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  • Couvrir les femmes jusqu'à les faire disparaître: un naufrage de l’humanité

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    Couvrir le corps des femmes, la tête des femmes, faire disparaitre les femmes. Au lieu de s’excuser de ce traitement honteux, des musulmans et musulmanes, tous «modérés», demandent qu’une des pires illustrations de misogynie puisse évoluer librement dans nos rues.

    Avec les innombrables soutiens non-musulmans, ils seront probablement plus de deux millions à accepter le principe de cette aliénation.  

    Parmi les soutiens, Rebecca Joly, une députée verte«Se vêtir comme on veut, pour une femme, partout dans le monde mais également en Suisse, est encore une lutte. En 2021, ce constat est glaçant.»

    muselière_Karsenty.jpgOn en déduit que ces féministes accepteraient sans problème que la muselière, portée pour le moment par des touristes, prenne souche dans nos pays. J’en ai vu deux dans un grand magasin genevois, c’est à hurler.

    Mais, dirait Rebecca, les empêcher de s’habiller ainsi serait «glaçant». Comme l’est l’idée de refuser à ces mêmes femmes le port du «sitar» déjà présent en Suisse, nous apprend la formatrice Mallory Schneuwly Purdie. Un voile «plus fin qui recouvre l’entier du visage, y compris les yeux.» La richesse du vestiaire musulman est infinie.

    La haine de l’Occident et les délires de la «culture de l’effacement» font irruption dans le répertoire. Carlo Sommaruga, ponte socialiste : « Interdire le voile intégral est une tyrannie de la majorité blanche ». Elle « relève d’une vision néocoloniale, celle du mâle blanc européen définissant la tenue vestimentaire des femmes allogènes. » 

    Cacher le corps des femmes est au contraire un apport civilisationnel des prescripteurs mâles musulmans suivis par de serviles brebis.

    En Suisse, les associations islamiques sont toutes contre… mais pour la liberté de le porter, à un imam près. Quelques propos des têtes pensantes de cette religion :

    Pascal Gemperli, porte-paroles de la Fédération des organisations islamiques de Suisse: « On associe la communauté musulmane à quelque chose que dans son immense majorité elle rejette »… « nous perdons notre temps à nous défendre plutôt qu’à agir ensemble vers un objectif commun, qui est la protection de la femme de toute contrainte »… 

    ... Sauf dans les pays musulmans qui discriminent à tout va et où les femmes attendent vainement d’être «protégés de la contrainte» par ces hypocrites.

    Le président de la Coordination des organisations islamiques suisses Farhad Afshar entend nous rassurer: «…ce sont surtout les convertis ainsi que les musulmans de deuxième voire de troisième génération qui adhèrent au voile intégral ».

    Sandrine Ruiz, présidente de l’Union vaudoise des associations musulmanes (UVAM). « Ce texte proposé par des formations politiques d’extrême droite, participe de la stigmatisation et de l’exclusion d’individus à raison de leur appartenance religieuse. » Elle non plus ne révèle pas les actions qu’elle mène pour libérer les femmes d’ailleurs. Un mutisme compréhensible, puisque toutes les discriminations des pays musulmans se font au nom de la sublime religion et de son saint livre.

     Jamais un journaliste ne se permettrait de soulever ce paradoxe: les musulmansburqa dessin.jpg prosélytes revendiquent la liberté de se vêtir pour les musulmanes d’ici et témoignent d'une totale indifférence à celles qui étouffent sous la férule islamique. Le mutisme est semblable sur la permanence des mutilations sexuelles pratiquées dans tant de pays musulmans au nom d’Allah.

    Ces prosélytes militent donc pour l’un des symboles les plus effrayants de leur religion et promettent de s’égosiller contre les «islamophobes» qui auront manifesté leur dégoût dans les urnes.

    Personne n’ose affirmer publiquement cette évidence: c’est un devoir de stigmatiser les musulmans qui se battent contre l’initiative... Et de stigmatiser de la même manière celles qui portent volontairement cet exemple de naufrage de l'humanité.

     

    Musulmans prosélytes et alliés de tous bords se donnent la main pour  réclamer l'autorisation de porter le niqab, l'une des illustrations les plus misogynes de la religion islamique.