Hani Ramadan, un corbeau devenu renard (07/10/2014)

L’islamiste se forge une image de plus en plus respectable dans le Landerneau genevois. Une remarquablévolution e lorsque l’on sait à quelles convictions il adhère et quel enseignement il propage.

 

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L’habile communicateur

Le directeur du Centre islamique de Genève, Hani Ramadan, est un élève doué. Depuis ses démêlés dus à l’impossibilité de faire comprendre aux mécréants les bienfaits de la lapidation dans Le Monde, il a appris à communiquer.

Témoin ce récent discours posté sur son blog et puisé dans une bonbonnerie. Il est censé résumer le message de l’islam: «Opposer le dialogue au repli identitaire; la compréhension aux préjugés; le respect de la culture des autres aux dénigrements des autres qui ont une culture différente. Et tout simplement, la connaissance à l’ignorance.» C’est au titre de président de l’Union des organisations musulmanes de Genève (UOMG) que notre intégriste prêchait.

Hani Ramadan, par ailleurs membre de la «Plateforme interreligieuse de Genève» qui lui sert volontiers la soupe, ne rêve désormais que de dialogue, de partage et bien sûr de vivre ensemble. Et ce bonimenteur infatigable séduit. Il devient respectable. André Castella, Délégué genevois à la (non) intégration est devenu un allié indéfectible, la Tribune de Genève lui offre ses tribunes. Il peut prêcher à tous les râteliers sans se faire épingler: ceux de Nicolas Blancho comme ceux de ses fidèles amis de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF, Frères musulmans), et bien sûr dans divers médias complaisants.

Ses interlocuteurs de souche occidentale et laïque tiennent à oublier dans quelle bassine théologique notre imam puise ses convictions.

Les fondements religieux

Qu’il l’aimait Saïd, son père! Qu’il admire sa fidélité à Hassan son grand-père! Sur le site du Centre islamique de Genève (CIGE), un dithyrambe est consacré à la fois à Saïd Ramadan et à Hassan Al-Banna, sans que Hani Ramadan ne mentionne bien sûr la doctrine des Frères musulmans dont Al-Banna fut le fondateur et Saïd le fidèle colporteur. Rappelons la devise des Frères: «Dieu est notre but, Mahomet notre modèle, le Coran notre loi, le jihad notre chemin, le martyr notre désir.»

Depuis leur création, les Frères musulmans ont essaimé dans une bonne partie du monde. Le Pakistan par exemple a été un bastion de leur endoctrinement grâce à Saïd Ramadan. La confrérie, présente dans quelque 80 pays, a répandu sans trêve ce qu’Allah condamne fermement: la discorde, le désordre et la corruption sur terre.

Faire revivre la gloire de l’islam, restaurer le califat, appliquer la charia et faire en sorte que le drapeau de l’islam domine l’humanité, telles sont les tâches ambitieuses que se sont attribuées les Frères dans les années 30. On en constate aujourd’hui, grâce à des sponsors généreux, les merveilleuses réalisations. Manque de chance, l’Égypte les a éliminés du pouvoir juste au moment où ils commençaient à dessiner la théocratie rêvée. Et ça, Hani Ramadan ne nous le pardonne pas: «En soutenant par le silence le coup d’Etat militaire en Égypte, l’Occident renie les droits de l'homme les plus élémentaires.» La preuve par Al-Banna «qui toute sa vie a œuvré contre la tyrannie et l’oppression». Pour en avoir le cœur net, voir son programme en 50 thèses. Des thèses qui dessinent un genre de théocratie située entre Arabie saoudite et Iran, voire pire. A faire blêmir gouvernements et média. Mais trop sensibles pour en prendre connaissance, ils préfèrent persévérer dans leur rôle d’autruche.

Le journaliste Jean-Pierre Péroncel Hugoz qui observait les Frères dans leurs œuvres en Égypte, écrit en 1983 déjà: «La congrégation a aujourd'hui essaimé un peu partout dans le monde, y compris en Occident, y suivant les musulmans comme la Mafia les Siciliens». Eh oui, nos pays sont truffés de Frères musulmans qui à défaut de charia exhaustive ont participé à d’éclatantes réussites sexistes et rétrogrades. Ils contribuent grâce à de nombreux clones ramadanesques à la croissance d’une bigoterie frénétique. L’Occident et ses mœurs, sa marotte de vouloir être régi par des lois humaines sont cloués au pilori. Hani Ramadan n’hésite pas à utiliser ses sermons pour chauffer ses troupes. Par exemple ici, contre l’Occident en faveur du «pieux et intègre» Morsi.

Israël, indépassable Satan

«Consacré au service de Dieu le Centre Islamique se maintiendra au-dessus et à l'écart de toute considération ethnique ou territoriale, et ne se laissera jamais entraîner dans la moindre controverse de nature politique.» (Statuts, art. 3a)

 

Sans blague!

 

La Palestine était déjà une des causes favorites d’Al Banna. Pour le petit-fils, se rouler dans la fange hassan-el-banna.jpganti-israélienne est une volupté quotidienne. Le sujet le transporte d’autant plus que le Hamas, celui qui incarne à ses yeux la résistance, désire autant que lui instaurer un État islamo-fasciste. Comme l’affirment ses chers Frères musulmans de Gaza, il pense qu’Israël tire les ficelles de tous les maux de la planète… Surtout musulmane et sunnite.

Un exemple d’un de ses papiers de blog consacrés à l’Egypte :

Surtitre:                   LA BARBARIE SIONISTE A L’ŒUVRE

Titre:     529 membres des Frères musulmans condamnés à mort

Et son commentaire: «C’est bien évidemment l’État d’Israël et ses projets d’extension infinie, à Jérusalem et en Palestine occupée, qui représentent une malédiction pour l’ensemble de la région.(…) Tel est le monstre, qui se nourrit de l’usure, se gave de la misère des peuples, vole le bien d’autrui et détruit la liberté pour asseoir son infernale autorité.»

L’imam est très attentif à utiliser le terme «sioniste» et non «juif». Lorsqu’il se laisse un peu tenter par l’antisémitisme, c’est à «L’Évangile» qu’il l’attribue, qui parlerait des juifs comme de «serpents, race de vipère».(1)

«Non seulement le sionisme est une idéologie fondamentalement raciste et barbare, mais en plus, elle présente le danger de déshumaniser l’ensemble du monde dit civilisé qui admet passivement ses tueries à répétition, et même trouve le moyen de les cautionner au nom de la sécurité des colons.»

En regard, l’État Islamique a toute son indulgence. C’est que cet État a justement été créé par «l’alliance» américano-sioniste. Ses guerriers, au cerveau assez mou, ne sont que des marionnettes entre leurs mains. Le grand et le petit Satan ont tout comploté.

«Comment donc relancer l’élan de cette alliance maudite pour rendre à nouveau populaire l’image du Yankee libérateur, et effacer les affreux relents bestiaux dont nos âmes conservent le souvenir à l’évocation des prisons de Guantanamo?»

Un verbe fort qui ne s’applique jamais aux barbares musulmans auxquels d’ailleurs il ne viendrait pas à l’idée de créer un Guantanamo. Ils ont d’autres modèles et d’autres pratiques plus familières à l’imam. Il ne se scandalise donc pas un instant des atrocités de l’EI.

(Dans les citations ci-dessous, c’est moi qui mets en gras)

«Les mesures de rétorsions infligées par ce groupe (réd : l’EI) contre les populations chrétiennes minoritaires constituent un objet de scandale propice à rendre légitime une nouvelle ingérence…»  Qu’ont commis les chrétiens pour subir des «mesures de rétorsion», soit selon le dictionnaire, «l’action de répliquer par des procédés, des mesures analogues à celles dont quelqu'un s'est servi contre soi» ? Mystère.

«Ce groupe (réd: EI) a l’avantage d’attirer à lui toute une jeunesse pour qui le combat est devenu une nécessité.(…) En décimant ce groupe, on supprimera les collaborateurs dupes de cette machination, mais aussi tous ceux qui sont tombés dans le piège, malgré des intentions nobles en fait de résistance.»

Des combattants, des résistants qui se sont bêtement trompés de groupe. Le directeur de conscience ne peut pas leur en vouloir.

A propos du 11 Septembre, Hani Ramadan est un partisan acharné de la version conspirationniste. En biologie, il remet aussi en cause certaines thèses trop facilement admises: "Il serait sans doute temps de cesser de présenter comme une vérité absolue la théorie de l’évolution." Et de citer un «paléontologue», Mark Czarnecki : "(…) au contraire, les espèces apparaissent et disparaissent de manière soudaine, et cette anomalie va plutôt dans le sens de l’argument créationniste qui clame que chaque espèce a été créée par Dieu."

La charia, rien que la charia, toute la charia

Il y a une dizaine d’années, avant sa mue, Hani jouait plutôt le rôle du corbeau de la fable. Si fier de sa religion qu’il en décrivait les plus insoutenables facettes sans se faire prier. Aujourd’hui, le corbeau  devenu renard sait ce qu’il peut dire et à qui, notamment en matière de sanctions et de dictature islamiste. Examinons quelques-uns des croassements du corbeau, au début de notre siècle.

Rappelons-nous d’abord qu’en islam, l'obéissance de tous les citoyens musulmans «va d'abord à la loi divine (…) la charia (…) La liberté de chacun s'exprime dans les limites de la loi révélée.» (2) Une théocratie qui interdit la fornication, l’alcool, la prostitution, l’érotisme, l’homosexualité... et l’acte de quitter l’islam: «Si nul n'est contraint d'embrasser l'Islam, en revanche, la loi islamique est extrêmement sévère sur la question de l'apostasie, qui peut entraîner la peine de mort.»

L’imam rappelle aussi que «"dans le monde musulman, délaisser la prière, boire et forniquer sont des crimes pour lesquels la loi a prévu des châtiments." (3) Et ces paroles de Mahomet: «Il n'est pas licite de répandre le sang d'un musulman, sauf dans l'un de ces trois cas: une personne mariée qui commet l'adultère; une personne qui encourt le talion pour avoir tué; une personne qui abandonne sa religion, se séparant de sa communauté.»

Les droits humains? Volontiers, pour appliquer la charia

Frères muzz.jpgCertains lui font remarquer que tout cela s’oppose singulièrement à la Déclaration de droits de l’homme. C’est un malentendu. Les droits de l’homme ne peuvent en islam être pensés «indépendamment de la Révélation divine». Et pour être encore plus clair: « (…) la déclaration occidentale insiste particulièrement sur les droits humains; mais, élaborée par des hommes et pour les hommes, elle ne tient pas compte de leurs obligations vis-à-vis de leur créateur.» (3)

Mais pour défendre le foulard -et tant d’autres régressions-, la déclaration occidentale est si pratique! Ainsi, à Genève, le cas de Lucia Dahlab institutrice interdite de foulard en classe a été porté devant les tribunaux. La confirmation de l’interdiction a franchi toutes les étapes jusqu’à la Cour européenne des droits de l'homme en 2001.

Déclaration de Ramadan: "(…) cette prise de position est en contradiction avec les principes de tout Etat de droit, qui garantissent à chacun le libre exercice de la religion et la liberté de conscience. Cette décision va à l’encontre des droits de l’homme." (4) Et on sait ce qu’il pense de la liberté de quitter l’islam.

Lapidation & Cie

Dans sa tribune du Monde le 10 septembre 2002, ce professeur de l’école publique défend le principe de la lapidation par ses textes sacrés, notamment la «Sunna», paroles et actes de Mahomet (le Coran ne la mentionne pas). Puisque le prophète a ordonné plusieurs lapidations et que la charia la prescrit, un musulman ne peut condamner ce châtiment. Ramadan estime aussi que le sida est un châtiment divin.

Sur le site du Centre islamique de Genève, il donne quelques précisions: «(…) si la vision de la lapidation est dure et marque les esprits, les témoignages révèlent que la souffrance du condamné est rapidement abrégée: la pluie de pierres qui s’abat sur lui l’assomme en effet en quelques secondes.»

«La lapidation est terrible, tout comme le sida. Mais elle est à la mesure d’une faute qui est d’une gravité extrême. (…) En outre, la nature de la peine correspond à la nature du péché: la main coupée pour le vol, la lapidation pour le plaisir illégitime.» (5)

Dans La Miséricorde en islam, l’intellectuel( ?) relate plus longuement deux lapidations. Le premier condamné, un homme, avoue à Mahomet son péché d'adultère après avoir failli quatre fois de suite. «Dès lors, le Prophète ne pouvait qu'ordonner sa lapidation», commente le professeur.

Il fait un deuxième récit, celui d’une femme tombée enceinte de son amant. Après que le prophète dans sa grande miséricorde l’ait laissée accoucher, la condamnée arrive sur le lieu du supplice. Commentaire attendri de l'imam: «Il est émouvant de la voir se livrer avec l'enfant qui tient dans sa main un morceau de pain.»

Alors qu’il est en train de la bombarder de pierres, le bourreau se met à l’invectiver, et le miséricordieux prophète le sermonne. «Il est interdit, en conclut Ramadan, d'insulter le coupable. Après sa mort, on prie pour lui. Ce que fit le Prophète pour une femme qui s'était livrée après avoir accouché d'un enfant adultérin, et dont le repentir avait été sincère.»

L’égalité entre hommes et femmes? La charia la garantit si la femme se soumet à son mari, remplit son rôle de mère, accepte l’inégalité dans l’héritage, l’interdiction d’épouser un non-musulman, l’obligation de porter le voile, la virginité, la fidélité, l’interdiction d’avorter. Et la polygamie: Ramadan encense tant cette dernière que notre cœur se sent touché par la frustration qu’il doit ressentir dans un pays qui l’interdit.  

Et tout cela illustre «la perfection de la charia».

Femmes soumises et très couvertes

Le religieux rappelle que son prophète a ordonné que dès qu’une fille a ses règles, on ne doit plus voir «que son visage et ses mains». Et pourquoi? Parce que l’homme est plus faible que la femme. Il n’est donc pas intelligent, estime-t-il, d’exhiber les charmes féminins et d’«exiger des pauvres mortels qu’ils s’astreignent à une maîtrise sans défaillance de leurs pulsions sexuelles.» (6)

Impossible de commander la famille à deux: «Le bon sens nous dicte que deux présidents ne peuvent gouverner un pays sans entraîner celui-ci dans une guerre civile.» Hani Ramadan en fin psychologue nous apprend aussi que les hommes ont trois qualités qui fondent leur aptitude au pouvoir: force physique, puissance de travail et faculté de prendre des décisions mesurées. La femme, elle, ne possède qu'une «subtilité et une intuition fines (…) qui correspondent bien à sa fonction primordiale, élever des enfants». (2)

En islam toujours, le mari paie une dot à l’épouse. Hani Ramadan conseille aux femmes de ne pas en exagérer le montant. Et selon le religieux, l’épouse n'est censée chercher un emploi «qu'en cas de nécessité absolue».

En résumé, «l'Islam a en fait donné à la femme, tant sur le plan spirituel que sur le plan communautaire, un statut jamais égalé par aucune société humaine jusqu'à nos jours.»(2)

Sombres augures

Comment a-t-on pu se laisser entraîner dans nos démocraties dans des débats sur la lapidation, la polygamie, le niqab, des pratiques criminelles, etc.? Et non seulement des débats, mais des démissions sans fin face aux revendications de leurs auteurs? Nous en sommes arrivés à ce constat de Jacques Kupfer: «En terre d’Islam, on décapite. En Occident, on perd la tête.»

Désormais, ces meneurs d’âme et leurs militant(e)s helvétiques sont devenus encore plus dangereux. Ils ne se préoccupent plus seulement des activités musulmanes, mais choisissent de plus en plus de participer à des «activités citoyennes»: distributions de nourriture, vie communale, maisons de quartier, etc. Ils y imposent en douceur, mais avec détermination, leurs mœurs religieuses. J’en ai trouvé d’édifiants exemples dans «La Suisse des mosquées».

Hani Ramadan est donc président de l’Union des organisations musulmanes de Genève (UOMG) qui comprend aussi la Grande mosquée de Genève financée et gérée par l’Arabie saoudite, une association de musulmanes intégristes chouchoutées par les édiles meyrinois, la Ligue des musulmans de Suisse-Genève (Frères musulmans), etc.

Ces organismes et leurs imams rassemblent des milliers de musulmans et formatent des milliers d’enfants à leur bouillie moyenâgeuse.

Mais pourquoi la tolérante Genève se distinguerait-elle? Tout l’Occident continue à laisser les extrémistes de la charia faire leur miel de notre aveuglement. Ils pourraient tous nous dire avec délectation: «Nous vous envahissons par vos valeurs et nous vous dominerons par nos valeurs.»

 

Comment se débarrasser d’un islamiste? A prix d’or

1981 : Début de sa fonction d’enseignant au cycle d’orientation (adolescents).

1995 : Directeur du Centre islamique où il exerce la fonction d'imam.

1996: Réédition de «La Femme en islam» (paru en 1991)

1998: Interview de L’Hebdo sur ses convictions, suivie d’une pétition de protestation d’une cinquantaine de ses collègues et d’une remise à l’ordre du Département. (Notons qu’HR ne fait pas d’exception pour ses collègues : il ne sert pas la main des femmes.) Le Département de l’instruction publique (DIP) lui rappelle son devoir de réserve.

6 octobre 2000 : Rappel à l’ordre du DIP pour avoir défendu le djihad dans une manifestation qu'il a organisée.

10 septembre 2002 : Publication de «La charia incomprise» dans Le Monde.

5 février 2003 : Licenciement sur la base de l’enquête administrative de Bernard Bertossa. Son employeur  -le Canton de Genève- estime que ses opinions affichées publiquement, ses écrits et son activité d'imam sont incompatibles avec les valeurs de laïcité et de neutralité politique et religieuse. Il fait recours.

15 mars 2004. La Commission de recours du personnel enseignant de l’Instruction publique considère qu’il a exercé sa liberté d’expression en toute légalité, sans lien direct avec sa fonction. Elle annule la décision de licenciement, ordonne la réintégration de Hani Ramadan et demande au Conseil d’État de prendre une sanction moins lourde.

24 novembre 2004. Le Conseil d’État refuse de le réintégrer à son poste. Il supprime son salaire dès le 1er décembre.

17 mai 2005. La commission de recours ordonne la reprise du versement du salaire à compter du 1er décembre 2004. Le gouvernement doit obtempérer. HR n’est pas réaffecté à un poste d’enseignant, ni à aucun autre.

28 juin 2010. Un accord est conclu avec le Conseil d’État, Hani Ramadan quitte la fonction publique. Il perçoit une indemnité de départ de 255'000 francs et 90'000 francs de frais d’avocat. Ses cinq ans de salaire sans travail (700'000 francs) font grimper la facture à plus de 1,2 mio million de francs pour le contribuable.

 

(1) Conférence donnée à Bruxelles le 1er mai 2004, rapportée sur : https://www.youtube.com/watch?v=xLucNWWme94

(2) Citations tirées de La Femme en Islam, L’Islam et la dérive de l’Occident ou La Miséricorde en Islam.

(3) Le Matin, 10.10. 2002

(4) Le Courrier, 25.10.1996

(5) Version disparue du site, mais reproduite dans la Décision de la commission de recours du personnel enseignant de l’instruction publique.

(6) Tribune de Genève, 13.04.1995

 

Article paru d'abord dans Les Observateurs.

 

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