Première vision: initiation pas à pas sur la manière de savoir si les enfants de Gaza soi-disant victimes de l’armée palestinienne sont bien des enfants de Gaza:
Le prisonnier palestinien « mort sous la torture » ou victime des méchants israéliens est-il bien celui que l'on nous montre?
Dans le même genre d’idées, témoignage d’une bénévole australienne manipulée, qui découvre la réalité de l’apprentissage de la haine et de la guerre aux enfants gazaouis. Elle en pleure:
Et pour conclure, deux nouvelles datant de début mars qui rappellent l’obsession du corps féminin par les théocrates, et leur patiente mise en place d’une société totalitaire:
- Le Hamas interdit le marathon de Gaza aux femmes (400 inscrites), ce qui entraine son annulation. "Nous ne voulons pas que des femmes courent en étant découvertes", explique un officiel.
- Gaza supprime la mixité -déjà bien mal en point- dans toutes les écoles, dès 9 ans. Et les hommes ne pourront plus enseigner aux filles. La loi s’impose aux établissements chrétiens comme à ceux des Nations Unies.
Notons que le 16 avril, des habitants de Gaza sont descendus dans les rues pour danser. Ils fêtaient l’attaque terroriste du marathon de Boston.
Vu qu'aimer Israël et vouer aux Gémonies le Hamas est une faute plus grave encore que dénoncer l'islam et ses méfaits, je n'ai pas le courage d'ouvrir les commentaires.
Les Palestiniens sont les maîtres de la communication et de la manipulation. Afin de renforcer le rejet d’Israël, ils sont prodigues en images sanguinolentes, de préférence des enfants. Un site explique comment vérifier l’origine des ces images diffusées par des manipulateurs gazaouites. L'exercice vaut aussi bien pour d'autres sujets.
Et l’on découvre que la Syrie représente une précieuse ressource pour les faussaires.