Les autorités ne reculent devant rien pour imposer le foulard. Jusqu'à autoriser une élève à montrer à ses camarades, sur son tapis de prière, comment elle adore son Dieu. Jean-Luc Addor et l'UDC montent au créneau.
«Au début de l’année scolaire, elle est arrivée à l’école couverte d’un voile. Des camarades se sont plaints, comme mon fils, et en ont parlé à leurs parents.» La jeune Syrienne fréquentait déjà l’école valaisanne, tête nue. «J’ai vécu dans certains pays musulmans, poursuit mon interlocuteur. Une fille doit porter le voile dès qu’elle a ses règles, je pense que c’est pour cela qu’elle a changé sa tenue.» Effectivement, les pères et mères Lapudeur n’en ont plus aucune lorsqu’il s’agit d’annoncer urbi et orbi par ce biais que leur fille a ses menstrues.
L’écrasante majorité des parents se sont indignés. «J’ai voulu écrire une lettre, raconte ce père, mais il n’y avait plus personne pour la signer.»
De son côté, l’enseignante prise dans cette glu a demandé à plusieurs reprises l’intervention de sa hiérarchie qui, comme il est d’usage dans la quasi-totalité de ces situations, a regardé ailleurs.
Ce père s’est alors adressé à Jean-Luc Addor, conseiller national UDC. Le 24 janvier, celui-ci a trempé sa souris dans l’acide et interpellé le Conseiller d’Etat Christophe Darbellay en charge de l’éducation. Sa lettre nous en apprend de belles! «Il y a peu de temps, les élèves de cette classe (…) semblent s’être vu dispenser un enseignement sur l’islam avant que l’élève précitée ne fasse à ses camarades une sorte de démonstration de prière sur un tapis en direction de la Mecque.»
Et de demander au magistrat si ces faits sont exacts et quelles sont ses intentions. Darbellay répond le 11 mars. Il précise qu’un quarteron de professionnels, directeur, enseignante, déléguée à l'intégration et traductrice se sont unis pour rappeler quelques règles aux parents, notamment que tous les cours sont obligatoires et pour leur expliquer «les difficultés qu'une telle situation pouvait générer». Et que «tout le visage doit être découvert»… au cas où les parents rêveraient de niqab afin de soustraire plus sûrement leur fille aux appétits sexuels de ses camarades. Mais le voile, pas de problème, il est autorisé.
Il faut dire que le parlement du canton, suivi par le Tribunal fédéral en 2018 a invalidé l’initiative «tête nue à l’école», qui interdisait le foulard et avait abouti. Le voile des fillettes (et l’emballage qui va souvent avec) est donc autorisé. Christophe Darbellay n’avait pas ménagé sa peine pour obtenir ce résultat.
Mais ce n’est pas tout, le magistrat poursuit: «En outre, l'intervenante en éthique et cultures religieuses, accompagnée du médiateur et de l'enseignante titulaire, a conduit une activité en classe en présentant les différentes facettes des religions monothéistes et tirant des parallèles entre les différents voiles portés dans ces religions.» La scandaleuse imposture qui voudrait que les chrétiennes aient été obligées de se couvrir la tête perdure. Et si ça avait été le cas, en quoi ce volet d’histoire justifierait-il qu’aujourd’hui, les musulmanes se plient à cette misogynie?
Notre père confirme ce que son fils lui a raconté: la jeune fille a pu montrer l’innocuité de sa tenue en illustrant, sur son tapis de prière, la manière dont elle invoque Allah. Rien n’est épargné pour convaincre le bon peuple que l’islam est une religion comme les autres, hors quelques rites obligatoires. Mais le peuple ne s’en laisse pas conter.
De nombreuses écoles, comme celle dont nous parlons, contiennent dans leur règlement l’interdiction du couvre-chef aux élèves. Mais, annonce Darbellay dans sa lettre, «la liberté religieuse étant supérieure au règlement de l'établissement, celui de l'école ne sera pas modifié.» Couvre-chef interdit… sauf pour motif religieux.
Enfin, son département rédige «en collaboration avec les Eglises reconnues en Valais» «un document fixant un cadre clair pour la prise en compte de la diversité culturelle dans le milieu scolaire, notamment concernant le port de signes ostentatoires, conforme au droit». On aime appeler le voile «signe ostentatoire», périphrase qui suggère qu’on inclut d’autres signes… que personne ne porte. Les athées, qui forment la deuxième catégorie de la population (elle a triplé depuis l’an 2000) après les catholiques, et dont on imagine qu’ils contiennent bon nombre d’opposant au foulard, ne sont pas concernés.
Pour sa part, Jean-Luc Addor ne compte pas en rester là: «Je vais déposer une initiative parlementaire au Conseil national pour demander l’interdiction du voile à l’école.» Il sait qu’elle a peu de chances d’être acceptée, mais elle montrera que le débat n’est pas clos.
Parenthèse qui a tout à voir avec cette polémique: j’ai repéré dans la page Facebook du Réseau laïque romand, le commentaire d’Anne-Marie Peysson qui envoie le 31 mars une «pensée à la petite fille voilée en hidjab, de 3 ou 4 ans, aperçue hier à la Migros de Balexert, complètement emmitouflée de la tête aux pieds, qui se grattait en regardant les jouets. Mon cœur de mère, de grand-mère et de féministe en a été bouleversé! Je n'ai pas vu un choix de vie, encore moins de la spiritualité! Mais de la maltraitance. Comment nos autorités, la protection de l'enfance, peuvent permettre cela?»
Eh oui, les musulmanes nous le disent sur tous les tons: tu accepteras mon voile que cela te plaise ou non. Et le reste, les prières, le halal, les jours de congé pour fêtes musulmanes, l’abandon du porc dans les cantines, etc. suivra.
Les adorateurs d’Allah ont décidé de nous imposer ce symbole d’inégalité par tous les moyens. Partout en Occident, ils réclament des lois ou les contestent, portent plainte pour discrimination auprès des tribunaux, font pression sur les entreprises et les administrations, s’accaparent des territoires où les femmes tête nue sont harcelées. La jeune élève valaisanne de son côté entame son combat par d’autres moyens: «Fin mars, après une réunion politique, raconte mon interlocuteur, elle a suivi mon fils en lui lançant des pierres.»
Commentaires
Quelle tristesse! En Iran et dans d'autres pays musulmans on se bat contre le voile et l'Islam, de même façon qu'en Europe on s'est battu pour se libérer du nazisme, par contre maintenant on laisse en Occident et en Suisse cette philosophie gagner et marquer son territoire..... Bientôt ce sera le monde à l'envers: on va fermer les mosquées en Iran et par contre les ouvrir en Occident......
Les soumises aux chiffons islamiques deviendront les femmes du môôssieur musulman qui pourra, selon le coran, avoir 4 épouses. Elle devra donc partager ses désirs afin de combler ceux du mari devenu un mac! Le concept musulman attire des non musulmans et pour cause.....
Le statut des femmes en Europe et en Suisse est remis en cause, ils ont l'argent et les idiots utiles.
https://blog.sami-aldeeb.com/2019/04/05/tariq-ramadan-touche-35-000-euros-mensuels-venant-du-qatar/
" elle a suivi mon fils en lui lançant des pierres.»"
Excellent, elle s'entraîne pour la lapidation des infidèles et des apostats.
Gare, gare, un jour, ce pourra être son tour.
Le port du foulard à l'école est insupportable. Il existe une liberté de conscience, et à ma connaissance, la conscience est INTÉRIEURE à chaque individu.
On ferait quoi aux adeptes d'une religion qui prônerait le naturisme? Au nom de la liberté religieuse... vous avez compris la suite.
Au nom de la liberté religieuse, ils peuvent donc se réclamer de la charia?! On voit l'imbécilité de l'"argument" de la "liberté de religion".
Les Syriens n'ont plus aucune raison de ne pas retourner dans leur pays, sauf si ce sont des terroristes. Cf. la citation en tête de ce commentaire.
Insidieusement à laisser faire cela nous allons perdre nos valeurs et libertés de femmes occidentales. A l'image de cette maman, grand-maman de Balexert, je me pose la question :
Pourquoi nous, Occidentales, nous n'aurions pas le droit de dénoncer cette discrimination qui est faite à notre égard, en nous imposant cette image de femme soumise et tellement rétrograde pour nos propres libertés chèrement acquises?
Merci Mme Vallette et que les femmes qui lisent ce blog et ce billet particulier, nous fassent part de leurs sentiments profonds et quels états sont les leurs lorsqu'elles se retrouvent en présence de ces femmes affublées de leur soumission.
Primo, M. Addor, qu'attendez-vous pour changer la constitution suisse (qui a été établie en fonction de la religion chrétienne mais qui n'est pas adaptée pour lutter contre l'invasion islamique) afin que l'on puisse interdire le voile à l'école comme le font les Français ! En effet, cette interdiction est tout à fait possible puisqu'elle respecte la CEDH !
Deuxièmement, je pense que c'est une très bonne idée d'apprendre quelques rudiments de l'islam aux écoliers. Ainsi ils sauront que Mahomet, le modèle à suivre pour les musulmans, a eu 11 femmes dont une de 6 ans, a tué 600 hommes de sa main, et autres joyeusetés. Je pense qu'il faudrait aussi leur citer quelques sourates misogynes et d'autres (il y en a plus de 200 !) invitant les musulmans à éliminer les kouffars (nous donc), sourates que les petits musulmans sont toujours invités à apprendre (si possible par coeur), même dans nos contrées...
Une fillette qui est formée à faire de la propagande et du prosélytisme, qui sont ses parents, d’où viennent-ils, pourquoi envoient-ils leur fille à l’école, puisque - son voile nous l’annonce - elle sera mariée avant la fin de sa scolarité à un homme de la même obédience religieuse que ses parents.
Il faudrait surveiller les parents......
Les féministes des années septante faisaient enrager les hommes atteints de misogynie qui estimaient que la place des femmes est au foyer,
Aujourd'hui rien ne vient indiquer que tous les hommes apprécient l'émancipation des femmes (sans parler ici salaires).
De l'islam… concernant les femmes… cette idéologie ne soutient-elle pas ces êtres misogynes où qu'ils se trouvent!?
En prenant connaissance de votre article, Mireille Vallette, la question de la laïcité se profile: en l'occurrence, cette loi est-elle respectée?
Il est curieux de constater que les pays islamiques exigent que les voyageuses des autres pays se couvrent la tête et portent des habits amples et longs pour cacher leur corps pour respecter leurs coutumes !
La réciproque devrait être la même tant et si bien que lorsque nous demandons à ces jeunes filles / femmes de ne pas porter de signes religieux vestimentaires, elles refusent et se sentent montrées du doigt ... alors qu'il n'en est rien : elles se mettent toutes seule dans cette situation qu'elles déplorent !
@MARIE. A
"La réciproque"
Le fait que nous n'exigeons jamais la réciprocité face à l'islam a (au moins) deux explications: la première c'est que nous sommes devenus incapables, par peur ou appât du gain, de défendre nos propres valeurs, pour autant que nous les connaissions encore; la deuxième c'est que nous nous sentons tellement supérieurs que nous ne pouvons pas exiger de certains (les *barbares" ou les colonisés d'autrefois) de se comporter comme nous.
Pour la deuxième raison, il est évident que nous ne pourrions pas en être conscients nous-mêmes, tellement la "honte du colonisateur" nous a réduit à des victimes consentantes.
Nos valeurs.
Nous n'avons pas lu les évangiles de manière impartiale.
Jésus a toujours raison.
En fait, non tendu comme un miroir reflet de nos imperfections il nous interpelle (vu par l'Inde Jésus est un mahatma instrumentalisé par le Divin au service de notre amélioration en humanité comme en morale ou éthique.
Un seul exemple, compris de cette manière: il dit à Pierre qu'il est pêcheur de poissons qu'il le fera pêcheur d'hommes
ayant appris à prendre les poissons au piège Pierre par Jésus apprendrait à prendre les hommes en ses filets ?
Krisnamurti enseignait que ce qui nous choque en fait nous interpelle-
Voici justement un exemple du danger concernant l'introduction du "fait religieux" à l'école dans le canton de Genève.
Ces cours risquent de devenir l' occasion rêvée de faire de la propagande pour l'islam. Car les enseignants qui voudraient enseigner la réalité de cette idéologie vont être très prudents pour ne pas risquer les foudres des chasseurs d'islamophobes qui seront en embuscade. On ne dira rien de la vie sanglante de Mahomet, de ses guerres , de ses rapines, du sort réservé aux tribus conquises, des meurtres de ses contradicteurs, de son "mariage" avec une enfant, ou de ses femmes captives, etc....On aura droit à un enseignement utilisant le mensonge par omission car personne n'osera parler non plus du sort que l'islam promet à ceux qui n'en font pas partie ou qui voudraient le quitter.
Par contre les enseignants islamophiles ne vont pas se gêner pour utiliser cet enseignement devenu obligatoire pour faire du prosélytisme. Ils feront leur possible pour faire passer cette idéologie fascisante pour une religion comme les autres, comme en Valais. Et gare à ceux qui s'offusqueront, car si une petite fille a appris à lancer des pierres, d'autres manient le couteau ou l'attaque en bande.
Merci à Mireille Vallette et à jean-Luc Addor. Il ne faut pas laisser ces gens tenter d'islamiser nos enfants.
Quand j'étais adolescente, un professeur islamophile nous avait vanté les beautés de l'islam. Ils nous avait vanté la générosité de "l'aumône", un des cinq piliers de l'islam. Quelle n'a pas été ma stupéfaction, des années plus tard, d'apprendre que "l'aumône" n'était destinées qu'aux musulmans, exclusivement. Les chrétiens aident les pauvres de tous horizons, quelle que soit leur religion, mais cela ne compte pas, et le professeur ne l'a jamais relevé. Il fallait surtout trouver des vertus à l'islam et faire comme si ces vertus étaient absentes ailleurs.
Il nous avait aussi vanté le fait qu'en islam il n'y aurait "pas d'intermédiaire entre Dieu et l'homme". Là aussi ce n'est que bien plus tard que j'ai compris que "pas d'intermédiaire", voulait dire pas de clergé organisé. Mais qu'un intermédiaire, il y en avait un très très très gros, qui s'appelle Mahomet, Muhammad, ou Mohammed. On l'adore bien autant qu'Allah. Au point qu'il faille le bénir à chaque fois que l'on prononce son nom....
Mais avis aux professeurs prosélytes : il y a des élèves que vous penserez avoir convaincus pour un temps, qui malgré tout savent réfléchir par eux même, qui s'informent, et qui un jour risquent de devenir vos contradicteurs les plus convaincus. Car quand un jour donné on fini par comprendre qu'on a été grugé, on ne se laisse plus faire et on combat les manipulateurs avec une énergie décuplée.
Si le "fait religieux" devait être enseigné dans nos écoles, il devrait l'être exclusivement par des historiens des religions qui ne devraient pas être théologiens ni avoir aucun rôle actif dans aucune Eglise au sens le plus large.
Cela implique notamment de ne pas se concentrer sur les "grandes" religions monothéistes et de ne considérer aucune d'entre elles dans une perspective évolutionniste qui en ferait le résultat d'une progressive perfection, et de mettre leurs méfaits en regard des bienfaits qu'on leur prête d'un point de vue moral.
… et comment va-t-on faire avec les bonnes sœurs qui sévissent encore dans certaines écoles ? Devront-elles poser le voile à la salle des maîtres ? Je me marre déjà à l’idée de voir ça!
Là se sont des écoles privées et si les parents partagent ces convictions et veulent élever leurs enfants dans ces cadres-là, cela les regardent et ils en prennent la responsabilité et les usages.
Mais au moins on impose pas cela aux enfants des classes laïques et publiques. Nous avons dû enlever les crucifix des classes déjà, ce qui fait que la soi-disante diversité penche seulement d'un côté et s'imposera de fait si nous n'interdisons pas ce -"marquage vestimentaire".
Eloquent : "couvre-chef interdit....sauf pour motifs religieux" puisque la liberté religieuse est supérieure aux règles administratives de l'établissement. Vous imaginez où l'on va avec un argument pareille j'espère!
Quand j'ai posé quelques questions gênantes sur l'enseignement de la religion islamique à l'école, et en particulier sur Mahomet, à un enseignant 100% gauchiste immigrationniste et islamolâtre (quasi pléonasme pour la grande majorité des enseignants...), il était tellement coincé qu'il m'a finalement dit qu'il resterait très vague sur toutes les religions mais n'a surtout pas remis en cause l'islam.
Il est hallucinant (et désespérant...) de voir l'emprise de la bien-pensance et l'absence de tout esprit critique chez ces bobos pourtant universitaires ! On peut aussi relever leur manque de courage. Ils et ELLES ont lâchement abandonné les fillettes musulmanes à leurs barbus.
Enfin, Christian, pourriez-vous nous dire dans quel canton, les écoles publiques acceptent une soeur catholique voilée comme enseignante ? Merci !
"… et comment va-t-on faire avec les bonnes sœurs qui sévissent encore dans certaines écoles ?"
Le combat engagé contre les signes religieux comprend des aspects quelque peu différents: l'un est un combat pour une modernisation de la société et sa mutation en une société laïque, qui n'interdit pas les religions mais leur impose certaines règles; l'autre est un combat pour la préservations de nos valeurs culturelles, y compris celles qui concernent les religions.
Dans cette perspective, le maintien de certains usages, comme celui de confier des enseignements à des bonnes soeurs, est un fait culturel traditionnel qui mérite un certain respect, même si on le regrette, et disparaîtra certainement à terme, que ce soit par simple évolution des moeurs ou par décisions politiques.
Le port du voile islamique, qui est le signe d'appartenance à une religion qui ne fait pas partie de notre patrimoine culturel, est d'un autre ordre: il n'est pas imposé par cette religion elle-même, rappelle un usage ancien de chez nous qui est voué à disparaître dans l'évolution vers la modernité et relève donc d'une volonté de prosélytisme que nos nouvelles lois cherchent à empêcher dans le domaine public.
Pas un commentaire mais une information pour l’amalgame imbécile et orienté de JJ/Jean Jarogh qui signe Christian, depuis la Hongrie!
Mère-grand, vous rêvez. L'histoire des religions est enseignée à l'UNIL et elle est très complaisante avec l'islam...cette si belle religion qui ne fait l'aumône qu'aux musulmans....
Des bonnes sœurs à l'école publique ? Christian, vous avez des des hallucinations. On vous parle de l'école publique obligatoire à Genève, dans laquelle il n'y a ni bonne sœur ni prosélytisme chrétien.
Le PDC valaisan va entrer dans l'histoire comme le bienfaiteur qui introduit l'Islam dans les écoles, merci dieu est grand.
....un petit coup d'oeil en Valais et au Tessin, et vous seriez surpris !
Ah ces bonne sœurs voilées, que vous imaginez sévir dans les écoles publiques suisses.
Et ces grosses croix qu’Anna Carole Kast imagine avoir vues chez ses collaboratrices évangéliques à Onex. Alors qu’un évangélique ne porte pas de croix. Il faudrait que Mme Kast se renseigne avant de parler, ça fait désordre de raconter n’importe quoi.
https://www.frequencebanane.ch/podcast/debat-sur-la-laicite-de-letat/
Et ces kippas, que seuls les islamistes imaginent être revendiquées par des fonctionnaires genevois. Dans les faits, j'en ai surtout vu à Saint Moritz, portées par des touristes, et très occasionnellement seulement ailleurs.
Et ces point rouges sur le front, que les adversaires de la loi sur la laïcité ont imaginés sur le front de nos futures fonctionnaires genevoises, dans des affiches d'une mauvaise foi affligeante.
Les relativistes et les défenseurs du voile aimeraient tellement nous faire croire que toutes les religions font comme l’islam : qu'elles affichent ostensiblement leurs symboles , et montrent ainsi avec dédain aux autres qu’il n'est pas question de faire corps social avec eux.
Et comme ce n’est pas le cas, alors on invente tout et n’importe quoi !
Si ça continue, un jour certains vont argumenter en prétendant connaître des pastafaristes qui réclament le droit de faire du prosélytisme à l’école publique avec une passoire sur la tête. Et par esprit d'équité, ils exigeront le droit d'en faire de même pour l'islam !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pastafarisme
https://pastafari.wordpress.com/2013/10/26/les-saintes-passoires-sont-admises-sur-les-photos-didentite/#comment-523
Vraiment, les variantes du "le christianisme c'est la même chose que l'islam" on en a marre. Ouvrez un peu les yeux, on n'est plus au quinzième siècle !
Dans chaque article, quand la photo d'un individu s'y trouve, qu'il ou qu'elle aie une tête sympathique ou pas du tout, son nom n'est jamais écrit en légende sous la photo : ce qui est frustrant car si on se trouve un jour en face à face avec l'un d'eux, il vaudrait mieux pouvoir réagir rapidement en fonction de ce qu'on sait déjà de lui ou d'elle !
Un mouvement devrait s'organiser internationalement réunissant toutes les femmes libres pour lutter contre l'islam en tant que philosophie, religion, politique, juridiction, mode de vie puisque l'islam nie et veut anéantir toutes les EVOLUTIONS de civilisation.
Le niveau de civilisation se mesure au respect de l'égalité et de la liberté des individus et des acquis de connaissances qui composent ses sociétés.
Un monde où les femmes ne sont pas égales et libres face aux hommes et où les connaissances sont niées et dominées par des CROYANCES n'est pas un monde civilisé au XXI siècle.
Sonia, Vous avez tout à fait raison. Dans le programme Harmos, le fait religieux est enseigné à l'école. Pour la première fois, les religions mais aussi les divers courants spirituels sont présentés aux enfants en tant qu'histoire des religions. Je pense que les autorités valaisannes n'ont même pas lu l'histoire guerrière et la vie amoureuse de Mahomet. Leur manque de culture est grave et leur prosélytisme est dangereux.
@Sophie
"L'histoire des religions est enseignée à l'UNIL et elle est très complaisante avec l'islam."
Ce n'était pas le cas à Genève lorsque j'étais étudiant.
Artenis,
le problème est que les religieux de tous poils et leurs royautés ont compris depuis des lustres que greffer des croyances aux gamins au cerveaux d'éponges les soumettaient aux désirs royaux et religieux. La loi du plus fort et du plus rusé a fait le reste avec des fables à endormir les gens. Les croyances transformées en un parcours spirituel oblige tout croyant à chercher dieu hibou afin d'aller au paradis ou en enfer c'est selon. Le temps que ces débilités feront parties d'une "éducation" les extrémistes de tous poils auront des beaux jours devant eux. Mourir pour les 72 petites vierges et le bon vin c'est de l'entrainement mental à la pédophilie et au meurtre. Passer à l'action est un pas que bon nombre d'entre eux franchissent puisqu'il est autorisé de marier une gamine (ou plusieurs) avec un vieux pedo avec l'accord de la famille et allah. C'est notre combat que de dénoncer ces horreurs royales et religieuses.
Cher peuple Valaisan,
Vous pouvez vous en prendre qu'a vous même, les règles et les lois sont votées par le peuple....
La laïcité du canton n'a fait qu'amener le Valais où il est, à savoir, à accepter toutes les religions au sein du pays en prônant le respect humain. Les musulmans l'ont compris et en profitent pour divulguer leur culture et leurs idées.
Cher Monsieur Addor,
Je vous prie , je vous conjure, de défendre NOS VALEURS.
Et voilà que 8 mouquères refusent la nouvelle loi genevoise ! La solution est simple, refaire une loi avec l'obligation de se vêtir à l'occidental dans les pays occidentaux. Ras le bol de croiser ces femmes avec ces fringues stupides.
Autre "mode" que l'on va voir de plus en plus le port du "masque médical"! Puisqu'il est interdit de dissimuler le visage elles vont porter ces masques médicaux! Je me vois mal répondre à une vendeuse ou une postière déguisée/masquée de la sorte!