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  • Dénonciation des organisations musulmanes en justice pour incitation à la haine

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    Le spécialiste et adversaire farouche de l’islam Alain-Jean-Mairet a envoyé une dénonciation au Procureur général de Genève ce jeudi 9 avril, accompagnée de la brochure « La Fatiha et la culture de la haine » de Sami Aldeeb. Il met cause le verset 7 de la première sourate du Coran que les musulmans doivent répéter dix-sept fois lors de leurs cinq prières quotidiennes.

    Le croyant implore Allah de le maintenir sur «la voie droite» et de ne pas le diriger vers ceux qui «encourent la colère de Dieu», ou vers «les égarés». Soit les juifs et les chrétiens selon la quasi-totalité des exégètes depuis 1000 ans. Aldeeb en cite 87 en arabe et en français. Tous les imams l’apprennent au cours de leur formation.

    Alain Jean-Mairet dénonce les organisations musulmanes, dont la grande mosquée de Genève et celle de Hani Ramadan au titre du célèbre article 261bis du Code pénal qui dit notamment ceci :

    Celui qui, publiquement, aura incité à la haine ou à la discrimination envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance raciale, ethnique ou religieuse;

    celui qui, publiquement, aura propagé une idéologie visant à rabaisser ou à dénigrer de façon systématique les membres d'une race, d'une ethnie ou d'une religion;

    (…)

    sera puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire.

    Le signataire précise que ce n’est pas le fait que cette Fatiha se trouve dans le Coran qui justifie sa démarche, ce livre « ne fait guère ici que traduire des croyances qui n’ont plus ou ne devraient plus avoir cours ». Ce n’est pas non plus la croyance que les juifs seraient la proie de la colère de Dieu et les chrétiens des égarés, « chacune et chacun doit être libre de ses opinions… ».

    «Je dénonce ici une action, celle qui consiste à répéter ou encourager à répéter, quotidiennement, des affirmations qui, par leur teneur et leur sens consensuel, confirmé par le contenu du Coran et des récits univoques attribués à Mahomet, incitent les musulmans pratiquants à discriminer et haïr des gens sans raison valable, en fonction de leurs appartenance à une religion.»

    La lettre se termine par la liste de la quasi-totalité des associations islamiques de Genève. Notre canton n’est que le premier de la liste, d’autres procureurs vont recevoir prochainement la même dénonciation.

    On attend avec impatience la réponse sans se faire trop d’illusions. Mais ces initiatives permettront de rappeler une fois de plus le rejet maintes fois affirmé des juifs et des chrétiens dans le Coran -avec celui d’ailleurs de tous les non-musulmans.

    Le dilemme pour nos religieux « modérés » reste  le même : reconnaître la vérité des textes ou persister dans leur divin mensonge. Dans le deuxième cas, on attend toujours qu’ils nous expliquent pourquoi les chrétiens subissent les pires persécutions au nom de leur livre.


    Paru dans Les Observateurs

     

    Dans une lettre au procureur général genevois, Alain-Jean-Mairet incrimine la prière que doivent réciter dix-sept fois par jour les musulmans. Leurs organisations sont dans le viseur.