pas exposée au regard d’autrui sans burqa».

Canada : célébrons l’esclavage et l’excision

Le Canada fait aussi face à la progression de l’islam radical. L'Association des frères en Islam de Trois-Rivières (Québec) en témoigne sur Facebook où les femmes, l’Association des sœurs musulmanes de Trois-Rivières, ont également leur page.

Ces musulmans proposent des sermons du cheikh égyptien Al-Huwayni, un salafiste et l'un des prêcheurs vedettes de la chaîne égyptienne Al-Nas TV. En 2011, Al-Huwayni proposait de sortir l'Égypte du marasme économique en appliquant les méthodes de son prophète: conquêtes violentes, conversions forcées, butin de guerre (hommes, femmes, enfants et leurs biens), vente d'esclaves.

Quant à l'Association des sœurs musulmanes, elle cite à ses lectrices des sermons du prédicateur égyptien Mohammed Hassan. Il est décrit par le site Tunisie Numérique comme un «éminent porte-voix de l’excision des femmes».

Peu après la mise en ligne de ces informations par Poste de veille, les passages incriminées ont disparu de Facebook.

Je ne manquerai pas cette occasion de rappeler qu’une femme d’origine musulmane, Djemila Benhabib, que j’ai récemment interviewée, se bat avec une inébranlable volonté au Québec contre ces fous d’Allah.

 Qui a le droit d’entrer en Grande-Bretagne ?

Si vous êtes un non-musulman et que vous faites la déclaration suivante (celle de Robert Spencer, Américain et animateur du site Jihadwatch), le ministère de l’Intérieur vous interdira d'entrer au Royaume-Uni: «L’islam est une religion et un système de croyances qui ordonne la guerre contre les infidèles dans le but d’instaurer un modèle de société absolument incompatible avec la société occidentale. Cette réalité demeure largement inconnue en raison de la réticence des médias et du gouvernement à confronter les sources du terrorisme islamique».

En revanche, si vous êtes un musulman et que vous avez dit ce qui suit, vous pourrez entrer et faire une tournée de conférences: «La dévotion au djihad pour la cause d'Allah et le désir de répandre le sang, de fracasser des crânes et de couper des membres pour l’amour d’Allah et la défense de sa religion constituent incontestablement un honneur pour le croyant ». Poste de veille, 28 juin .

L’OCI à la tâche

Afin de faire en sorte que ce genre de décisions liberticides soient prises dans tous les pays occidentaux,  l’Organisation de la conférence islamique (OCI) vient d’ouvrir un bureau à Bruxelles. La suppression de la liberté d’expression à propos de l’islam est au programme. Le gouvernement américain et l'Union européenne sont très tentés, ils ont déjà donné des gages.

Le Bureau de l'OCI n’aura bien sûr pas une minute à consacrer aux persécutions des chrétiens, à la constestation de l’islam fanatique et assassin ou aux mutilations sexuelles qui concernent, ainsi que je l’ai démontré, au moins 300 millions de musulmans. 

Pensées

Je terminerai par une pensée reconnaissante à Philippe Karsenty qui vient après 13 ans de procédure de perdre en justice à propos de la mascarade du reportage sur le petit Al Dura (voir mon article).  Une autre pensée pour Esteban, victime d’une curée sans précédent de la presse française après la mort de Méric. Une presse qui parle d’« assassinat », de « meurtre avec préméditation » et réclame à corps et à cris l’interdiction de groupuscules censés menacer la France. Une presse pas du tout intéressée par le témoignage quasi immédiat d’un vigile du magasin, témoignage qu’illustrera  une vidéo trois semaines après le drame (pourquoi trois semaines?). Eh oui, l’agresseur n’était pas celui qu’on voulait. Et les « antifa » tant célébrés sont aussi très violents.