“SWISS STOP ISLAMIZATION AWARD 2024” lance sa collecte de fonds (09/01/2024)
ISLAMISATION ET ANTISÉMITISME: DEUX FACES
DE LA MÊME MÉDAILLE
Communiqué de Giorgio Ghiringhelli, fondateur et coordinateur du mouvement politique "Il Guastafeste"
Tôt ou tard, la vérité finit par éclater. Depuis vingt ans, je dénonce haut et fort les dangers de l'islamisation croissante de la Suisse et de l'Europe en raison de l'immigration excessive provenant des pays islamiques. En réponse, j'ai non seulement été boycotté par la grande presse, mais j'ai aussi été traité de raciste à plusieurs reprises. Comme si défendre la démocratie contre ceux qui voudraient la remplacer par la charia, défendre nos libertés et nos droits contre ceux qui voudraient les supprimer au nom d'une religion totalitaire, était quelque chose d’anormal.
Et pourtant, la guerre qui a éclaté en Israël a eu le mérite d'ouvrir les yeux de beaucoup sur l'avancée de l'islam en Occident. Les mêmes qui me boycottaient et me traitaient de raciste s'étonnent aujourd'hui de la vague d'antisémitisme "importé" qui se répand en Suisse, en Europe et même aux Etats-Unis, où les manifestations pro-palestiniennes (directement ou indirectement pro-Hamas) se sont multipliées avec la participation massive d'islamistes salafistes, racistes et antisémites et des "idiots utiles" de la gauche qui se tirent une balle dans le pied. Ah oui, parce qu'après les Juifs, ce sera à notre tour, chrétiens et athées, de gauche et de droite, hommes et surtout femmes, de subir chez nous le racisme islamique ouvertement instillé par Allah dans le Coran (comme cela s'est déjà produit ici et là avec les attentats des terroristes islamiques). A ce moment-là, nous n'aurons plus beaucoup d'alternatives: nous devrons décider de réagir par la force (comme Israel a fait…) ou nous soumettre à l'islam.
C'est précisément pour apporter ma petite contribution à la prévention de la catastrophe annoncée, vers laquelle nous nous dirigeons, que j'organise depuis 2018 un prix annuel (intitulé "Swiss Stop Islamisation Award") destiné à récompenser moralement et financièrement les rares personnes, associations ou médias de Suisse et des pays environnants qui luttent courageusement contre l'islamisation culturelle, politique et sociale de l'Europe, et contre les fanatiques islamistes qui entravent par tous les moyens l'intégration des musulmans modérés en tentant de les radicaliser.
Je vous informe donc que la septième édition de ce prix, de plus en plus international, vient d'être lancée. Malheureusement, j'ai du mal à trouver de nouveaux candidats en Suisse, car les principaux critiques de l'islamisation ont déjà été récompensés et les rares qui restent ont peur d'être accusés d'"islamophobie"(!) en acceptant ce prix. Mais, en dehors de Suisse, il ne manque pas de candidats courageux - y compris des musulmans - qui aspirent à recevoir ce prix, et, cette année, il y en a même un qui vient d'Algérie.
Il y a huit candidats pour l'édition 2024, dont trois recevront un prix de 2000 francs suisses chacun, autour du mois de mars. Une campagne de collecte de fonds a été lancée pour financer le Prix. L'objectif est de récolter 6000 CHF et je compte sur votre soutien pour assurer le succès de cette initiative, unique en Suisse et en Europe.
Adresse pour les versements:
Mouvement politique «Il Guastafeste» – 6616 Losone (TI) - ccp 65-67871-6 – IBAN : CH62 0900 0000 6506 7871 6
Motif du versement : Prix SSIA.
Huit "nominés" pour 2024. Pour la région francophone (par ordre alphabétique): Alexandre Del Valle (France), Boualem Sansal (Algérie), Dr Dominique Schwander (Valais), Mireille Vallette (Genève), Hamid Zanaz (France) et Alain Wagner (France); pour la région italophone: l'Italo-Marocaine Souad Sbai (Italie); et pour la région germanophone: Hamed Abdel-Samad (Allemagne).
Voici les motivations concernant la seule Suissesse nominée:
Mireille Vallette (Genève) - Elle était déjà l’une des trois lauréats de la première édition de ce prix en 2018. La journaliste et essayiste genevoise figure à nouveau parmi les nominés de cette édition. L'ex-présidente de l'Association Suisse Vigilance Islam a mérité cette “re-candidature” grâce à son engagement dans la création d'un site (https://deriveshelvetiques.ch) qui regroupe son énorme travail sur l'islam, malheureusement boycotté par la presse nationale. Mais cette courageuse activiste mérite aussi cette nouvelle candidature pour son combat inlassable contre les activités rampantes du Centre suisse islam et société (CSIS) - créé à Fribourg en 2015 - en faveur de l'islamisation de la Suisse. (https://deriveshelvetiques.ch/tag/csis/). Afin d'alarmer la classe politique sur le travail du CSIS, Vallette avait publié en 2020 une brochure intitulée "Le CSIS oeuvre-t-il vraiment à l'intégration des musulmans ?" (http://www.vigilanceislam.com/images/Broch_CSIS_MV_avril2... ) et l'avait envoyée à des élus.
La brochure a attiré l'attention du conseiller national Piero Marchesi qui, avec huit collègues, a déposé un postulat demandant un rapport détaillé sur les activités du CSIS, notamment pour vérifier si les subventions (un demi-million par an) versées par la Confédération étaient justifiées. Le Conseil fédéral a approuvé le postulat, puis le Secrétariat d'Etat à la formation, à la recherche et à l'innovation (SEFRI), principal bailleur de fonds du centre, a mandaté une société externe (Ecoplan) pour évaluer la légitimité des allégations à l'encontre du CSIS. Le rapport sur le CSIS remis en août 2023 (https://www.parlament.ch/it/ratsbetrieb/suche-curia-vista...) conclut que rien n'indique que les activités du CSIS soient contraires aux principes constitutionnels ou qu'elles favorisent l'islamisation ou la radicalisation. Il souligne entre autres la nécessité d'envisager une plus grande implication du Tessin dans les activités éducatives du CSIS... soulignant qu'en Suisse italienne "l'établissement d'un climat de confiance avec les communautés musulmanes a été moins réussi que dans le reste de la Suisse, en partie parce que ces communautés ne sont pas très organisées et donc pas aussi accessibles qu'au-delà du Saint-Gothard". Quant à l'incroyable publication du CSIS expliquant aux musulmans de Suisse comment il est légalement possible de défavoriser une fille lors d'une succession, conformément aux dispositions du droit islamique, le Conseil fédéral s'est contenté d'observer qu' "il aurait été opportun de souligner dans cette publication que la discrimination systématique des femmes héritières n'est pas non plus dans l'esprit du législateur suisse". C'est tout. Et les défenseurs, et surtout les défenseuses de l'égalité des sexes n'ont rien à dire? Pendant ce temps, le CSIS poursuit sans entrave son travail d'islamisation dans l'indifférence générale.
Giorgio Ghiringhelli, ilguastafeste@bluewin.ch
14:06 | Tags : 2024, prix, giorgio ghiringhelli | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Chère Madame Vallette,
Félicitations pour votre nomination, comme vous avez eu le courage et la patience de décortiquer ce livre débilement malsain appelé coran, vous méritez 10 fois de gagner le prix de M. Ghiringhelli.
Bravo aussi à Monsieur Ghiringhelli pour sa ténacité et son humour.
Le pire ennemi de l'islam est lui-même, donc à un moment donné cet ogre mangera ses enfants.....
Écrit par : Parviz | 10/01/2024