L’ère des sociétés séculières est révolue: c’est ce que les religieux musulmans et leurs porte-parole ont décidé. Sans nous demander notre avis. Ils introduisent dans l’espace public et dans nos institutions leurs rites et leurs marqueurs archaïques. Ils estiment naturel de nous imposer le foulard et le niqab, symboles millénaires d’asservissement des femmes en islam et exigence première de tous les mouvements radicaux islamiques. Ils réclament des aumôniers dans les prisons, centres d’asile et hôpitaux, des dispenses scolaires, des faveurs durant le ramadan dans nos institutions. Et certains refusent les poignées de mains avec l’autre sexe.
La présidente de l'Union vaudoise des associations musulmanes (UVAM) en plein djihad du voile.
Ils réclament… la liste est infinie. Le radicalisme augmente partout, en particulier chez une frange de jeunes. Dans de nombreux pays européens, il contrôle des quartiers entiers.
Les militants de l’islam ont affaibli notre démocratie et notre liberté d’expression. Plus un artiste n’ose réaliser d’œuvres provocantes. Mettre en évidence leurs pressions, contester le contenu de cette religion est considéré comme de l’«islamophobie», mot magique inventé pour les protéger des critiques. Refuser leurs exigences est assimilé à de l’intolérance, voire de la haine.
Seule cette religion considère son livre de référence, le Coran, comme incréé, parfait, valable pour l’éternité. La conviction d’une religion supérieure à toutes les autres, donc destinée naturellement à conquérir la planète, persiste.
Ces textes sacrés sont invoqués AUJOURD’HUI pour perpétrer des massacres, persécuter des minorités, défendre la persistance de lois discriminatoires. En France, l’égorgement est devenu un mode d’agression courant.
Les barbares ont pourtant conduit nos élites à cet axiome surréaliste: l’islam est une belle religion, tolérante et pacifique. L’Occident promeut donc son expansion. Pire: les carnages commis en Europe sont de nouvelles occasions rappeler combien l’islam est inoffensif, et de redoubler les appels à lutter contre «l’islamophobie».
Migros Magazine du 28 août fait appel comme si de rien n'était à cette gynécologue du Medbase Bern Zentrum .
Pourtant en Suisse, aucune association islamique ne dénonce ni n’explique les discriminations des pays musulmans pratiquées au nom de l’islam et de sa charia. Leurs responsables nous expliquent encore moins la contradiction existant entre ces pratiques et leur supposée belle religion. Aucune mosquée ne nous dit ce qu’elle enseigne des versets et hadiths au nom desquels se commettent les attentats et se perpétuent les discriminations.
Les services d’intégration s’efforcent de faire accepter cette religion et les revendications de ses prosélytes. En tête, leurs opérations de célébration du voile islamique et la lutte contre notre soi-disant racisme (mais pas celui des minorités, dont les émeutes «ethniques» n'ont rien à voir). Le puissant Centre suisse islam et société (CSIS), financé par les pouvoirs publics, défend le foulard, y compris celui des fillettes à l’école, et le droit de porter l’abject niqab. Et il réussit cette performance unique en Europe: former à nos frais tous les staffs des mosquées de manière que leur enseignement religieux soit plus efficace: didactique des langues (arabe), pédagogie, cours d’animation (de groupes de musulmanes, de jeunes), gestion d’associations, formations des imams à l’enseignement de l’islam, etc. Ceci au prétexte de la prévention de l’extrémisme (qui existe donc dans ce peuple des mosquées).
Les adeptes de l’islam se prennent pour des victimes : «On considère chaque musulman comme un terroriste, on nous discrimine, on nous stigmatise, on nous est hostile… alors que les violences n’ont rien à voir avec l’islam». La Commission fédérale contre le racisme, comme le CSIS alimentent cette paranoïa. Ils cultivent ainsi l’hostilité de ces hôtes envers leur pays d’accueil. Une détestation relayée par une bonne partie des forces de gauche, car les «progressistes» sont animés d’une même détestation de la civilisation occidentale et ne cessent d’en rechercher les méfaits.
Défendre notre identité est une vision d’extrême droite, défendre l'identité de nos immigrés une vision porgressiste.
Aucune autre religion ne pose ces problèmes, et c’est un profond mépris et une insondable hypocrisie que prétendre les englober toutes dans la prévention de «l’extrémisme religieux» et non contre le seul à l’œuvre, l’extrémisme islamique.
Le cœur de cette inquiétante idéologie, ce n’est pas la majorité des musulmans, c’est la minorité active des mosquées et de leurs leaders. Ce sont eux qui promeuvent un islam obscurantiste, et ce sont eux les interlocuteurs de nos autorités.
Lors d’une discussion un peu confuse, une connaissance m’a mise au défi d’expliquer en 4000 signes pourquoi je me bats contre l’islam et ses prosélytes. Voici.