La nouvelle éducation sexuelle est obligatoire et résolument tournée vers les dogmes LGBT. Une grand-mère raconte l'expérience de son petit-fils.
Je vous ai signalé en novembre dernier la tentative de Léa d’éviter à ses enfants les cours d’éducation sexuelle qui se réfèrent aux standards de l’OMS.
Un cours a eu lieu, la promesse d’en prévenir la maman n’a pas été tenue. L’intervenante a utilisé la contrainte pour imposer ces nouvelles normes, dont tous les acteurs et toutes les recherches sont au service de la sexualisation précoce fondée sur la propagande LGBT. Plusieurs enfants en sont ressortis très perturbés.
Les parents doivent ignorer le contenu des cours. Anne Hiltpold la cheffe de l’instruction publique, de la formation et de la jeunesse avait été alertée, elle regarde ailleurs.
Rappelons quelques exemples de ces «standards» commis par l’OMS (dès p.38) et destinés aux petits Européens.
Entre 0 et 4 ans
Les enfants sont informés sur: «les différents corps et différents sexes», «la masturbation enfantine précoce», «la découverte (…) de ses parties génitales», «le droit d’explorer les identités sexuelles», etc… Il faut permettre à l’enfant d’«exprimer ses propres besoins, désirs et limites ,par exemple en «jouant au docteur… Il faut développer «une curiosité pour son corps et le corps des autres».
Entre 4 et 6 ans
Informer sur: «les différents corps et les différents sexes», «le plaisir et la satisfaction liés au toucher de son propre corps», «la masturbation enfantine précoce»...«les sensations liées à la sexualité (proximité, plaisir, excitation) comme faisant partie de la gamme des sensations humaines»...«l’amitié et l’amour envers des personnes du même sexe»… Développer l’acceptation de la diversité, la conscience de pouvoir choisir, une attitude ouverte et non jugeante, le respect de différentes normes sexuelles...
Etc. etc.
... Entre 09 et 12 ans
Au programme : l’orientation sexuelle, les différences de comportement sexuels, la différence entre amitié, amour et désir sexuel, l’amitié et l’amour envers des personnes de même sexe, décider consciemment d’avoir ou non des expériences sexuelle; l’acceptation, le respect et la compréhension des différentes expressions de la sexualité et d’orientation sexuelle, etc.
Pour illustrer cette approche et les réactions de quelques enfants, rien de plus parlant que ce récit de la maman de Léa et grand-maman d’Abel:
«Ma fille, qui connait la tendance nouvelle de l’éducation sexuelle, avait supplié l’enseignante de permettre à Abel mon petit-fils de 11 ans de rentrer à la maison quand le cours aurait lieu. Celle-ci s’était engagée en insistant sur la confidentialité, en effet sa direction sanctionnerait certainement cet écart, ce cours étant obligatoire et aucune dispense n’étant accordée et les dates devant rester secrètes malgré les courriers et insistances des parents.
Le cours a eu lieu mardi matin. Abel a demandé à pouvoir appeler sa mère, ce que l’enseignante lui a refusé. Il est donc resté dans la classe avec ses camarades, puis l’intervenante, une certaine Maéva, a commencé.
Dès les premières minutes, Abel s’est senti très choqué par ce qu’il entendait et a demandé à quitter la pièce. D’autres enfants ont alors également manifesté leur malaise, mais la Maéva en question ne l’entendait pas de cette oreille, elle les a contraints à rester à leur place.
Quel était le contenu exact? On ne sait pas encore, car mon petit-fils est tellement choqué qu’il refuse d’en parler et aucun de nous, parents et grands-parents, n’insistons pour savoir. Nous ne faisons que lui témoigner notre amour et notre soutien.
Mercredi matin, j’étais chez eux, il n’est plus retourné à l’école depuis ce cours. Quand je suis arrivée, il était dans sa chambre et interdisait à quiconque d’entrer. A un moment, il s’est mis à hurler, mais vraiment des cris de bête sauvage, cela m’a brisé le cœur! Sa maman a fini par le calmer.
Le pédiatre veut le voir et est d’accord de lui faire un certificat car Abel ne veut plus retourner en classe, du moins pour le moment. J’ai appris qu’un autre enfant est allé s’enfermer dans les toilettes après le cours, c’était l’heure du repas à la cantine, et personne n’a pu l’en déloger, les responsables ont dû appeler les parents pour le faire sortir. Un autre petit a été malade le soir et son père a écrit une lettre incendiaire à la directrice de l’école.
Mes amis nous sommes clairement chez les fous, il y a une volonté de détruire le mental des enfants, de détruire les valeurs de la famille, de pousser à une sexualité sauvage, sans tendresse ni humanité.
L’intervenante était censée, du moins c’est le prétexte pour imposer ce cours, préserver les enfants des abus en leur apprenant à dire non, en leur expliquant ce qu’est le consentement.
Or il se trouve que quand un enfant lui dit non, elle passe en force et lui interdit d’exercer son libre-arbitre. Quel type de message est-ce là? Tu peux toujours t’opposer, c’est l’adulte qui aura le dernier mot sur toi? Qui te contraindra?
Dans mon jargon de coach, cela s’appelle une injonction paradoxale, cela rend les gens fous...
La cheffe du Département de l’instruction publique, qui a pourtant été alertée par le «Collectif des parents», s’en lave les mains, on ne discute pas les directives de l’OMS, point.»
Rappel : Inspirée par l’OMS, «Santé sexuelle Suisse» a accouché d’un «Cadre de référence pour l’éducation sexuelle en Suisse romande». C'est justement à Santé sexuelle Suisse qu'on doit la brochure «Hey You» (dont j’ai parlé ici) subventionnée par la Confédération. La sexualité toute crue est absorbée dès le plus jeune âge, les élèves dès 12 ans sont initiés à des thèmes tels que l’anulingus, la bonne utilisation des plugs (qui stimulent le plaisir anal), des vibromasseurs et des sextoys en général.
Une large place est consacrée aux relations homosexuelles et transsexuelles.
Les organisations elgébétistes sont remerciées par les auteurs pour leur contribution.
Le Collectif des parents de Genève va être reçu par la Commission des droits l’homme du Grand Conseil.
Ils n'ont que ces "informations" pour tenter de savoir ce que contiennent les cours: https://www.unige.ch/ssi/ressources/ressources-pedagogiques-ssi/brochures/sexoado/
Commentaires
Est-ce que bientôt on va séparer les nouveaux nés de leur parents pour les mettre dans un centre pour les "éduquer proprement"?
Honte aux IRresponsables politiques qui confient les enfants à des personnes ayant pour but de partager leurs propres obsessions sexuelles, contre la volonté des parents! Le fait d'imposer cela aux familles, notamment en refusant de communiquer aux parents les dates de ces séances n'est-il pas illégal?
N'y a-t-il personne à l'Etat pour protéger les enfants??
Je suis sidéré par ce que je lis! Comment peut-on laisser faire cela à Genève? N'y a-t-il personne pour protester, parmi les parents? Parmi les élus? Il faut cesser immédiatement ces violences faites aux petits!