Les députés tessinois ont reçu chacun un exemplaire de mon dernier livre. Le stock est épuisé, mais l'ouvrage commence une deuxième vie.
Trois de nos fers de lance radicaux: Hani Ramadan, Nicolas Blancho et Mohamed Karmous. (Portraits p.33-67)
Le champion de l'interdiction de la burqa au Tessin Giorgio Ghiringhelli, jamais en reste d'une idée, a décidé de sonner l'alarme (une nouvelle fois) auprès des députés de son canton sur les dangers que représente l'islam des mosquées en Suisse. Son arme de conscientisation massive: mon dernier livre. Il vient d'en envoyer un exemplaire à chacun des représentants du peuple de son canton.
Je rappelle que pour moi, radicalisme ne signifie pas terrorisme, bien que le premier puisse conduire au second. Mais l'objet de mes démonstrations et analyses concerne exclusivement la doxa orthodoxe propagée par la plupart des mosquées. (Image: Youssef Ibram)
Après ce geste en bonne partie sponsorisé par un des supporters de Giorgio, le stock de mon éditeur, Xénia, est épuisé. Le livre avait été tiré à 800 exemplaires. Le mutisme des médias a été quasi total: une seule sollicitation. Dès aujourd'hui, le seul livre critique des arrières-cuisines de l'islam est donc en accès libre et gratuit sur la colonne de droite de ce blog. (Table des matières p.7-9)
Une publication récente m'a particulièrement réjouie, "Qatar Papers". Elle confirme la vision que je donne d’associations et centres islamiques de Suisse romande. Les auteurs, Christian Chesnot (France Inter) et Georges Malbrunot (Le Figaro), deux journalistes qui ont passé quelque mois entre les mains d'un groupe de djihadistes en Irak, font la même description de l’idéologie des Frères musulmans et du rôle qu'ils ont joué et jouent toujours en Suisse.
Giorgio a été l'un des premiers adhérents à l'Association suisse vigilance islam. Il est venu faire connaissance avec nous lors de notre dernière Assemblée générale en avril dernier. Ça n'a pas l'air, mais elle avait lieu au bord du lac. A Lausanne.
Le «Guastafeste» (Trouble-fête) conclut sa lettre d’accompagnement aux députés ainsi: «Après avoir lu le livre de la journaliste genevoise Mireille Vallette sur le radicalisme dans les mosquées suisses (avec un chapitre sur le Tessin, pages 35-44), personne ne pourra se cacher derrière le classique "Je ne savais pas". »
Mais combien veulent vraiment savoir?
"Oups, cette page a disparu!" Mes informations sont en général appuyées sur des liens, mais certains documents disparaissent de la toile au fil du temps. Mes références n'échappent pas à cette loi du genre.
Commentaires
Je ne saurais trop recommander la lecture des livres de Mme Vallette.
Félicitations, chère Madame!
Au fait, voici un très un bon exemple de propagande pro-voile à l'étranger:
https://www.chicagotribune.com/lifestyles/ct-life-my-hijab-meaning-05142019-story.html
J'ai vu sur internet que le même article est aussi paru, avec une grande photo de couverture éloquente, dans le "Red Eye," journal gratuit disponible partout, pour bien être sûr que la propagande atteigne tout le monde! Ces médias sont dignes de ceux de chez nous: même agenda!
je suggère à Blancho d'émigrer en Afghanistan ou dans quelques terres si hospitalières placées sous le signe du Coran; oui, la vie ne doit pas être drôle pour lui ici, au milieu de toutes nos valeurs qu'il hait et qu'il combat.
Selon l'Illustré, il est indésirable à la Mecque (publication d'octobre 2018). Endetté jusqu'au coup (toujours selon l'Illustré), ne payant pas ses impôts (tiens, c'est étrange : on n'entend pas les socialistes crier aux loups dans le cas de cet énergumène), cet "imam" de pacotille montre une fois de plus que la religion musulmane fait office de valeur-refuge pour nombre de paumés, de malades mentaux (tels ceux qui commettent des attentats en Europe (et qui sont tous, comme le veut le courant mainstream, malades), de ratés, de loosers et de has-been en tout genre...
Et dire que c'est l'Université de Berne qui a formé cet énergumène................ avec nos impôts !
Il faudra un jour s'ouvrir les yeux et interdire l'islam en Occident. À quoi sert de critiquer la Sainte Secte et la laisser prospérer aux dépens de l'Occident ? Ce reliquat des siècles passés veut encore agir et imposer ses vertueuses monstruosités à des États qui ont su évoluer, bouger et tempérer les ardeurs des religions. On n'a que faire de l'islam, de ce fouillis de bêtises inscrites dans un soit-disant livre saint qui n'est qu'une collection d'arriérations. Bas les pattes, islam !