Quoi de plus normal que de prévenir la transphobie, l’homophobie et les discriminations qui vont avec? Le Canton de Vaud, coaché par «l’experte en théories des genres» Caroline Dayer, vient de communiquer son plan d’action pour les écoles et lieux de formation.
«Les élèves LGBTIQ, (lesbienne, gay, bisexuelle et bisexuel, trans*, intersexe, queer ou en questionnement) nous explique-t-il, sont davantage la cible de violences (…) et leur taux de tentative de suicide est plus élevé que celui de leurs camarades, notamment en raison de la stigmatisation et du manque fréquent de facteurs de protection (école, famille, etc.).»
Ce plan n’est qu’un début pour parer à cette terrible réalité, comme l'indique une interview de Caroline Dayer à la RTS. Un début, car notre experte est en fait une adepte de la «cancel culture», versant disparition des sexes féminin ou masculin au profit d’une gerbe multicolore de genres. A choix.
Caroline se demande pourquoi le sexe «est basé sur nos organes génitaux externes. Il pourrait l’être sur nos chromosomes ou nos hormones…» C’est notre culture qui désigne les nouveaux arrivants comme fille ou garçon. L’experte va donc d’abord leur expliquer tout ce qu’ils pourraient devenir. Comme l'illustrent tant de petits camarades qu’ils côtoient, semble-t-il, et stigmatisent.
Car de nombreux enfants peuvent, surtout depuis que ces théories ruissellent dans des médias qui se surpassent dans la complaisance, «ne pas se sentir en adéquation avec le sexe assigné à la naissance».
Caroline Dayer l’a constaté: «Dès le primaire, il y a des élèves qui disent c’est pas comme ça que je veux me faire appeler…» Pour les (ré)conforter, elle commence donc par offrir «des procédures et des outils pédagogiques». C'est le chapitre du jour. Le prochain consistera selon toutes probabilités à «renforcer les dispositifs en lien avec les parcours de transition...»