Le coeur palpitant des médias de gauche: illustrations par Le Matin Dimanche (16/04/2019)
Une analyse comme on pourrait en faire à peu près chaque jour. "Cenator" l'illustre par les Matin Dimanche des 7 et 14 avril. Ces positions sont bannies des médias.
Une Genevoise a quitté la Suisse pour rejoindre Daesh (notons que Daesh est la forme adoucie, jamais l’Etat islamique ne doit être nommé comme tel). Aujourd’hui, la malheureuse est coincée avec ses trois enfants dans des conditions cruelles et insalubres. Que fait la Suisse pour ces fillettes ? Rien, alors que la maman Sahila F. est née à Genève. Une Genevoise, élevée comme une vraie de vraie. Sa mère est Suissesse, sa grand-mère maternelle est « Française », son papa est musulman et selon toute probabilité il a passé toute sa vie aux crochets de la collectivité suisse (il boit, il est aujourd’hui diminué dans sa santé et vit en EMS). A 16 ans, elle est enceinte d’un Nord-Africain qui a neuf ans de plus qu’elle ! Elle accouche en 2006. Deux ans plus tard, elle fait un mariage religieux, puis le couple se sépare.
Sahila se réfugie dans un foyer à Onex avec sa fille. Selon l’auteur de l’article, elle reprend pied car elle participe à l’Escalade et trouve un emploi dans une organisation d’entraide chrétienne (!). Puis elle rencontre un Maghrébin de 32 ans (elle en a 20) et ils se mettent en ménage. Sahila F. commence un apprentissage (toute la famille est assistée de toute évidence, mais pas un mot à ce sujet). Elle a de très bonnes notes à l’école, mais cette période ne dure pas, car un deuxième enfant est en route. La grand-mère « française » prend le parti du premier mari de Sahila et leur relation sera rompue à cause de l’infidélité de Sahila. En 2013, elle se met en arrêt maladie pour burn-out. L’entreprise la licencie. Ses enfants ont 7 et 1 ans, son couple vacille. Sahila est au chômage, elle passe des heures sur internet. Fascinée par l’État islamique, elle entre en contact avec des islamistes en France et des djihadistes de Belgique. Elle se sépare de son deuxième mari musulman, vit de la manne publique et fréquente la mosquée du Petit-Saconnex. Elle ne paie plus son loyer, qui lui est versé par l’État, et elle vole les épargnes de son père (40'000 CHF, qui est le maximum autorisé pour une personne qui vit en EMS ). En août 2016, elle rejoint l’EI avec ses deux rejetons. Les deux pères accusent les autorités de ne pas avoir protégé les enfants.
Le troisième mari, un soldat de l’EI, est un Tunisien « de Genève », autre ex-membre de la mosquée du Petit-Saconnex. Une troisième enfant voit le jour. Peu après, le géniteur de ce dernier meurt durant les combats.
Ensuite, la journaliste du Matin Dimanche sanglote sur le sort cruel des 50'000 mineurs dans les camps, dont la moitié aurait moins de 5 ans. Les deux premiers maris de Sahila, qui vivent en Suisse, veulent aller chercher leurs enfants.
*****
Une page consacrée à Addolorata Marra
Photo très avantageuse. Marra, en posture de star, est pressentie comme papable, c’est une femme forte, calibrée pour être élue, elle a toutes les qualités pour le Conseil des États, en concurrence avec Roger Nordmann. Le vrai dilemme d’un suffrage à la mode soviétique !
Nous sommes devant le même scénario bien rodé que les journaleux de la Suisse romande avaient déjà déroulé pour Rebecca Ruiz : là aussi, ils offraient un choix entre la peste et le choléra, tout en diabolisant en chœur le malheureux candidat UDC. Cette fois, la RTS et la totalité de la presse expliquent aux Romands qu’ils peuvent choisir entre Roger Nordmann du PS et Ada Marra, PS-tendance extrême gauche, qui a le « plus » d’être une femme.
Aucun candidat de la droite à l’horizon, même pas de la droite des vendus.
Le 14 avril, une nouvelle page grand format est consacrée à Addolorata Marra, toujours aussi photoshoppée et maquillée, à côté de Roger Nordmann.
Titre : « Dans le duel Marra-Nordmann, Maillard choisit l’atout femme »
Un duel serré entre la vice-présidente du PS et le chef du groupe à Berne. Les deux candidats sont décrits comme des cadeaux du ciel, mais Marra a deux atouts imbattables en plus, elle est femme et immigrée.
*****
La protection des malades psychiques délinquantsEn matière de crétinerie déconstructiviste de gauche, une page est consacré le 14 avril à une mauvaise nouvelle dont la Suisse devrait s’inspirer pour des raisons humanitaires, idée venant tout droit du Québec et des USA :
« Le Québec évite la prison aux malades psychiques délinquants. Un exemple à suivre pour la Suisse ? »
Extrait : « Nous avons la possibilité d’adoucir la peine ou de lever l’accusation, à condition que la personne accepte un suivi thérapeutique. »
L’article explique qu’il y a plus de succès que d’échecs avec cette méthode douce.
Ndlr : Que deviennent les victimes de ces criminels ? C’est le cadet des soucis du journaliste et des juges québécois.
Dans nos médias, ceux qui veulent faire passer les intérêts de la collectivité avant le bien-être des criminels n’ont pas voix au chapitre et la justice suit cette tendance. Prenons l’exemple de l’assassin de Mireille Knoll, un jeune musulman multirécidiviste, qui a battu une dame juive de 85 ans, l’a brûlée, puis l’a jetée à moitié morte par la fenêtre du 4e étage.
Actuellement, le tueur en question suit une thérapie à la place de la prison car il a été jugé irresponsable.
*****
« Non, l’islam n’est pas homophobe »Même délire surréaliste au sujet d’un imam gay divorcé de passage à Genève, qui promeut l’égalité. Il explique que l’islam est réformable, qu’il n’est pas rigide pour deux sous.
Ndlr : Que ne feraient pas nos musulmans en étroite collaboration avec les journaleux romands pour nous faire avaler la pilule !
Article d’Aurélie Toninato : « L’Église protestante a organisé une soirée sur l’homophobie et la spiritualité. L’invité d’honneur bouscule les traditions au péril de sa vie. »
Fouille à l’entrée de l’église, sécurité renforcée pour cette conférence interreligieuse en présence de diverses personnalités : l’élue socialiste Sandrine Salerno, représentante de la ville de Genève ; l’organisateur de l’antenne LGBT du LAB ; une communauté de jeunes de l’Église protestante de Genève ; l’invité d’honneur, l’imam homosexuel Ludovic-Mohamed Zahed ; la pasteure Caroline Costa, intervenante qui expose sa théorie : « il faut relativiser le poids qu’on met sur les textes » ; et l’immanquable Hafid Ouardiri de Genève*, créateur de la Fondation de l’Entre-connaissance et membre de la Plateforme interreligieuse (ndlr : toutes deux subventionnées), qui apprend aux invités que l’islam est une religion de tolérance qu’il suffirait de dépoussiérer un peu. La journaliste écrit : «L’islam n’est pas rigide.»
Hafid Ouardiri : « Il y a encore beaucoup de positions conservatrices, reconnait-il. Mais celles-ci se retrouvent également dans les autres religions et spiritualités. »
* https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/suisse-la-reaction...
L’article porte aussi en exergue, en caractères gras, cette citation de Ludo l’imam :
« Aucune loi dans l’Empire ottoman, le plus grand califat musulman du monde, ne condamnait l’homosexualité ! Il y a eu une inversion des valeurs au moment où l’Empire Ottoman s'est effondré. »
Mais oui, Ludo-Mohamed, la mise en esclavage brutale des femmes comme esclaves sexuelles pour les harems, l’arrachage des enfants à leurs parents pour en faire des janissaires, la castration et le massacre des hommes, les pillages, les décapitations, toutes sortes d’exactions horribles que l’Empire ottoman a pratiqué, voilà des « valeurs » qui étaient un grand progrès pour l’humanité ! La population de la Hongrie, par exemple, est tombée à un tiers de ce qu’elle était avant la conquête.
Mais à cause de ces sales kouffars, l’Empire s’est effondré et les « valeurs » se sont inversées. Et la marmotte, Ludo-Mohamed, elle emballait aussi le loukoum dans le papier d’alu ?
*****
Le chapitre du sanglot de l’homme blancÉgalement le 14 avril, le chapitre du sanglot de l’homme blanc sur le passé honteux et coupable des Suisses racistes.
« Un scientifique romand au cœur d’une plainte contre l’esclavagisme. »
Article de Jean-Cosme Delaloye, de New York.
(Toute une page, avec photo de la plaignante afro-américaine – la dame ci-dessus – et de Louis Agassiz ; article repris également par 24 heures et la Tribune de Genève... une bonne illustration de la diversité de la presse.)
« Tamara Lanier, la descendante d’un esclave photographié en 1850 par le zoologiste romand Louis Agassiz, a porté plainte contre l’université Harvard pour tenter de récupérer le droit des images de son ancêtre. »
« [...] Dans une Amérique présidée par un Trump qui ne masque pas son désintérêt pour une société multi-ethnique et s’appuie sur l’administration très largement blanche, Ben Crump (superstar afro-américaine du barreau) estime que la plainte de Tamara Lanier contre l’Université Harvard aura des ramifications politiques.
[...] Dans les années 50, l’université et Louis Agassiz ont essayé de propager l’esclavagisme. Cette plainte est une opportunité pour Harvard de corriger ses erreurs [...] »
[…]
« Les théories de Louis Agassiz se sont propagées comme un virus. Elles ont inspiré Hitler et servi à justifier l’apartheid."
Ndlr : Hitler n’avait pas besoin d’Agassiz pour justifier ses théories. Il est totalement faux qu’Agassiz soit lié au nazisme. Agassiz est un grand scientifique dont la Suisse devrait être fière, il a réellement fait avancer la science. Réduire ses théories au racisme, uniquement parce qu’il considérait les Noirs comme moins intelligents, comme c’était l’opinion générale de son époque, est totalement abusif.
Quant à l’apartheid, la question est bien plus complexe. En Afrique du Sud, comme partout dans le monde, ce sont des Blancs qui ont rendu possible l’égalité entre Blancs et Noirs. A l’époque de l’apartheid, la population des Noirs a grossi car les Noirs de toute la région y accouraient pour la qualité de vie que l’Afrique du Sud leur offrait. Mais en retour, après la fin de l’apartheid, les Boers ont reçu de la part des Noirs une vengeance sanglante, des pillages, des massacres et des exactions horribles, les Noirs ont détruit beaucoup de ce qui était bon dans ce pays. Tout cela ne prouve pas vraiment l’égalité entre les races ; l’abject ne se trouve pas du côté des Blancs.
(M. Vallette: sorry Cenator, mais je n'adhère pas à ce qui suit. Pour moi, il s'agit d'une image idyllique et fausse d'un pouvoir blanc profondément raciste qui a imprimé toute la société.)
Nos médias ont mis une chape de plomb sur ce que les Boers subissent de la part des Noirs en Afrique du Sud depuis l’abolition de l’apartheid. L’histoire actuelle donne raison à la ségrégation. Tant que l’apartheid existait, les Noirs ne massacraient pas les Blancs, le pays était économiquement florissant, les Noirs étaient scolarisés, soignés, protégés par la justice, et les réformes allaient dans le sens d’une totale égalité des droits entre Blancs et Noirs.
Actuellement, l’Afrique du Sud dirigée par les Noirs est devenue un shithole country, sur le plan de la criminalité, de l’économie, de la justice, de la corruption, du système de santé, etc...
*****
La suite ici...
17:59 | Tags : cenator, les observateurs, matin dimanche | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
Sur Louis Agassiz.
Pour les racistes anti blancs, soutenus par nos bien pensants de gauche, tous les moyens sont bons pour dénigrer les Blancs et se faire de l'argent facile, ici remonter plus de 150 ans d'histoire.
Je pourrais ainsi porter plainte contre l'Etat français, pour persécution à l'encontre de mes ancêtres Huguenots…
Écrit par : Pierre-Alain Tissot | 16/04/2019
Les blancs sont responsables de tout sauf d'avoir inventé une société que la plupart des non-blancs rêvent d'intégrer!
Écrit par : norbert maendly | 17/04/2019
Grâce à la ligue du LOL, on a appris qu'en plus de nous prendre pour des crétins, les journalistes ne pensent souvent même pas ce qu'ils écrivent ! Ensuite ça les rends fous et ils se défoulent en secret dans leurs petits groupes privés.
Mais nous on doit supporter cela tous les jours. La seule manière de résister c'est de faire ce qu'a fait Cénator : lire la presse avec un oeil critique acéré pour démonter les mécanismes de la propagande.
Le risque c'est qu'à force d'exaspération face aux aberrations que l'on veut nous faire avaler (snif snif pour ces pauvres femmes djihadistes ! ), on en vient à tomber parfois, occasionnellement, dans l'exagération dans le sens inverse. C'est humain !
Cenator est tombé dans ce piège en parlant de l'Afrique du sud et c'est dommage : les bien-pensants ne vont pas réfléchir à tout ce qui devrait les interpeller dans son texte. Ils ne vont retenir que ce petit passage, et vont jeter le bébé avec l'eau du bain. Malheureusement ils vont manquer là une belle occasion de se remettre en question. Leçon à retenir.
Écrit par : Sophie | 17/04/2019
Moi aussi, j'ai été agacée par cet article sur l'affreux méchant Agassiz. Qu'on veuille appliquer les critères d'aujourd'hui à une personne ayant vécu au XIXème siècle est profondément débile. Par ailleurs, c'est tellement chouette d'être une victime, on reçoit de l'attention et des attentions, on a même sa photo dans les journaux!
Je me souviens avoir lu dans de vieux Larousse que les femmes étaient inférieures parce que leur cerveau était plus petit et pesait moins lourd que celui des hommes. Nous pourrions créer un collectif de femmes pour nous plaindre et exiger des indemnisations et compensation de la part de quiconque, avant 1960 environ, a osé dire que les femmes étaient inférieures aux hommes. Je crois qu'on tient là un potentiel pactole..... à bon entendeur!
La meilleure façon pour les Africains de prendre leur revanche sur des personnes comme Agassiz serait de prouver qu'il avait tort. Autrement dit, se tourner vers l'avenir de façon constructive au lieu de ruminer éternellement des choses qui ont été dites et faites dans le passé et que nul ne peut changer.
Écrit par : Arnica | 19/04/2019