Une nouvelle fois! L’estomac se serre et la rage monte. Jusqu’à quand? Combien de prêcheurs de haine en liberté ? Combien de morts encore?
Qui sont les coupables?
Les musulmans et leurs guides religieux d’abord, qui ne cessent de mentir à propos de leurs textes, de rassurer et de clamer leur «padamalgame ». Ces musulmans qui osent encore taxer de «livre saint » un Coran empli de haine, qui agonit d’insultes toutes les deux pages les «incrédules», soit tous les non-musulmans, qui leur promet l’enfer et des « châtiments ignominieux ». Un Coran qui pousse au crime ses adeptes dans de si nombreux versets.
Nos élites sont les deuxièmes coupables, les plus fervents compagnons de route de l’affaiblissement des valeurs démocratiques et de l’expansion du radicalisme. Et parmi eux les médias qui n’ont cessé de rassurer sur cette religion. Et les politiciens qui acceptent que des centaines de mosquées soient gérées par des extrémistes tels les Frères musulmans auxquels ils ont bâti de somptueuses mosquées où l’on anone sans trêve les versets du saint livre. Où l’on idolâtre aussi un Mahomet parfait, à imiter pour l’éternité, mais dont la biographie décrit les multiples exactions, entre autres la décapitation de centaines d’hommes capturés et la vente en esclavage de leurs femmes et enfants.
La France, les médias, les politiques de l’Hexagone paient au prix fort leur complaisance. Mais tous les pays européens ont laissé se déployer le radicalisme, malgré tous les lanceurs d’alerte, dont leurs propres services de renseignement.
La Suisse n’est pas épargnée par le fléau. Dans «Islamophobie ou légitime défiance?» (2009), je fais le tour de ces leaders menteurs qui hantent notre société. Quelques exemples :
La grande mosquée de Genève est financée par l’Arabie saoudite (qui aujourd’hui la dirige aussi). Son imam d’alors Youssef Ibram participe à un «Recueil de fatwas» suant la haine des mécréants et des femmes. Son porte-parole, Hafid Ouardiri, hypocrite patenté, affirme par exemple: « Il n’y a rien dans le Coran ou la tradition du Prophète qui incite à la violence. » Il organise une «Tente du dialogue» dans un parc en compagnie d’Abbas Aroua, sympathisant du Front islamique du salut algérien (FIS) qui s’active contre une militante féministe de son pays, Khalida Messaoudi.
Genève, Neuchâtel, Lausanne…
Hani Ramadan célèbre son prophète dans les œuvres de Grand Lapidateur de celui-ci et défend les idées fanatiques de son grand-père.
A Neuchâtel, la Ligue des musulmans de Suisse (LMS) et un de ses responsables, Ramzi Ben Fraj qui anime une mosquée, invitent des Frères musulmans et des prêcheurs de haine du Moyen Orient à leurs manifestations. La même Ligue cite le «Recueil de fatwa » précité comme un livre de référence. Son président Mohammed Karmous « ne prend pas position » à propos de la lapidation suite au texte de Hani Ramadan dans Le Monde : « Il faut voir dans quel contexte la punition se fait (…) je ne suis pas un spécialiste. » (sic !) Sur le même sujet, Tawfik el-Maliki, porte-parole du Centre islamique de Lausanne, refuse de s’exprimer, de même que plusieurs autres. Tariq Ramadan invoque la liberté d’expression…
Larbi Guesmi, imam à Neuchâtel, qui sera plus tard acquitté pour avoir célébré dans un poème les «ceintures sacrées d’explosif», organise une manifestation contre les caricatures danoises et souhaite « une loi qui organise la liberté d’expression ». Nicolas Blancho est l’autre organisateur de la manifestation. Il n’est pas encore le leader que nous connaissons.
En 1995 déjà, Mouhammad Kaba, directeur du Centre islamique de Lausanne, défend la polygamie, l’héritage inégal et l’interdiction pour les femmes musulmanes d’épouser un non-musulman. Et le voile, car «les cheveux sont un atout de séduction important». Al Rifai est l’imam du centre. Il sera lui aussi plus tard acquitté après une plainte pour avoir placé sur son site la litanie des sanctions de la charia, l’injonction de battre les enfants qui refusent de faire la prière et pour avoir dans ses sermons montré son fanatisme. Les médias continuent aujourd’hui de fréquenter assidûment cet imam.
Oh oui, de la charia dans le droit suisse!
Farhad Afshar, président de la Coordination des organisations islamique de Suisse, soutiendrait volontiers une manifestation contre les caricatures danoises en compagnie «des chrétiens, des juifs et des démocrates». En 2008, il se dit séduit par une proposition «d’un professeur de Fribourg d’introduire un peu de charia dans le droit suisse. Le texte a paru dans le bulletin Tangram de la Commission fédérale antiraciste, toujours très occupée par «l’islamophobie» des Suisses! Afshar: «Cela pourrait être utile, notamment lors de mariages mixtes. En droit islamique, le contrat de mariage fixe de nombreux détails pour la suite. On pourrait ainsi poser dès le mariage les questions qui risquent de fâcher: quelle sera la religion des enfants ? (…) Qui aura la garde en cas de divorce?»Et ce serait beaucoup plus pratique, ajoute-t-il, pour décider du partage de l’héritage !
El-Araby, responsable du Centre islamique de Chiasso et élu communal est considéré comme un modèle d’ouverture par les journalistes. Il se félicite de la création d’un «conseil d’experts européens». Celui qui a produit l’incroyable et haineux « Recueil de fatwas. »
Rêve de charia
Mourad Dhina, résidant genevois membre du Front islamique (FIS) du Salut algérien est prié par les autorités de cesser son soutien aux terroristes de son pays. On le retrouvera en 2014 en compagnie d’Abbas Arouas dans une «organisation humanitaire» en pleine expansion dont le président est accusé d’avoir récolté des fonds pour Al Qaida.
L’Association des musulmans de Fribourg, signale: «La référence religieuse de l’AMF est le Conseil Européen de Fatwa et de la Recherche». L’auteur du « Recueil de fatwas » si misogyne et intolérant.
Récemment, un secrétaire d’association musulmane de Bâle a lui aussi été acquitté après avoir affirmé son souhait de voir la charia introduite en Suisse, soutenu le verset du Coran qui autorise les hommes à battre leurs épouses lorsqu’elles se refusent à euxnet estimé que la mutilation des voleurs est une sanction tout à fait appropriée. Aujourd’hui, les autorités subventionnent la crèche « Mini Umma », créée par cette association (qui n’enseigne pas la religion tout de même !), alors que ledit secrétaire les traîne jusqu’à la Cour européenne parce qu’il refuse que ses filles prennent des cours de natation.
Si la « liberté de religion » autorise ce genre d’enseignement, ne serait-il pas temps de revoir la définition judiciaire de cette liberté ? D’autant que ces associations, comme je l’ai montré, se fichent comme d’une guigne du radicalisme qui progresse en leur sein.
Aujourd’hui, les Ramadan, Rifai, Dhina, el-Araby, Kaba, Afshar, Ouardiri, etc. etc. sont toujours en pleine activité, sans aucune contrainte ni demande de comptes. Et la loi sur le renseignement telle qu’elle est prévue demandera beaucoup plus de personnel pour vérifier le bine-fondé des écoutes téléphoniques, que de personnel chargé des écoutes. Vu les exigences mises, il n’y en aura qu’une dizaine par année, nous assure-t-on! Assurés, mais pas rassurés. Les Verts et les socialistes, comme dans toute l’Europe, crient à la protection de la vie privée au détriment… de la vie tout court.
Ignorants journalistes
Durant toutes ces années, le terrorisme et le fondamentalisme ont fait la Une de l’actualité. Les journalistes traitent de ces questions sans avoir jamais mis le nez dans un Coran. Et Tariq Ramadan, interviewé par ces mêmes ignorants et complaisants, affirme encore dans son dernier livre que le djihad est un effort sur soi-même pour être vertueux. Si ses interlocuteurs avaient lu le Coran, ils auraient quelques questions dérangeantes à poser. Mais les questions dérangeantes, nos médias question islam ne connaissent pas. Sauf à l’encontre des «islamophobes», «racistes» et autres fascistes.
L’attentat de Charlie Hebdo comme les précédents assassinats par des «déséquilibrés» au nom de «Allah est grand» a tout à voir avec l’islam. Il serait temps de le clamer haut et fort et de demander des explications à ses adorateurs. Après s’être soi-même informé!
« Parler de liberté n’a de sens qu’à condition que ce soit la liberté de dire aux gens ce qu’ils n’ont pas envie d’entendre ».
George Orwell
Les tueurs de l’islam sévissent dans nos sociétés comme dans les États arabo-musulmans. Jusqu’à quand exonérera-t-on les adorateurs du «Saint Livre» ? Jusqu’à quand médias et politiques, en Suisse aussi, seront-il aussi complaisants ?