Giorgio Ghiringhelli a découvert dans un bar de Tenero au Tessin un élément inédit d'islamisation: la crèche. D'un côté la mosquée avec son minaret et de l'autre (en l’occurrence derrière Ghiringhelli), une église avec à ses pieds Jésus entouré des personnages traditionnels.
Ce qui me fait penser à une image de Christine Tasin. Elle compare l'islam à un fluide qui occupe peu à peu tous les coins et recoins de nos sociétés. Il en épouse les volumes et (ce n'est plus elle qui parle) détruit progressivement nos traditions en infiltrant les siennes.