Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : haine

  • Neuchâtel surveillera aussi Médine

    Imprimer

    Grâce à l’intervention énergique de l’ASVI et à une très forte mobilisation citoyenne au travers de pétitions électroniques, les autorités suisses ont interdit à Médine de proférer pendant ses concerts de Lausanne et Neuchâtel des appels à la haine raciale et au meurtre contre les Blancs et les personnes attachées à la laïcité.

    Des dispositifs sécuritaires ont été mis en place pour s’assurer que cette interdiction soit respectée.

    27.10.18 – La municipalité de Lausanne a estimé qu'il y avait effectivement un risque que le rappeur profère des appels à la haine raciale et au meurtre pendant son concert du 27 octobre aux Docks. En conséquence, elle a exigé de Médine qu'il ne chante pas ses chansons ne respectant pas les articles 261 bis (discrimination raciale) et 259 (appel au meurtre) du Code pénal suisse, notamment Angle d’attaque (acte 1) et Don’t Laïk.

    La Municipalité a également ordonné que des inspecteurs de police soient présents dans la salle de concert et veillent à ce que ses exigences soient respectées. De plus, son concert a été enregistré.

    Médine, Neuchâtel

    Neuchâtel: Violaine Biétry-de-Montmollin, directrice de la Sécurité.

    16.11.18 – La Ville de Neuchâtel a également considéré que certains textes de Médine n’étaient pas conformes au Code pénal suisse. Elle a donc chargé la police cantonale d’exiger du rappeur, de son agent et de la direction de la Case à Chocs que ces textes toxiques ne fassent pas partie du répertoire du concert du 30 novembre. Un dispositif sécuritaire visant à s’assurer que les promesses soient tenues a également été prévu.

    L’ASVI se félicite des conditions drastiques imposées par les exécutifs de Lausanne et Neuchâtel à Médine, contraintes sans précédent dans son parcours de rappeur haineux et subversif. Elles démontrent que les autorités municipales ne se sont pas laissé berner par le prétexte du second degré invoqué par le rappeur concernant son racisme affiché.

    Voir la lettre de la Ville de Neuchâtel

    Voir le communiqué de presse de la Ville de Lausanne

    Le strict respect du Code pénal suisse est également imposé par Neuchâtel au rappeur Médine, proche des milieux islamistes francophones.