Par Camille, lecteur de ce blog
Partant du constat que tant les cyniques qui «considèrent que les Arabes ne sont pas faits pour la démocratie», que les complaisants «qui nous préparaient à un pouvoir durable des islamistes» ont commis une erreur d’appréciation, Frédéric Encel analyse le Printemps arabe de manière rigoureuse et pondérée, faisant appel aussi bien à l’histoire qu’à la situation contemporaine.