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Israël calomnié, Hamas exonéré, islamofascisme galvanisé

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Les génocidaires changent de nom. Ce fut brièvement le Hamas, c’est désormais Israël. Les crimes de guerre des terroristes se muent en déshumanisation des Israéliens et des juifs.

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Le monde oublie, il faut le rappeler. Le 7 octobre, le Hamas a commis un carnage d’une sauvagerie dont on n’a pas d’équivalent depuis… difficile de trouver dans l’histoire. Corps torturés, brûlés, disloqués, femmes violées, éventrées, enfants assassinés. Cadavres qui disent une cruauté insensée, une agonie innommable.

A partir de quand un mouvement dit «de résistance» a-t-il le droit de se livrer à une telle bestialité? 

Quelques jours d’empathie épouvantée

 Ce jour-là, les auteurs font éclater leur joie et remercient leur Dieu de leur avoir permis de se griser de sang juif.

Le jour-même et les lendemains, les Israéliens blessés au plus profond de leur chair, sentent qu’une menace mortelle contre leur pays s’est produite. Ils entendent, un peu rassurés, la stupeur épouvantée d’une grande partie du monde occidental. Un peu d’empathie… pour quelques jours.

Car aider Israël à neutraliser cette menace mortelle, organiser une coalition comme pour l’EI, donner des garanties d’éliminer ce mouvement barbare, arrêter les assassins n’est bizarrement pas à l’ordre du jour.  

Le scandale du Conseil des droits de l’Homme

Bizarrement? Depuis des années, l’ONU cible de manière éhontée Israël. Ses agences aussi, sous le haut patronage de l’hypocrite Antonio Guterrez. De nombreuses ONG humanitaires ne font pas mieux. Les démocraties se sont progressivement soumises à la majorité des tyrannies, notamment islamistes, qui composent ce marécage.

La petite organisation UNWatch se bat dans l’arène du Conseil des droits de l’homme et des Nations unies pour dénoncer ces délires. Elle apporte des preuves que l’UNRWA, qui emploie 30'000 Gazaouiss, suscite la haine contre Israël et entretient des liens vénéneux avec les groupes terroristes. Tsahal le prouve par la découverte de nombreux sites de l’organisation qui stockent des armes et du matériel destinés au Hamas.

Des enseignants de l’UNWRA ont participé à l’ignominie du 7 octobre, et nombre de leurs collègues l’ont soutenue. De nombreux Palestiniens de Gaza se sont joints aussi à cette sadique bacchanale.

Crimes contre l’humanité

Le Hamas n’a rien développé, il a armé et assassiné. «Ils auraient pu faire un métro, ils ont fait des tunnels de la mort. Ils auraient pu construire des industries, ils ont fabriqué des roquettes et des armes.…» (Facebook, Alain Legaret). 

Chaque roquette tirée sur la population civile constituait -constitue- un crime contre l'humanité.

Les agences de l’ONU et les ONG œuvrant sur place, affirment n’avoir rien vu de la construction de plus de 500 kilomètres de galeries réservées aux activités d’un groupe surarmé. Le tout financé en bonne partie par l’Europe.

L’inversion génocidaire

Israéliens et juifs n’ont pas imaginé que peu à peu, la planète entière ne se soucierait plus du massacre du Hamas et de la détention d’otages. Leur seul intérêt: le sort de la population gazaouie.

Les Israéliens n’étaient pas préparés à ce retournement: leur pays victime de l’horreur génocidaire, est lui-même accusé de génocide. Une tartuferie que les médias auscultent sententieusement dans leurs «analyses». Alimentant cette farce tragique, le Hamas clame sa volonté de récidiver, encore et encore, jusqu’au génocide complet de «l’Etat sioniste».

Et «la communauté internationale» de crier à grand cris -« Négociez ! – négociez !»… sans inclure dans ces exhortations la volonté féroce du Hamas d’’en profiter pour préparer ses prochains carnages.

Cette «communauté internationale et mondiale» qui ne manque pas une allusion aux «crimes de guerre d’Israël» fait semblant de ne pas voir le crime de guerre que le Hamas commet sous ses yeux: des otages que le mouvement négocie comme des marchandises.

Même les démocraties laissent sans réagir la lie de l’humanité poser ses conditions pour cesser son crime: relâcher un maximum de membres de la compagnie des tueurs.

Les terroristes en profitent, l’expérience leur a montré combien la vie de ses citoyens est précieuse pour Israël. Mais aussi les corps des victimes de ses meurtres. Pourquoi donc garder les otages en vie? Pourquoi ne pas les assassiner en imputant de plus ces crimes aux «bombardements»?

Une ignorance crasse de l’histoire

Des centaines de milliers d’Occidentaux défilent main dans la main avec des musulmans qui biberonnent dès la naissance à la haine des juifs et d’Israël. Dans une ignorance crasse de l’histoire, en invoquant l’«occupation» de cette «Palestine», un pays qui n’a jamais existé.

«Tueurs, bourreaux, assassins, génocidaires», ces qualificatifs ne ciblent qu’Israël. Le Hamas n’est pas concerné. Là encore, les Gazaouis sont un souci secondaire, l’obsession des accusateurs, c’est l’Etat juif. Des flots de commentaires abominables, haineux, menaçants coulent sans discontinuer sur internet. 

Les tentacules de l’hydre antisémite ressortent partout. On n’accuse plus les juifs de manger des enfants ou de propager la peste, mais de toutes les calamités mises en lumière aujourd’hui: apartheid, colonisation, occupation, discriminations…  

Israël, au milieu d’un océan de haine arabo-musulmane, se débat sur plusieurs fronts. A l’externe, mais aussi à l’interne: des centaines de milliers de citoyens ont été déplacés des zones dangereuses, l’argent manque, des bénévoles organisent des repas sommaires, fournissent des couchages précaires. Les victimes du festival de jeunesse des kibboutz de même que les soldats manquent tragiquement au pays, à l’économie. Les traumatismes liés à cette tragédie accablent une grande partie de la population. Le pays est politiquement divisé.

Le sort des Gazaouis ne préoccupe pas les nazislamistes. Ils les envoient à la mort pour se protéger, attirer l’ennemi ou les empêche de se mettre à l’abri. Ce qu’ils aiment et souvent créent, ce sont les occasions de nouveaux procès en déshumanisation d’Israël.

Le moralisme déchaîné des médias

L’affirmation qu’Israël mène une guerre contre le Hamas et non contre la population de Gaza a volé en éclats. Les médias noyés dans un moralisme déchaîné ne se préoccupent que du sort des Gazaouis. Leurs malheurs font l’exclusivité quotidienne alimentée par le  «Ministère de la santé» des terroristes, par la décadente ONU et par les vociférations hypocrites de son secrétaire général. (ci-dessous, A. Legaret)

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Dans les interviews des victimes, le coupable est systématiquement «Israël», presque jamais l’ origine de leurs maux, le Hamas.

Au moment où la haine et la violence transpirent de par le monde, où l’espoir de gommer Israël de la planète connait un nouvel essor, voici que les gouvernements occidentaux ressortent la vieille bannière des «deux Etats» refusée depuis des décennies par ceux qu’ils soutiennent. L’objectif des activistes palestiniens est plus que jamais: un État palestinien à la place d’Israël et non pas à ses côtés.

L’islam est le grand gagnant de cette danse macabre. Les yeux des démocrates restent grand fermés face à l’extension de cette religion soutenue par une gauche dévoyée. Les Frères musulmans s’infiltrent dans tous les interstices, renforcés chaque jour par l’effondrement de nouveaux bastions. «Le mois sacré du Ramadan consacré d’ordinaire à la spiritualité, mais gâché cette année par Israël» a cliqué maintes fois sous les doigts des serfs médiatiques.

Que l’homosexualité soit diabolisée, que des homosexuels soient défenestrés dans des pays gouvernés par la charia, que tous discriminent les femmes et les religions et tyrannisent leur population au nom de l’islam ne suscite plus qu’un léger froncement de sourcil.

Place aux régimes les plus autoritaires, despotiques et anti-démocratiques, eux que l’islam sait si bien faire naître!  Abandonnons les vieux chiffons occidentaux que sont les «valeurs universelles», oublions le «modèle démocratique», livrons notre passé au bûcher, décrions notre présent criminel.

«LA CIVILISATION  C’EST  QUAND  ON  A  TOUT  À PERDRE ;  LA  BARBARIE  C’EST  QUAND  ILS  ONT  TOUT À GAGNER.»

Sylvain Tesson, Un été avec Homère.

 

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