France: l'islam s'impose dans les centres éducatifs (08/07/2021)

Les institutions pour  jeunes délinquants sont, comme l'école et les entreprises, confrontées à l'islam prosélyte et intolérant. Des éducateurs sont à la manœuvre.

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Mais qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu pour qu’il nous envoie une frange de musulmans qui commettent des assassinats, des faits divers atroces (notamment contre les femmes), et qui s’infiltrent dans toutes les institutions profanes pour imposer leur loi?

Une facette nouvelle de l’islamisation française est révélée ces jours, celle des foyers et centres éducatifs fermés conçus comme alternative à la prison.

Lorsque je suis de bonne humeur, je parle de mimétisme religieux. Lorsque je suis de mauvaise, je parle de maladie mentale. Aujourd’hui, je suis de mauvaise.

On pourrait croire que l’islamisation est le résultat de l’action des mosquées et de leurs prescripteurs. En fait, c’est aussi celle de musulmans standard persuadés que leur religion est une merveille et leur Dieu un despote qui les menace constamment des pires châtiments s’ils ne se plient pas aux règles et ne les imposent pas à leur environnement.

Nous observons ces malades mentaux dans les écoles, les entreprises, les administrations et, dernière découverte, les centres éducatifs. Le constat de l’Inspection générale du travail est édifiant. Le Figaro en rapporte l’essentiel.

Tous au halal!

Les mineurs ont le droit de pratiquer leurs rites, mais ceux qui s’en occupent doivent respecter la neutralité religieuse. Qu’en est-il dans la réalité selon des auditions menées auprès de dizaines de directrices et directeurs de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ)? «Des éducateurs déclarent que tout le monde mange halal, car pour les non-musulmans ça ne change rien», rapportent les enquêteurs. De plus, «les professionnels se voient servir des plats confessionnels à leur demande, dans des conditions et des fréquences variables selon les établissements.»

«Des éducateurs réveillent les jeunes pour le jeûne pendant la période de ramadan et rompent le jeûne avec les mineurs». Certains font pression sur les cuisiniers pour la confection des repas.

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L’un d’eux a refusé d’aller à la piscine durant le ramadan «par peur que de l’eau ne rentre par la bouche». Des éducateurs demandent à un collègue de «surveiller les jeunes» pendant qu’ils vont faire leur prière, et «disparaissent plusieurs fois par jour pendant le ramadan».

Certains refusent de serrer la main de leurs collègues féminines ou/et parlent arabe au repas en présence des autres jeunes.

Les référents laïcité à la peine

Il arrive que des éducateurs musulmans se positionnent comme «conseillers spirituels» envers leurs jeunes coreligionnaires.

Il existe pourtant des «référents laïcité». Mais ils peinent à suivre et «à imposer le peu d’instructions données par l’administration centrale de la PJJ».

Pendant longtemps, on a recruté pour le personnel des «jeunes des quartiers» en recommandant de s’adapter à leurs «particularismes culturels ou religieux». Selon le rapport, il est nécessaire que la Protection judiciaire de la jeunesse «soit plus exigeante en s’assurant au moment du recrutement que les candidats ne contestent pas les valeurs de la République», car « il n’est pas inhabituel que des candidats présentant des casiers judicaires chargés ou signalés pour des suspicions de radicalisation violente se présentent… »

Il est difficile de sanctionner, disent les directeurs. Ils craignent que leurs relations avec le personnel se détériorent et, cerise sur le gâteau, «redoutent même d’être poursuivis pour discrimination par les professionnels mis en cause».

A quand un prochain rapport qui témoignera de l'invraisemblable déliquescence musulmane que laissent s'épanouir les autorités?

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