Communiqué de presse (29.11.2018)
Voilà les vainqueurs du “Swiss Stop Islamization Award 2018”
Le but du “Swiss Stop Islamization Award” , lancé par le mouvement politique “Il Guastafeste” (fondé par Giorgio Ghiringhelli : www.ilguastafeste.ch — ilguastafeste@bluewin.ch) , est de décerner chaque année une récompense de 2'000 francs à trois personnes qui – en Suisse romande, en Suisse italienne et en Suisse alémanique - se sont distinguées par leur courageuse activité contre l’islamisation de l’Europe (et surtout de la Suisse) et contre la diffusion du radicalisme islamique.
Voilà les trois lauréats de la première édition du Prix :
Mireille Vallette (journaliste et essayiste)
Peu de personnes en Suisse se sont battues avec une telle constance contre l'islamisme, la radicalisation des musulmans et en faveur des femmes musulmanes (auto-)discriminées par l'islam. D’abord militante de gauche, elle a quitté le PS en raison de la complaisance de ce parti à l'égard des revendications rétrogrades des prosélytes islamiques. La presse romande l’a fidèlement boycottée en la mettant, comme tous ceux qui mènent ce combat, dans la grande marmite des «islamophobes» et de l’ «extrême droite». Elle est l’auteure de trois livres. Le premier, "Islamophobie ou légitime défiance?" (2009), montre le double discours des leaders musulmans de Suisse, le deuxième, "Boulevard de l'Islamisme" (2012) alerte sur l’essor croissant du radicalisme en Europe. Et le dernier, «Le Radicalisme dans les mosquées suisses » (2017), montre par de nombreuses sources l’empreinte de l’intégrisme dans les organismes islamiques. En 2015, Mireille Vallette a créé l’ « Association Suisse Vigilance Islam » qu'elle anime avec une quinzaine de militants. L’ASVI défend la démocratie et la liberté d'expression, combat l’islamisation de la Suisse et s’oppose aux fossoyeurs de notre société séculière. Elle alimente par ailleurs par une approche journalistique un blog très documenté, "Boulevard de l'islamisme", hébergé par la Tribune de Genève.
Lorenzo Quadri (conseiller national de la Lega dei Ticinesi)
Comme directeur de l'hebdomadaire "Il Mattino della domenica", Lorenzo Quadri a beaucoup contribué ces 15 dernières années à faire en sorte que les Tessinois ouvrent les yeux sur les dangers de l'islamisation et de la radicalisation des musulmans et sur les dangers d'une immigration massive incontrôlée. Il a mené et mène encore cette lutte grâce aux nombreux articles qu’il écrit ou publie dans le journal qu'il dirige. C’est notamment grâce à ce travail d’information que le Tessin, a soutenu le plus massivement -après Glaris- l’initiative contre les minarets (68,3% contre 57,5% au niveau national). En sa qualité de conseiller national, il a fait de nombreuses propositions visant à freiner les activités des islamistes en Suisse, par exemple : une motion visant à interdire le financement étranger des mosquées et des lieux de culte islamiques (approuvée par la majorité du Conseil national, mais rejetée par le Conseil des États) ; une autre visant à interdire les associations islamistes dangereuses ; la demande d'interdiction des activités du Conseil central islamique Suisse de Nicolas Blancho; l'opposition à la création d’un imam de l'armée. Il a aussi été membre du comité de l'initiative « anti-burqa » lancée au Tessin ainsi que de l'initiative similaire lancée au niveau fédéral.
Walter Wobmann (conseiller national UDC)
Walter Wobmann est le fondateur et président du "Comité d’Egerkingen" qui a lancé en 2007 l'initiative populaire contre les minarets. Durant la campagne, les sondages annonçaient son rejet par au moins 58% des citoyens. Elle a été au contraire approuvée par 57,5% des votants le 29 novembre 2009, une surprise qui a eu un écho mondial. Grâce à ce vote, dû en grande partie à l'engagement de Walter Wobmann, le Comité d’Egerkingen a remporté un succès entré dans l'histoire comme la première étape importante de lutte contre l'islamisation de la Suisse. La deuxième aura lieu lorsque les citoyens seront appelés à voter, probablement en 2020, en faveur de l'initiative populaire visant à interdire la dissimulation du visage en public. Cette dernière a été une fois encore lancée, en 2016, par le Comité d'Egerkingen et signée par 106’500 citoyens. Depuis lors, Walter Wobmann s'est donné pour mission de conduire au succès cette initiative. Politiquement, il ne craint pas de soulever des thèmes dérangeants que de nombreux politiciens préfèrent éviter, de peur de compromettre leur carrière. La lutte contre l’islam politique est son thème préféré : c’est une bataille qu’il conduit soit au Parlement, soit par le biais des droits populaires. Walter Wobmann est une voix emblématique de la majorité critique de notre pays. Sa manière droite et directe de mener ses actions plaît aux citoyens. Il a déjà annoncé qu'il utilisera ce prix pour financer son activité politique.
REMERCIEMENT : Le mouvement “Il Guastafeste” remercie vivement les citoyens et citoyennes qui ont contribué financièrement à cette initiative avec un total de 10'000 francs. La somme qui restera, une fois déduits les prix (6'000 francs) et les frais d’organisation (environ 700 francs) , sera utilisée pour le financement des prochaines éditions.
Vingt ans de combat
Merci Trouble-Fête ! Ce «Swiss Stop Islamisation Award», premier du nom, m’honore. Je m’insurge depuis deux décennies contre cette islamisation qui imprègne peu à peu toutes nos institutions, et contre le radicalisme que pratiquent les mosquées et associations islamiques. Défendre notre démocratie et ses valeurs, c’est mon combat.
L’islamisation par la conquête culturelle et religieuse bat son plein. Ce dessein est parfaitement décrit par les courants les plus radicaux de la planète : Frères musulmans, wahhabites, islam d’Erdogan. Ces mouvements marquent de leur empreinte de très nombreuses associations-mosquées de Suisse, comme le montrent de nombreuses enquêtes suisses alémaniques, quelques romandes, Saïda Keller Messahli, et mon dernier livre.
J’ai rédigé trois opus qui alertent sur ces temps obscurs (les deux premiers sont en accès libre sur mon blog) et cette religion extravagante… Comme le sont aussi ses auxiliaires que le terrorisme et les innombrables injustices de leur doctrine semblent avoir dopés. Mon deuxième ouvrage, sorti en 2012, met l’accent sur l’extension du radicalisme en Occident. Les gouvernements le savaient. Mais la couardise et l’indolence ont fait le lit du déferlement terroriste.
J’informe au jour le jour –bientôt 500 posts– dans la Tribune de Genève, avec le souci de la précision, des sources, le refus des imprécations.
Je rencontre souvent lors de manifestations des personnes que je n’aurais jamais soupçonnées être mes lecteurs et qui m’avouent qu’ils le sont : profs, analystes politiques, travailleurs sociaux, politiciens de gauche, pasteurs, journalistes, spécialistes de l’islam, etc. Ils louent la qualité de mon travail. Mais ces transgresseurs du politiquement correct n’avoueront jamais leur délit, ne prononceront jamais mon nom en public, ne «partageront» jamais un de mes textes. Victimes d’une censure sociale qui ne dit pas son nom.
En informant, en bataillant sans relâche contre des réalités niées, j’en connaissais le prix : l’ostracisme médiatique. Je ne suis pas frustrée des plateaux-TV, l’écrit a toute ma préférence. Mais sur le plan social, ce plafond de verre sous lequel se blottissent les journalistes signifie : pas de débat de fond, pas de questions pointues qui mettent en question les idées reçues, pas de présence d’ex-musulmans qui partagent notre combat. Pas d’enquêtes qui remettent en cause la tranquille conviction que la Suisse échappe aux réalités de ses voisins.
Les journalistes sont devenus des militants du politiquement correct. Ils ont assimilé avec une rare rapidité les mots utiles aux entendements paresseux : islamophobe, xénophobe, d’extrême droite, identitaire, populiste, raciste… Ils leur permettent les censures les plus éhontées. Mais que tombe sur leur écran un communiqué de la Commission fédérale contre le racisme (CFR) ou du Centre suisse islam et société (CSIS) et tous copient-collent avec ardeur.
Les médias montrent de temps à autre tel dysfonctionnement dans leur optimiste vision. En ce qui me concerne, le messager suffit à discréditer le message. Lorsque je révèle à des journaux l’existence de tel site haineux et misogyne d’une mosquée, lorsque je les informe du double discours de jeunes Fribourgeois adoubés par les politiques et adeptes de la doctrine des Frères musulmans, c’est motus et bouche cousue. Ces sujets, s’ils avaient été découverts par leurs journalistes, auraient fait la Une de leur quotidien. Et lorsque notre association informe la presse romande qu’une pétition comprenant 800 signatures a été remise à la CFR et au CSIS réclamant des colloques contradictoires, il n’en est fait aucune mention. Et mon dernier livre, seul lors de sa parution à décrire le paysage intégriste de notre pays, a été censuré.
Pas un journaliste n’a par ailleurs réalisé une enquête sur ce Centre suisse islam et société qui ressemble de plus en plus à un centre islamique. Dernier indice en date (vu dans sa dernière newsletter) : la croyante Arlinda Amiti coiffée de son foulard coordonne le programme «Islam et Société : études islamo-théologiques». Ces Voici un communiqué de presse que vous lirez tous dans votre journal favori. Suivi de mon commentaire.