Le Centre islam de Fribourg donne un coup d’accélérateur à l’islamisation de la Suisse (31/08/2016)
A partir d’une recherche sur les besoins en formations continues, le Centre suisse islam et société dévoile ses plans. Faire participer les bénévoles des mosquées à des formations, accroître leurs compétences, les faire intervenir dans un maximum de secteurs de la société.
Le saviez-vous? Une kyrielle d’acteurs bénévoles s’activent dans les mosquées et leurs associations. Enseignants de langues, de religion, animateurs de groupes de jeunes, animatrices de groupes de femmes, dispensateurs de services divers (outils pour l’emploi, prise en charge des nouveaux réfugiés, médiations, etc.)
Ces ruches nous font déjà profiter de leurs activités. «Un certain nombre d’associations musulmanes (…) développent un catalogue d’activités orientées vers la société. Si initialement ces activités ont été pensées à l’attention des membres de leur communauté, aujourd’hui il n’est pas rare que des non musulmans bénéficient aussi du soutien des associations musulmanes.»
Ces activités sont données par «des bénévoles» dont le centre tente de faire oublier le caractère profondément religieux. La gomme passée, il s’agit d’enrichir leurs compétences et de professionnaliser leurs activités ou encore de les faire éclore en experts de l’islam qui interviendront dans un maximum de formations, celles du centre et de secteurs privés et publics.
Le Centre islam se charge avec avidité de cette tâche avec la complicité des autorités qui l’ont déjà adoubé. D’ailleurs, et quelle merveilleuse coïncidence: «Il existe dans ce domaine de la formation continue un degré élevé de correspondance entre les attentes des acteurs de l’État et les musulmans eux-mêmes.»
Une partie des collaborateurs du centre, dont deux de ses trois co-directeurs, Hansjörg Schmid et Serdar Kurnaz. Ce dernier est Turc, élevé en Allemagne. Il a suivi une formation d'imam, puis académique. A droite, Mallory Schneuwly Purdie.
Valoriser, former, infiltrer. Créer un bassin d’emplois où se désaltéreront tous ces acteurs religieux en invoquant leur contribution à notre société. Non seulement nous sommes priés de célébrer cette vaste opération d’islamisation, mais aussi de la financer!
«…ainsi une femme par exemple, après avoir été formée par le CSIS, pourrait s'engager ailleurs [dans la société] pour l'islam et les musulmans. Par exemple dans le travail auprès des jeunes. Chaque ville a un service consacré aux jeunes, par exemple dans la ville de X, dont la population est maintenant à majorité musulmane.»
Les imams radicaux se sont dissous
Un axiome implicite parcourt les 114 pages du rapport: les centres islamiques sont au service exclusif de l’intégration. Les imams sont des «bâtisseurs de ponts», des médiateurs, des religieux ouverts et progressistes. Un but majeur du centre est donc logiquement d'améliorer l'image de l'islam dans le grand public, de «déconstruire les préjugés», d'aider les religieux à mieux communiquer.
A l’horizon de ce riant paysage, pas un bouton de veste de Frère musulman, pas l’ombre d’un imam turc soumis à son islamiste sultan, pas la moindre babouche wahhabite. Tous les littéralistes, intégristes et autres radicaux se sont dissous comme par enchantement dans la grande marmite à former du CSIS.
Les associations musulmanes qui gèrent les mosquées sont déjà sollicitées dans les hôpitaux et les prisons. Cette modeste contribution est promise à une riche diversification dans les secteurs publics: «Les centres fédéraux de requérants d’asile et, dans une moindre mesure, les établissements médico-sociaux, les centres d’animation socioculturelle pour les adolescents et jeunes adultes ainsi que les écoles, deviennent aussi des secteurs publics concernés par la thématique.»
Une facette de la formation théologique des aumôniers de prison est étonnante. Le CSIS envisage l’enseignement d’un «fiqh facilité». Le fiqh (enseigné dans les grandes mosquées) désigne le droit positif issu de la charia, qui regroupe tous les aspects de la vie, religieux, politiques et privés, droit défini par les «juristes» de l’islam. Ceux-ci sont de grands pourvoyeurs de jurisprudences. Sommes-nous désormais dans un Etat de droitS?
Les deux auteurs principaux, le co-directeur du centre Hansjörg Schmid et sa collaboratrice Mallory Schneuwly Purdie, sont des habitués de la complaisance face aux mœurs musulmanes. Ainsi, les groupes de femmes sont qualifiés de «groupes de genre», ce qui fait souffler un vent de modernisme sur ce qui représente la régression sexiste majeure de ce siècle, observée dans la quasi-totalité des associations musulmanes. Les auteurs utilisent par ailleurs avec le plus grand naturel des termes inventés pour et par cette religion: islamologie, islamophobie, sciences islamiques…
Savoir que des services du ressort de l’État sont assurés par des dévots devrait inquiéter. Le CSIS au contraire veut les renforcer. Et pourquoi ne pas invoquer des activités religieuses pour reconnaitre des compétences récompensées au final par des diplômes permettant de travailler hors des associations islamiques?
Le rapport donne des exemples de cours organisés par les mosquées à l’intention des jeunes. Ceux-ci, obligés de vivre dans une société où ne domine pas la religion musulmane, planchent sur leur «condition de minoritaire» et leurs «défis dans une société laïque». Ils représentent un grand souci, car les tentations non islamiques sont légion. Leur organiser des loisirs modernes et des activités qui les empêchent de s’éloigner des associations et de l'islam est un grand objectif des formateurs.
Les associations traitent aussi d’un thème millénaire: les droits et devoirs de la femme en islam. Mais aussi «les enjeux» pour les pratiquantes d’aujourd’hui. On devine que l’un de ces enjeux est notre rejet des voiles et autres camouflages sexistes. Il faut que ça change! Une collaboratrice du CSIS porte le foulard, c’est déjà un argument fort, et le premier colloque du centre a confirmé que son but est de faire avaler le couvre-chef aux professionnels qui travaillent avec des musulmans.
De précieuses recrues: les réfugiés
Dans ces associations, les nouveaux réfugiés et les demandeurs d’asile sont accueillis à bras ouverts, ce qu’il faut encourager. Des ressortissants arabophones illettrés apprennent à lire et à écrire dans leur langue, se font traduire des documents administratifs. Certains centres islamiques deviennent «des lieux privilégiés de passage et d’apprentissage de certains flux de migrants», notamment Afghans et Somaliens. De réfugiés formés à l'islam discriminatoire et violent. Que leur dit-on de leur religion? Pas un mot sur la question.
Les associations sont «des partenaires de l'action sociale» et pour cela méritent aussi formations et financement. Ce qu’en termes choisis les auteurs expriment: «Les champs d’activité des organisations qui sont à l’interface de l’islam et de la société ne sont pas encore intégrés aux arrangements existants entre l’État et les communautés religieuses. Les bénévoles souhaitent une reconnaissance sociale de leur engagement et une stabilisation de leur activité, en particulier dans le domaine de l’action sociale. Il peut ainsi en ressortir de nouvelles perspectives professionnelles dotées de ressources financières propres, notamment dans les aumôneries hospitalières carcérales.»
Les associations se sentent surtout de l’appétit pour des formations telles que communication institutionnelle et médiatique (comment répondre aux vilains médias qui nous critiquent et convaincre nos autorités de notre ouverture), pédagogie, didactique des langues, gestion de conflits, management associatif. Toutes disciplines qui renforcerpnt l’efficacité des prosélytes et l’extension de l’islam.
Des imams surmenés
Les imams, surmenés, exercent «des arbitrages et de la médiation». Un interlocuteur des rapporteurs illustre: «…par exemple, j’ai reçu quatre personnes qui avaient des problèmes avec leurs épouses… » Autre exemple: des parents craignent que leurs enfants fréquentent des non musulmans; ou encore: l’école appelle un imam, car un père ne laisse pas sa fille participer à certaines activités.
Si on comprend bien, l’imam est appelé pour résoudre des problèmes issus de l’enseignement de sa doxa, et nous devrions nous prosterner pour le remercier. En espèces sonnantes et trébuchantes si possible. C’est une pilule que font passer habilement les auteurs: «Des activités de médiation (…) propulsent aussi parfois les imams au cœur des institutions suisses et soulignent leur rôle de passeur culturel et religieux.»
Les associations musulmanes forment elles aussi. Elles organisent des activités consacrées à la religion, à la langue arabe, à la formation à la toilette mortuaire, au rôle de guide de mosquée (accueil de groupes, souvent des classes d’écoliers), à l’approfondissement de la jurisprudence d’une école juridique. En quoi ces formations ne sont-elles «pas totalement religieuses»? Réponse des auteurs: parce qu’elles exigent une présence régulière, voire une validation du «cursus» par un examen.
Le rapport donne un exemple assez ébouriffant de ces formations internes, celles qui sont organisées par La Fondation islamique turque, la représentante du Ministère des affaires religieuses (Dinayet). Ses imams sont salariés de l’État d’Erdogan. Ils s’activent dans nos pays pour une période de cinq ans, sans connaissance préalable de la langue locale. Leur site est d’ailleurs en turc. Et le gouvernement d’Ankara finance le déplacement en Suisse de formateurs: théologiens, pédagogues, psychologues...
La fondation convoque chaque mois ses imams, une quarantaine, pour une journée de bilan. Différents thèmes sont au menu, dont l’éducation religieuse dans une société multiculturelle. Décidément, nos sociétés égalitaires posent beaucoup de problèmes aux pieux musulmans.
Ce contrôle par un pays dont le dirigeant considère l’assimilation comme un crime contre l’humanité n’émeut pas le moins du monde nos rapporteurs qui n’en disent pas un mot. Pas de problème non plus avec le Centre islamique suisse de Lausanne qu’ils décrivent brièvement, en fait l’un des plus radicaux de Suisse, dont le porte-parole et l’imam ne serrent pas la main des femmes et dont le site s’en prend régulièrement aux «mécréants».
Toute allusion à des questions critiques serait malvenue. Par exemple celles que se posent tant de citoyens en observant ce que produit l’islam aujourd’hui, dont l’épais nuage d’obscurantisme et de barbarie qui a atteint nos rivages. Les formateurs prennent d’ailleurs soin de préciser qu’ils traitent de l’islam «en Suisse», sans importation des «débats étrangers à l’islam et aux musulmans en Suisse». Et l’on nous donne comme exemple de cours «Qu'est-ce que la charia? Sens et portée du terme pour les musulmans en Europe.»
Le but: concocter aux musulmans une vie où des mœurs et conceptions du VIIe siècle sont promues et financées par notre société sans la moindre exigence. Un vaste projet de formations -sur deux ans- est déjà en cours, sponsorisé entre autres par le Service de lutte contre le racisme.
La Suisse généreuse et suicidaire, mais en douceur et sans douleur, s’attache ainsi à favoriser l’infiltration de l’islam et de ses prosélytes partout où une opportunité se profile.
Quant au peuple des mosquées, son avidité pour un encadrement religieux et identitaire est inépuisable. Est-il si déstabilisé par les libertés et l’ouverture dont il jouit dans nos sociétés?
P.S. Le CSIS co-organise un colloque sur la charité musulmane. Les intéressés peuvent s’inscrire sur le site www.lasuissenexistepas.ch On se demandera entre autres si la richesse est un obstacle au bien-être «dans ce monde et dans l’au-delà».
UN CENTRE ISLAM BIEN CONSEILLÉ
Le casting du Conseil consultatif du CSIS est éloquent. Parmi ses 14 membres:
Khaldoun Dia-Eddine, directeur scientifique du Musée des civilisations islamiques de La Chaux-de-Fonds. A participé activement à l’essor des Frères musulmans en Europe. Membre jusqu’en 2010 d’une organisation «charitable» au côté de Youssef Al-Qaradawi.
Dilek Ucak Ekinci de l’Association islamique turque, représentante officielle de la Diyanet. Membre du comité directeur de l’Association des organisations islamiques de Zurich (VIOZ), qui compte une brochette de fondamentalistes.
Rehan Neziri, imam de la mosquée de La Nouvelle Lune à Kreuzlingen. Elle fait partie de la radicale Union des imams albanais de Suisse (UIAS).
Rifaat Lenzin, théologienne musulmane et membre d’un «Think Tank interreligieux». Favorable aux prières des élèves musulmans dans les établissements scolaires. A longtemps appartenu au comité directeur du VIOZ.
Sakib Halilov: imam de la Communauté islamique bosniaque à Zürich-Schlieren. Il a été invité par le Département fédéral de l’intérieur avec le grand Mufti Husein Kavazovic de Bosnie-Herzégovine. Celui-ci a signé en février 2015 un vaste accord de coopération avec la Ligue islamique mondiale d’Arabie saoudite.
Pascal Gemperli, président de l’Union vaudoise des associations musulmanes, élu Vert. Favorable au foulard des femmes dans toutes les professions, au foulard des écolières, à l’autorisation de la burqa. Le conférencier préféré de ses congrès: Tariq Ramadan.
Montassar BenMrad, président de la Fédération des organisations islamiques de Suisse (FOIS) qui regroupe quelque 150 mosquées. Il veut «faire entendre la voix du milieu, la voix de la modération». Favorable lui aussi à tout le vestiaire islamique. A Arena (TV alémanique), il n’a pas réussi à condamner le refus des ados de Therwil de serrer la main de leur enseignante. Il a dû se reprendre.
Isabelle Chassot a dirigé le Département de l’instruction publique de Fribourg de 2002 à 2013. Parmi ses directives aux enseignants: congés pour des fêtes religieuses (trois à cinq jours), autorisation du burkini et du foulard des fillettes, souplesse dans les cours de sport durant le ramadan jusqu’à «dispenser les élèves qui suivent le jeûne». Les fêtes d’origine chrétienne «sont autorisées» (!), mais attention à «ne pas porter atteinte aux sentiments religieux des élèves d’autres confessions».
Michele Galizia, directeur du Service de lutte contre le racisme. On connait un des buts majeurs de ces mouvements: combattre les esprits critiques et imposer les revendications musulmanes.
09:00 | Tags : centre islam, formations continues, rapport | Lien permanent | Commentaires (16)
Commentaires
Et pourquoi "l'islam en Suisse" serait-il différent de l'islam en Algérie ou dans n'importe quel pays déjà totalement soumis? Une question de temps? Et pour bien savoir ce qui nous attend, lisez "2084" de Boualem Sansal qui présente de manière poétique une réalité décrite par "Un monde sans islam" d'Aquila... livre à lire absolument!
Écrit par : mia vossen | 31/08/2016
« Monsieur Bonhomme et les incendiaires est une comédie aux allures de tragédie. C’est une pièce visionnaire dans laquelle Frisch annonce déjà en 1958, ce qu’est devenu notre monde actuel sous la menace terroriste.
[…]
Cette comédie est un chef-d’œuvre universel qui nous renvoie à nous-mêmes. Nous sommes tous des Bonhomme : on préfère aller droit dans le mur plutôt que de changer. »
Source : https://www.alchimic.ch/
Écrit par : KANDEL | 31/08/2016
Génial, génial, … génial !
Mme Vallette, merci infiniment pour cet article dont NOUS (nous : les Hommes libres, … les Suisses de 1291) avons terriblement besoin.
La pieuvre islamique mortelle développe ses bras innombrables pour NOUS étouffer, … CHACUN de ses innombrables bras est mortifère (mortifère : qui cause la mort, létal) pour ce que NOUS sommes et voulons être.
Islam, … tolérance zéro, NOUS n’en voulons pas un milligramme (les nombreux pays musulmans de par le monde sont là pour ça ! GO HOME !).
MESDAMES, MESSIEURS, réveillez vous ! … il en va de la survie de l’Occident gréco-romano-judéo-chrétien, … le phare de l’humanité parce qu’Il est du côté du JUSTE, du VRAI, du BON et du BEAU.
Écrit par : KANDEL | 31/08/2016
Merci et vives félicitations à Mireille Vallette! Un magnifique travail, sérieux, fouillé, documenté, argumenté. Les prétendus "savants" musulmans pourraient en prendre de la graine, mais... ils en sont fondamentalement (c'est l'adverbe qui convient) incapables. Là où la raison est vue comme un crime de lèse-islam, une forme d'apostasie, aucune approche rationnelle n'est bien sûr possible! Pour confirmation, si besoin et temps à perdre, consulter le grotesque blog d'Hani Ramadan, concentré d'infantilisation, d'abêtissement, de rancœur et de stupidité de la part du prêcheur, de flagorneries de celle des quelques rares intervenants, comme la présidente du MUCIVI qui doit lui écrire à plat ventre sur son tapis de prière.
Un tel texte, comme d'autres du même niveau, devrait pouvoir être diffusé largement (communiqués de presse, courriers de lecteurs, aux "autorités" ou à ce qui en tient lieu, partis politiques de toutes tendances, pour rester dans le classique).
J'ignore si l'illuminé Vincent Strohbach (qui a son propre blog, hélas pour lui) et le détraqué Chuck Jones se manifesteront à ce propos. Mais comme l'a dit Michel Audiard par la bouche de Lino Venture, "les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît".
Bah, laissons ces trolls. Tant que nous n'aurons que de tels contradicteurs, nous n'aurons rien à craindre.
Écrit par : Normandy | 31/08/2016
L'Europe est vraiment dans une mauvaise passe et la victoire contre l'islam devient de plus en plus utopique au fur et à mesure que le temps passe et que les politiciens asservis, les bobos faux intellectuels, les lobbyistes et les eurocrates déroulent tous les tapis devant tous les immigrés mais surtout devant les musulmans. Et pourtant tous les peuples européens de souche sont conscients depuis longtemps du danger, mais sont complètement "ligotés" et impuissants quoiqu'ils disent ou fassent. Au contraire les dirigeants nationaux, les eurocrates, les immigrationistes, les élites et les médias se font un plaisir de nous rabaisser et de nous faire taire en nous traitant de racistes, fascistes, réactionnaires, intolérants, islamophobes et....
Pour ma part, je pensais que la Suisse restait l'Eden, le havre de paix, l'asile de tout homme humain, civilisé,cultivés, intègre.... Malheureusement, le mal a fait son chemin, hypocritement. En 2012, j'ai découvert la video de Monsieur Wagner sur la façon dont l'islam fait "sa guerre" et je constate aujourd'hui qu'il se passe exactement ce dont il avait parlé : l'implantation timide et en douceur des familles, puis la victimisation contre l'islamophobie qui entraîne la communautarisation des quartiers, et enfin le djihad et la violence aboutissant à la prise de pouvoir. Nous en sommes au 3e stade de l'envahissement et personne NE VEUT voir les choses.
Je vis en Rhône Alpes en France, un haut lieu de l'islamisme s'il en est (mosquée salafiste de Lyon qui règne en maître sur la région). Depuis des années nos villes et villages ont été infestés par ces gens sous prétexte de regroupement familial pour la plupart. Nous n'en pouvons plus de voir ces voilées, ces barbus en robe, ces racailles en bande agressant nos propres enfants dans les rues et à l'école, ces délinquants et bandits qui ne travaillent pas mais dealent, volent, violent et agressent.
Comment pourrons-nous jamais nous sortir de cette impasse ; nous sommes tellement "beniouioui" devant ces êtres néfastes.
Écrit par : Martine TIARD | 31/08/2016
C'est déjà, hélas, trop tard, mais nous devons nous en prendre qu'à nous-même. Eh oui, nous avons abandonné nos religions chrétiennes, nos églises sont vides, et comme la nature a horreur du vide, il y a une place immense pour l'Islam.
Écrit par : Pierre-Dominique Lorson | 31/08/2016
Ce qui me sidère c'est l'absence, dans ce débat, des Églises (catholique, réformée et judaïque). Leur passivité confine à la complaisance. Ne se rendent-elles pas compte qu'un fléau menace notre société? Nos hommes d'Église n'ont-ils donc pas lu le Coran? N'ont-ils pas la moindre idée de ce que contiennent les hadiths? N'ont-ils pas entendu parler de certaines fatwas? Ne se sentent-ils pas concernés par les attaques qui sont portées contre les valeurs judéo-chrétiennes? Le silence des Églises ne va pas tarder à se retourner contre elles. À quand une prise de conscience de leur part et des prises de position en conséquence?
Écrit par : Mario Jelmini | 31/08/2016
Les commentaires défaitistes comme " la victoire contre l'islam devient de plus en plus utopique " ou "C'est déjà, hélas, trop tard " sont non seulement contreproductifs, ils sont injustifiés. L'islam ne gagnera pas parce qu'il ne le peut pas, parce qu'il n'est pas viable dans le monde du XXIème siècle. Son retour vers ce VIIème siècle qu'il prend pour le futur entraînera son autodestruction. La complicité des aveugles, des niais, des lâches, des irresponsables et autres idiots utiles pourra certes prolonger une agonie délirante et agitée, elle n'empêchera pas le décès du malade. Et ce n'est pas une improbable résurgence du christianisme qui y contribuera: l'islam n'est pas une religion, c'est un totalitarisme. Comme les totalitarismes brun, noir et rouge du XXème siècle, le vert s'effondrera. En fait, il est en train de mourir de bêtise. Le plus vite sera le mieux. C'est pourquoi pessimisme, défaitisme et complexe d'infériorité ne sont ni de mise, ni pertinents.
Écrit par : Normandy | 01/09/2016
@ Normandy
Puisque vous affirmez que "l'islam ne gagnera pas parce qu'il ne le peut pas, parce qu'il n'est pas viable dans le monde du XXIème siècle. Son retour vers ce VIIème siècle qu'il prend pour le futur entraînera son autodestruction", alors le blog de Myriam est complètement inutile. Pas besoin de s'en faire! On peut dormir tranquille!
Or, dans votre commentaire de la veille, vous écriviez que le "texte [du billet de Myriam], comme d'autres du même niveau, devrait pouvoir être diffusé largement (communiqués de presse, courriers de lecteurs, aux "autorités" ou à ce qui en tient lieu, partis politiques de toutes tendances, pour rester dans le classique)." Pourquoi cette diffusion tous azimuts s'il n'y a rien d'autre à craindre que des trolls comme Vincent et Chuck?
Vous citez vous-même un autre troll, beaucoup plus sournois: Hani Ramadan.
Écrit par : Mario Jelmini | 01/09/2016
La Liberté gagnera sur l'obscurantisme islamique comme elle a gagné sur le nazisme et une partie du communisme. La Liberté et ses défenseurs ont toujours gagné, c'est l'histoire même dans le sang et les atrocités.
Mais avant, il faudra passer par les cases conflits, guerre, révoltes et massacres en tous genres. Combien de victimes au nom de l'islam dans le monde? Plus de 230 millions depuis mahomet selon des sources. 80 millions rien qu'en Inde. Dans cette région, l'islam est une bombe atomique en attente.
C'est bien dommage, tout cela à cause des politiciens, de certains industriels, du vatican, des monarchies de tous poils et d'une partie des croyants et non-croyants. Nous aurions pu faire autrement avec plus d'intelligence, plus de réactivité et moins de tolérance.
la route sera longue et difficile, nos enfants prendront certainement le relais pour essuyer nos erreurs. Mais bon, les monuments aux morts sont là pour célébrer la connerie humaine ou des politiciens corrompus, collabos, croyants parfois sincères viennent se prosterner avec des rituels religieux pour accompagner.
C'est bon pour l'mage et le bien paraître rien de plus.
Écrit par : Pierre NOËL | 01/09/2016
@Mario Jelmini
Le combattre comme Mireille le fait, permettra d'abattre l'islam plus vite et de limiter les dégâts. Plus tôt et plus nombreuses des voix comme la sienne se feront entendre, plus les oreilles se déboucheront et moins utiles seront les idiots, parce qu'il n'y a que ça qui permet à l'islam de croire qu'il peut progresser et à certains, de moins en moins nombreux, d'ignorer ou de minimiser le problème. Le quasi boycott dont Mireille est l'objet finira par se desserrer et la résistance au totalitarisme vert prendra le dessus. L'islam, tel qu'il est, n'a pas plus de chance de s'imposer au monde que le créationnisme de supplanter l'évolution, le boulier l'ordinateur, le tapis volant les satellites artificiels.
Quant aux deux trolls évoqués, c'est anecdotique et ne vaut bien sûr que pour leur nuisance sur ce blog. Hani Ramadan, lui, n'en est pas un troll puisqu'il n'y intervient pas. Il ne prêche qu'à ses ouailles. Sa "sournoiserie" est d'ailleurs si évidente qu'elle ne peut encore "tromper" que les médias et d'autres benêts "bienpensants". Son frangin est meilleur dialecticien et donc plus apte à manipuler les auditoires et à séduire certaines publics (notamment féminins!). Et on lui oppose rarement des contradicteurs compétents et rôdés.
Je l'ai écrit, "le plus vite sera le mieux". Je parlais bien sûr de la "neutralisation" de l'islam sans douter de l'issue. Une grande partie des musulmans y contribuera d'ailleurs.
Écrit par : Normandy | 02/09/2016
"Ce qui me sidère c'est l'absence de ce débat des églises"...
Il n'est pas difficile de comprendre que le combat mené par l'Islam pour imposer ses préceptes, les églises catholiques, judaïques savourent intérieurement cette confrontation avec le monde laïque.
Souvenez-vous lorsque l'église catholique était toute puissante, assurait le pouvoir temporel et intemporel, donnait des ordres aux politiciens, commandait ses fidèles à la baguette, amassait le plus d'argent possible et colonisait le monde.
Puis vint la loi de 1905, la séparation de l'Etat et de l'Eglise.
L'église se plia, et ne s'occupa plus que du pouvoir intemporel.
Croyez-vous que les religieux ne rêvent pas de leur pouvoir d'autrefois, de reconquérir leur autorité absolue? L'insidieuse conquête de l'islam les ravit, leur donne des ailes. Les religieux de l'Eglise catholique connaissent la manipulation. Ils patientent et attendent en silence le moment propice pour installer comme l'islam un pouvoir autoritaire.
Chaque matin je bénis les pères fondateurs de la laïcité, les créateurs de la loi de 1905. D'une part, nous vivons en paix et d'autre part la loi fait barrage aux guerres de religion. Croyez-moi lorsque l'islam aura conquis plus de pouvoir, leurs amis d'aujourd'hui, catholiques religieux et fidèles, s'opposeront farouchement à leur suprématie et ils se disputeront comme toujours en installant la terreur.
Écrit par : Noëlle Ribordy | 02/09/2016
Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen ont déjà commencé le travail pour les cathos purs et durs, Noëlle. Vous avez raison de dire que la loi de 1905 est en danger parce que plus le religieux s'impose dans les conscience plus son pouvoir devient grand pour remplacer les lois démocratique par un pouvoir théocratique.
La croyance est une affaire intime et personnelle. Nul ne peut forcer quelqu'un à croire en quelque chose mais le prosélytisme permet de trouver les personnes faibles d'esprit qui ont besoin de trouver un but à leur existence. Comme nous vivons dans un monde où tout s'achète...le paradis aussi...(si tu te convertis tous tes actes du passé te seront pardonnés par Allah...) beaucoup de gens suivent une ligne divine toute faite comme ils achètent un billet de vacances dans une agence touristique avec guides et visites imposées, hôtels imposés, timing imposés. Les baroudeurs, aventuriers et poètes sont en voie de disparition. Ils ne restent que les culs bénis et les dollars. Les peuples n'apprennent plus à devenir libres en conscience. Ils réapprennent à se conformer à des rois milliardaires qui ont autorité divine. Le wahhabisme ne vient pas de personnes pauvres et incultes. Il descend tout droit d'une famille devenue immensément riche grâce au contrat avec l'Amérique qui était en quelque sorte un deal de mafia: dollars + protection intégrale contre pétrole... On connaît la suite macabre. 100 ans de cette secte qui grandit chaque jour a permis la renaissance d'un islam rétrograde à l'échelle mondiale.
Écrit par : pachakmac | 03/09/2016
Mille fois bravo pour tous vos textes et vos recherches. J'ai lu tous vos livres. Ayant écrit parfois des commentaires à Hani Ramadan sur son blog, ce dernier ne les publie jamais, et je ne suis pas le seul dans ce cas: il ne publie que ceux qui lui sont favorables, alors qu'il affirme vouloir des commentaires pertinents et respectueux, ce qui est mon cas.
HR vient de publier un texte demandant l'interdiction des partis extrémistes islamophobes et fait référence à Hitler, qu'on a laissé faire sans broncher. Je lui ai rappelé que le Grand Mufti de Jérusalem avait été l'un des plus solides alliés d'Hitler, et que la politique des pays arabo-musulmans n'avait pas changé depuis lors: antisémitisme, antisionisme, terrorisme, sans parler de l'homophobie, de la misogynie, de la vision de monde moyenâgeuse de l'islam etc. HR oublie juste que Mein Kampf et le coran sont assez proches: le Grand Mufti et Hitler l'avaient bien compris, eux. Voilà donc HR, celui qui défend la lapidation, qui soutient par ailleurs ouvertement l'islamo-fasciste Erdogan, qui nous donne des leçons de démocratie. Et dire qu'il y a des fous qui seront d'accord avec lui....
Écrit par : Christian | 05/09/2016
On parle trop de cet Islam (voile burquini burka.... (signer www.interdiction-dissimuler-visage.ch )
Le problème est le même avec les homosexuels, ils veulent tout ! WWW.non-ce-droit-adoptio.ch
STOP AUX EXTRÊMES !
Écrit par : Sylvie RG | 05/09/2016
@ Normandy | 02/09/2016
Excellente réplique, j'y souscris entièrement!
Écrit par : Mario Jelmini | 07/09/2016