(Texte d'une Genevoise. Anonyme pour raisons professionnelles.)
Régulièrement, je tente l’expérience. Au cours d’une discussion avec l’une ou l’autre de mes amies genevoises, je pointe les dangers de l’idéologie musulmane. Et souvent, mon interlocutrice a une réaction étonnante: changement immédiat de sujet, mention d’un défaut du christianisme, ou bien silence embarrassé suivi, parfois un peu plus tard dans la conversation, de réflexions sur le racisme, la nécessaire solidarité ou la souffrance des immigrés.