A Genève, les juges ont jugé. Mille questions sont posées, les indignations fusent, et de nouveaux assauts islamiques se préparent. Cette demi-victoire me fait penser à une polémique bruxelloise à propos d’un engagement aux TPG du coin: une femme a postulé à deux fonctions –«où elle n’aurait pas été en contact avec le public»- en indiquant qu’elle travaillerait avec son foulard. Elle n’a pas été prise. A cause de ce foulard, affirme-t-elle. Et la procédure court… Comme d’innombrables autres lancées dans tout l’Occident au nom de soi-disant «discriminations»…que des musulmans suscitent par leur intolérance.
Qu’avons-nous fait au Bon Dieu (oui… plutôt bon) pour être contraints à ces incessantes convulsions produites par de perpétuelles demandes de réintroduire une religion, ses tristes rites et ses médiocres symboles dans l’espace et le débat publics? Par une minorité, c’est vrai, mais que personne ne semble vouloir arrêter.
Qu’avons-nous fait au Bon Dieu pour que tant de réfugiés de sociétés incapables de se gérer, notamment à cause de l’islam, se retournent contre nous?
Pourquoi toutes les démocraties sont-elles confrontées à cette division: les uns tentent de freiner le prosélytisme bigot de l’islam, les autres de l’amplifier. Dans cette deuxième catégorie, des musulmans, mais aussi la gauche, et ces verts qui mènent le bal de l’archaïsme.
Ces hypocrites font semblant de ne pas comprendre pourquoi cette religion et ses militants sont l’objet d’une méfiance croissante. C’est vrai, pourquoi se méfier d’eux alors que tous les jours, des victimes tombent au nom de l’islam? Que des pays et des régions sont à feu et à sang à cause de lui? Que presque chaque jour des «radicalisés» passent à l’acte? Que les femmes et les chrétiens dans toute la sphère islamique sont discriminés?
Et c’est elle, cette religion, qu’il faudrait accepter, valoriser, apprécier, voire aimer?
Non. Notre méfiance est parfaitement légitime, d'autant plus que ces «croyants», chez nous, n’expliquent rien des fureurs mortelles de leurs coreligionnaires.
Au contraire, ils insistent: cet islam n’a rien à voir avec le leur.
Mettre en cause cette religion dans les vagues d’assassinats suscite dans les rangs musulmans des rafales de haine. Les caricatures danoises nous l’ont définitivement appris. Les États européens victimes d’émeutes, d’attaques, de clameurs sans fin, sont plongés dans l’effroi. Ils ont troqué la fermeté contre les bougies et la complaisance.
Et que dire de ce vent funeste qui souffle sur l’ensemble de la sphère musulmane, Asie comprise? De ces populations qui réclament le retour aux sources incandescentes de leurs textes?
Les croyants-militants de cette religion immergent leurs enfants dès l’âge tendre dans un bain d’idolâtrie et de craintes. Ils enseignent une vie de mimétisme entre prières, ablutions, obligations, formules rituelles, etc. et rappel incessant des menaces de l’enfer. Étouffant, mais efficace: les revendications aujourd’hui sont surtout portées par la plus jeune génération.
Récemment, un témoignage de Causeur illustrait la conséquence -qui est aussi le but- de cette immersion: une difficulté folle à quitter cette religion. Des parents renient souvent, et parfois tuent leur enfants lorsqu'il s’en éloigne. Les témoignages d’ex-musulmans sont innombrables.
"Or, l’obsession des islamistes, c’est ça. Il faut qu’à aucun moment, ni le musulman, ni la société dans laquelle il vit n’oublient la religion. Il faut, en un mot comme en cent, que tous les secteurs de la vie soient islamisés, du sport à la cuisine en passant par l’école et le monde du travail évidemment." Nadia Geerts
Et ils osent nous réclamer des repentances sans fin en oubliant leurs propres carnages, génocides, ethnocides, esclavage, mariages par millions de petites filles. Et aujourd’hui un terrorisme qui n’en finit pas.
Comment ces musulmans peuvent-ils se sentir si fiers, si arrogants, si sûrs de leur religion supérieure?
En retournant nos valeurs et notre droit à leur profit, ils gagnent sur tous les tableaux. Des millions pour les «intégrer», un ascenseur social hyper efficace qui permet par exemple à des juristes de se concentrer sur la manière de faire avancer le foulard dans le monde du travail, des joutes juridiques. Notre lutte contre leur obscurantisme se retourne contre des religions qui n’ont rien de comparable à leur palmarès. L’impossibilité de «stigmatiser une religion» oblige à intégrer hypocritement dans les interdictions, comme dans cette loi genevoise, d’autres cultes qui vivaient paisiblement et sans revendications, dont le christianisme et le judaïsme. Les médailles chrétiennes ou les kippas invoquées sont une vaste plaisanterie, mais nous devons plonger faute de révision de ce droit, dans ces absurdités.
Dans de nombreux cantons, l’intolérance musulmane envers notre patrimoine est tellement assimilée par les autorités qu’elle aboutit par exemple à la suppression de chants de Noël, surtout s’ils contiennent le mot Dieu.
Dites, fiers musulmans, quel lien y a-t-il entre l’islam et les injustices faites en son nom aux femmes et aux minorités dans vos pays d’origine? Ce refus, partout où votre religion règne, de la liberté de conscience? Comment croire à vos incantations sur «le respect des lois suisse», alors que jamais nous ne vous voyons manifester contre les lois misogynes et discriminatoires des pays régis par l’islam?
«L’islam c’est pas ça»? Comment pouvez-vous ainsi vous exonérer… Tout en enseignant le «droit islamique» dans vos mosquées, un droit discriminatoire, misogyne et cruel, contraire au nôtre?
Et comment tant de nos concitoyens adhèrent-ils à ce sommet de tartufferie: «Le voile est une obligation religieuse, mais les femmes sont libres de le porter ou non». Toutes les tyrannies islamistes savent ce qu’est une obligation. Obliger les femmes à se couvrir est leur obsession. Chez nous, la menace de l'enfer suffit. Mais porter volontairement ce voile dans nos sociétés -sans jamais se battre contre celles qui l’imposent- est indécent.
"Le voile est une liberté dans un pays libre, et ce même voile est une oppression dans un pays obscurantiste! Le porter en pays libre c’est rire au nez de ces femmes qui rêvent de l’enlever et paient cher pour le faire!" Zohra Bitan
En Europe, cette culture musulmane violente, sa peur panique des femmes, transparaissent dans des faits divers atroces. Des «féminicides» dus au patriarcat et à cette religion qui le détaille longuement dans son livre saint. Et que les féministes ne veulent surtout pas voir.
Les batailles pour le burkini, les menus halal, les prières, la finance, les cimetières, le droit, etc. ne sont que des variations d’une même conquête, l’islamisation de nos démocraties.
On nous a volé une part de rêve, de lumière et de douceur. La grandeur, l’humanité, la beauté de nos sociétés tombent dans le brasier qu’a allumé cette petite mais toute puissante fraction de musulmans. L’ombre de l’islam s’étend, et le naufrage des plus belles civilisations qu’ait connues la planète se rapproche.
La loi et ses débats sont une des innombrables illustrations de la guerre sans fin que nous livrent les islamistes.