Une étude critique montre le passage du Mahomet historique à celui, après sa mort, de prophète parfait et inattaquable tel que les musulmans le considèrent aujourd'hui encore.
Je poursuis cette série historique par un article (l'avant-dernier) paru en septembre 2013 sur une biographie de Mahomet. L'auteur, Tilman Nagel, est un spécialiste de l'islam. Il dessine un personnage correspondant à la culture de son époque, qu’il connait par cœur, mais il puise aussi dans la tradition.
«Mahomet. Histoire d’un Arabe, invention d’un Prophète» a été publié en 2012 aux éditions Labor et Fides. Cet auteur, dont je tire sans mention contraire les citations, est d’une extraordinaire érudition.
Mahomet reçoit une première révélation de Jibril (l’archange Gabriel).
Œuvre du début du XIVe siècle.
Pour lire cette biographie, il faut s’accrocher: le carrousel des noms arabes, des tribus, des personnages, les subtils examens des sourates et des versets tournent la tête du non-spécialiste. Mais s’accrocher en vaut la peine.
Nagel relie la biographie de Mahomet au texte du Coran et inscrit l’une et l’autre dans leur époque (événements, coutumes, croyances). Il met en lumière l’influence des fidélités tribales et claniques, ainsi que l’importance du lignage dans l’action du prophète, dans l’évolution de sa pensée et des rites et croyances qu’il enseigne.
La vie de Mahomet telle qu'il la décrit montre l’ambition d’un homme convaincu d’être le messager d’Allah, puis son prophète, et qui va réussir à prendre le pouvoir au prix de diverses stratégies qui comprennent les razzias (le butin lui attirera de nouveaux croyants), des assassinats politiques et l’abandon de règles respectées jusqu’alors par les Arabes.
Très vite s’affirme la prétention de la nouvelle religion à intégrer tous les aspects de la vie. Allah par son prophète qualifie ses adeptes de «meilleure communauté».
A Médine où Mahomet s’installe après avoir été chassé de la Mecque, il conquiert le pouvoir «grâce à des circonstances heureuses et à une portion considérable de froide détermination». Il supprimera par exemple la présence des trois tribus juives qui y vivaient. Il ira jusqu’au massacre des Banû Quraiza qui tombent entre ses mains après trois semaines de siège. Il ordonne et assiste à la décapitation de tous les hommes et jeunes hommes pubères, 600 à 700, une tuerie qui durera de longues heures. Les femmes et les enfants sont vendus en esclavage.
Le djihad devient une obligation pour les musulmans, de nombreux versets en témoignent. « La nécessité d’étendre la «meilleure communauté» à toute la terre habitée est la conséquence de la position dans l’histoire qu’Allah a assignée à son Envoyé et Prophète. Les circonstances de la vie de Mahomet exigent que cette extension passe -au moins aussi- par l’usage de la violence physique, une manière d’agir qu’Allah apprécie au plus haut point et qu’il récompense; on la désigne par le terme de djihad. » La communauté vivra du butin des combats remportés et du produit des terres qu’elle s’approprie et fait cultiver par les vaincus.
Dans cette communauté «conçue comme une immense tribu», le rang est déterminé par l’ascendance paternelle et par le degré de zèle religieux. «Pour protéger cet ordre tribal de tout trouble, le contrôle total des femmes est indispensable».
Dans un langage qui rompt avec celui de l’historien, on peut dire que les chevilles de Mahomet enflent au fur et à mesure que sa domination s’étend. A la fin de sa vie, «l’identification de son pouvoir souverain avec celui d’Allah est totale». Les sanctions infligées à ceux qui transgressent sont drastiques: mutilation des voleurs, fouet en cas de faux témoignage, de consommation d’alcool, de relations sexuelles hors mariage, lapidation en cas d'adultère. «Tuer, mutiler ou expulser quiconque est soupçonné de ne pas être fidèle à Allah et à son Envoyé, voilà la punition efficace avec laquelle Allah défend sa "frontière"».
Les hadiths ou la suppression du droit de penser
Mahomet n’avait pas de fils, il n’a pas désigné de successeur. Sa mort (632) ne marque pas seulement le début d’immenses conquêtes, mais celui aussi de multiples guerres, contestations théologiques, assassinats. Le camp des sunnites en sortira vainqueur.
Le Coran ne répondait pas à de nombreuses questions. Un exemple, lié au riche butin féminin que rapportent les conquêtes: le fils d’un maître conçu avec une esclave a-t-il droit à une part d’héritage? Peu à peu surgissent en guise de réponses des récits d’actions et de paroles de Mahomet, les hadiths. Ils touchent non seulement l’aspect religieux, mais toute la vie profane des croyants.
Les hadiths connaissent une faveur extraordinaire auprès du public au point de concurrencer le Coran. Une méthode est imaginée pour asseoir leur validité: la recherche de la chaîne des transmetteurs.
Les hadiths accentuent le caractère intransigeant des prescriptions coraniques et sont parfois opposés à elles. Un exemple: le Coran sanctionne les adultères par le fouet alors que Mahomet ordonnera des lapidations. C’est ce châtiment que retiendront les législateurs religieux.
Selon Jean-Marc Tetaz, traducteur et préfacier de Nagel, les hadiths ne sont pas des traditions historiques authentiques, ils ressortissent au contraire d’une «annihilation de l’histoire». *
Un homme faillible devient prophète infaillible
Mahomet est promu par le biais de ces hadiths prophète infaillible et modèle éternel. Les textes fondateurs -biographies, par exemple- seront écrits en conformité avec ce présupposé. Quels que soient les méfaits commis par l'Envoyé, ils étaient justes et nécessaires.
La société dirigée par le Prophète à Médine devient la référence ultime de la société parfaite qu’il faut recréer. «L’application inlassable du Coran et de la sunna, en prenant en compte si nécessaire l’avis unanime des compagnons du Prophète, qui vivaient à une époque salutaire où la droite direction divine était immédiate, va faire revenir ce temps, ce qui est le but suprême de toute juridiction et de tout gouvernement musulmans.»
Imiter Mahomet est le socle sur lequel repose l’islam. Il enserre le croyant dans un corset de normes où la peur de l'enfer est omniprésente.
Dans l'islam, la matière religieuse est «énorme, embrouillée, difficile à canaliser d’une façon cohérente», ce qui donne aux «savants» un pouvoir majeur sur les croyants. Ces religieux en arrivent à considérer que critiquer le prophète, même en citant des circonstances historiques, requiert la mort. Les quatre écoles juridiques du sunnisme se rejoignent sur ce point. Les nouvelles normes (fatwas) édictées suite à l’évolution des sociétés et des modes de vie ne doivent jamais remettre en question le caractère intouchable de Mahomet… ce qui n’empêche pas qu’elles se contredisent.
Un courant, celui des mutazilites (VIIIe s.), avait tenté de faire un sort à cette manière de séparer le Coran de l’histoire et Mahomet de son message. Leur doctrine permettait l’étude historique, par exemple l’explication des incohérences du Coran dont ils contestaient le caractère incréé. Ils eurent une influence importante, mais les «durs» l’emportèrent.
L’imposition de la croyance islamique dans les démocraties
Si l’on se rappelle les innombrables polémiques dans nos démocraties sur la lapidation ou l’apostasie, on comprend mieux les contorsions sémantiques auxquelles se livrent les imams et autres porte-paroles qui tentent de faire croire qu'ils sont à la fois fidèles à nos normes et à celles de l'Islam. Comment dire: «Je condamne ces sanctions, je suis opposé à la mort si l’on quitte l’islam, j'accepte que des musulmanes épousent des non-musulmans, je suis favorable à l’égalité entre hommes et femmes, à la mixité, etc. etc.», sans mettre en cause l’irréfutable Loi divine, sans devenir un apostat?
La vénération de Mahomet se traduit aussi par la volonté d’interdire sa critique dans nos sociétés. Rappelons-nous les caricatures danoises ou la bande-annonce intitulée «L’innocence des musulmans» (à défaut de la réalisation, le titre est si bien trouvé!). Rappelons-nous les innombrables tentatives d’interdire telle production artistique qui remet en question le Beau Modèle et ses disciples.
L’islam a emprunté un chemin "pavé d’interdictions de penser et de critiquer», observe Nagel. Un chemin que beaucoup de musulmans ici voudraient nous obliger à suivre. Un chemin que grâce au concept d’islamophobie, l’ONU, l’Organisation de la conférence islamique (OCI), de même que l’Union européenne imposent. Avec la complicité d’innombrables soutiens qui militent pour l’exonération de l’islam et de ses disciples de ce droit de critique.
Commentaires
"Mahomet, un arabe à l'ambition sans limite" (Mireille Vallette)
J'imagine bien Mahomet prendre le contrôle de Big Brother et transmettre ses "fake" leçons ...
La «formation numérique», un Cheval de Troie: Big Brother is teaching you!
Big Data est un élément-clé de la «formation numérique». Qu’entend-on par «formation numérique»? Cela ne veut pas dire que les enseignants utilisent à bon escient les médias numériques et les logiciels en tant que moyens d’enseignements utiles, par exemple pour l’apprentissage des logiciels Word, Power Point ou Excel, l’évaluation d’expériences avec des logiciels pour des calculs statistiques, pour apprendre à tourner des films numériques et à les monter. Cela fait aujourd’hui partie des compétences fondamentales à apprendre au niveau secondaire (en Allemagne de la 11e à la 13e classe). Et pour tout cela des ordinateurs classiques suffisent.
Il s’agit, en vérité, d’une nouvelle orientation sournoise du système de formation, une prise de contrôle de l’éducation, dès les premières structures d’accueil préscolaire, par les médias numériques. Son potentiel de rationalisation et de surveillance n’est pas étranger à l’école. Tout comme dans l’industrie 4.0, où les robots dirigent de manière autonome la production, les ordinateurs et les algorithmes vont piloter de manière autonome l’enseignement. Le développement qu’on envisage de promouvoir par là nous est présenté par le professeur Fritz Breithaupt dans le journal Die Zeit: «En 2036, les parents vont s’abonner à un enseignant virtuel pour leurs enfants dès l’âge de cinq ans. La voix de l’ordinateur nous accompagnera tout au long de notre vie – du jardin d’enfants à l’école, puis à l’université et jusqu’à la formation continue professionnelle. L’ordinateur décèle ce qu’un élève sait déjà, là où il y a besoin de rattrapage, comment l’inciter à apprendre. Nous allons nous redécouvrir en tant qu’êtres humains apprenants. Les matières à traiter seront entièrement adaptées à chaque individu.» (Breithaupt 2016) ...
http://www.zeit-fragen.ch/fr/editions/2017/no-1718-26-juillet-2017/la-formation-numerique-un-cheval-de-troie-vers-un-formatage-des-institutions-dans-une-ecole-sans-enseignants.html
https://static01.nyt.com/images/2017/03/03/business/03CHROMEBOOKS1/03CHROMEBOOKS1-master768.jpg
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Chuck Jones, vous ne vous seriez pas trompé de blog? Je ne vois pas le rapport entre votre commentaire et mon papier.
comm2
comm3
Très intéressant.
Madame Mireille Vallette,
Vous dites:"Chuck Jones, vous ne vous seriez pas trompé de blog? Je ne vois pas le rapport entre votre commentaire et mon papier"
Non, son truc est de dévier la discussion vers des foutaises inutiles. Un truc de troll bas de gamme, 3 pour le prix d'un et en plus un 10% de rabais sur la carte Family-Troll ce qui existe depuis la nuit des temps.
En ce qui concerne les 'bienfaits' de l'islam, la messe est dite, il suffit de regarder l'arbre à ses fruits (pauvres dames sous l'islam, pauvre raison mentale sous l'islam, pauvre découvertes scientifiques sous l'islam, etc...).
Faisons la même inspection pour les judéo-chrétiens, la messe me semble également être dite:
Léon Bloy : « L'histoire des Juifs barre l'histoire du genre humain comme une digue, pour en élever le niveau »
Paul Johnson : « Assurément, un monde sans Juifs aurait été un endroit radicalement différent. L’humanité aurait pu, tôt ou tard, finir par trébucher sur toutes les valeurs juives. Mais rien n’est moins sûr. Toutes les grandes découvertes conceptuelles de l’intellect humain semblent évidentes et incontournables une fois qu’elles ont été révélées, mais il faut un génie particulier pour les formuler pour la première fois. Les Juifs ont eu ce don. C’est à eux que nous devons l’idée d’égalité devant la loi, tant divine qu’humaine ; celle de la sainteté de la vie et de la dignité de l’être humain ; celle de la conscience individuelle et donc celle de la rédemption personnelle ; celle de la conscience collective et donc celle de la responsabilité sociale ; celle de la paix en tant qu’idéal abstrait et de l’amour comme fondement de la justice, et bien d’autres notions qui constituent le substrat moral fondamental de l’esprit humain. Sans les Juifs, [le monde] aurait pu être un lieu bien plus vide.»
Migros Magazine 52, 22 décembre 2008 : […]
Quel rôle ont joué les martyrs dans la naissance du christianisme ?
Un rôle non négligeable, dans la mesure où l’opinion publique était frappée par ces gens prêts à mourir publiquement et dans d’atroces conditions simplement parce qu’ils ne voulaient pas renoncer à leurs convictions (il suffisait d’y renoncer pour échapper au martyre). On sait aussi par les textes que bien des chrétiens – y compris des FEMMES dont le statut prenait ainsi un caractère aussi héroïque que celui des hommes – aspiraient délibérément au martyre, le provoquaient afin d’accéder plus vite au Royaume de Dieu, et de témoigner le plus publiquement possible de la foi chrétienne. […]
Mark Twain 1899: « Si les statistiques sont exactes, les Juifs constituent à peine un pourcent de la race humaine. Cela suggère une faible nébuleuse de poussière perdue dans l’éclair de la voie lactée. Normalement, on ne devrait guère entendre parler du Juif, mais on en entend parler, on en a toujours entendu parler. Il est aussi important sur la planète que n’importe quel autre peuple, et son importance économique est d’une extravagante proportion comparée à la petitesse de sa taille. Ses contributions à la liste du monde des grands noms de la littérature, de la science, des arts, de la musique, de la finance, de la médecine et des apprentissages complexes sont également de loin hors de proportion avec la faiblesse de son nombre. Il a fait dans ce monde un combat merveilleux, à toutes les époques ; et il l’a fait avec les mains attachées derrière le dos. Il aurait pu être vaniteux, et être excusé pour cela.
« Les Égyptiens, les Babyloniens, les Perses se sont élevés, ont rempli la planète avec leur retentissement et leur splendeur, puis se sont évanouis dans un rêve. Les Grecs et les Romains ont suivi, et ont fait beaucoup de bruit, puis ils ont disparu ; d’autres peuples ont vu le jour et ont tenu leur flambeau très haut pour un temps, mais ce dernier s’est éteint, et ils sont maintenant assis dans la pénombre, ou ont disparu.
« Le Juif les a tous vus, tous battus, et maintenant, il est ce qu’il a toujours été, ne présentant aucune décadence, aucune infirmité de l’âge, aucun affaiblissement de ses composantes, aucun ralentissement de ses énergies, aucun ternissement de son esprit alerte et combatif.
« Toutes les choses sont mortelles, sauf le Juif ; toutes les autres forces passent, mais lui reste. Quel est donc le secret de son immortalité ? »
http://www.aish.fr/shabbat/multimedia/Pourquoi-se-souhaite-t-on-Chabbat-Chalom.html?s=mm
Messie de Haendel : https://www.youtube.com/watch?v=B1Z8Z1e8V4A https://www.youtube.com/watch?v=TTm0Ykwgc-4
Finalement mahomet a voulu imiter le christ voulant devenir mi-homme mi-dieu, il a échoué devenant pédosanguinaire chef de guerre et des chameaux? Illettré buveur d'urine et peut-être de sang, il a quand même permis à une majorité de mâles d'écrire un concept ou les femmes sont esclaves, inférieures, traitées comme du bétail, mais de braves soldates enchiffonnées.
Le tricotage copié collé a duré des années, devenant aujourd'hui avec les changements climatiques et économiques le danger numéro 1 pour l'humanité.
Tout cela, avec la bénédixtion du vatican et des royautés, c'est déjà très fort.
A lire toutes ces promesses de punitions et châtiments, souvent très ingénieux, on doit conclure que ça n'est pas Popov mais plutôt Mahomet qui a imaginé le Père Fouettard.
Extrait de "Au-delà des pyramides" de Douglas Kennedy (1988)
2ème chapitre: Front de mer
[Alexandrie est devenue une ville prospère grâce aux Grecs, Alexandre le Grand, Antoine et Cléopâtre, Saint-Marc en a fait un centre de rayonnement chrétien]
"Si les Perses l'occupent un moment, c'est l'arrivée des troupes arabes du calife Omar en 642 qui va changer profondément et durablement la face de l’Égypte: graduellement, mais inexorablement, la population se convertit à l'islam, l'influence de l'Alexandrie "chrétienne" s'amenuise et, lorsqu'une nouvelle métropole est construite sur les rives du Nil en 969, Le Caire, la cité côtière prestigieuse qu'est Alexandrie entame un déclin de huit cents ans."
...
"... en 1789, Napoléon a l'ambition de redonner à Alexandrie son ancienne splendeur ..... c'est Méhémet Ali ... Albanais de Macédoine... qui réalisera ce rêve. ... [grâce à des architectes français, des ingénieurs et des ouvriers italiens et grecs...] Des ghettos d'expatriés se développent, la ville s'étend et prospère. Très vite, après des siècles de somnolence, Alexandrie s'impose comme le centre cosmopolite du nord-est de l'Afrique."
Autrement dit, rien de tel que l'islam pour étouffer la prospérité et favoriser la somnolence. Il n'y a qu'à voir le Liban, prospère quand c'était un pays majoritairement chrétien, pauvre et constamment en guerre depuis qu'il est sous la coupe du Hezbollah. CQFD
Après les miracles du Coran...
les miracles de la toile!
un véritable autodafé virtuel (j'en attends un au contour, je le vois venir avec ses saillies pseudo-littéraires, j'anticipe: « Autodafé » est aussi couramment utilisé pour caractériser la destruction publique de livres ou de manuscrits par le feu.)
Ou comment une brochette d'internautes, pour la plupart anonymes, crachent leur venin, étalant leur ignorance et leur pseudo-découvertes. D'une partialité si flagrante qu'ils en deviennent navrants. On croirait lire une version brune et nauséabonde des Précieuses Ridicules. Qui aura la palme? Ou plutôt l'entonnoir, ustensile qui leur sera plus utile pour parader.
Peut-être que l'entonnoir d'or sera remis à un néo-prophète agnostique qui ne mourra en paix qu'en ayant proféré ses derniers propos abscons? Pour être plus juste il faudra probablement multiplier les prix, car ils sont plusieurs à rivaliser dans ce registre.
Bas les masques, vos marques de fabrique vous trahissent, vous êtes faits.
Et n'oubliez pas le précieux conseil d'Aramis qui vous semble tout droit destiné:
Mon ami, ce que vous dites là est bien beau, mais, prenez-y garde, notre sécurité vient de notre obscurité. Si nous nous faisons connaître d’une façon ou d’une autre, nous irons immédiatement rejoindre nos amis dans quelque cul-de-basse-fosse d’où le diable ne nous tirera pas
@Arnica
La bonne question serait "à qui profite le crime"...
Encore faut-il avoir envie de se la poser et le courage d'y répondre.
@ Jacques Muller
Chaque fois que vous utilisez un nouveau pseudo, Al Akkot, on reconnaît votre style et votre verbiage, qui tourne en rond. Vous êtes le seul islamophile sur ce blog et Mireille Vallette est bien gentille de continuer à publier vos "propos abscons", qui sont "d'une partialité si flagrante qu'ils en deviennent navrants" (je vous cite). Au lieu de dénigrer les autres, expliquez-nous plutôt ce qui vous a attiré dans l'islam et quels sont les versets du Coran que vous aimez plus particulièrement.
Tiens, l'aurait-on manqué jusqu'ici, celui-là? Jacques Muller… Jacques Muller…, c’est qui, ça ? Mais, mais, mais, ne serait-ce point ce bon Al (Akkot, pas Capone) qui aurait troqué sa djellaba contre une veste réversible ? Ne serait-ce pas cet allumé de Mahomet qui s’est un jour fait moucher pour usage abusif et malhonnête de son sésame, « soumission » ? (Non, non, ce n’est pas Al Hibaba non plus).
Sa connaissance du blog fait penser à une fréquentation régulière et, apparemment, pas toujours gratifiante. Pour lui. Peut-être son esprit est-il un peu lent, puisqu’il vient seulement de découvrir que le "Boulevard de l'Islamisme" de Mireille Vallette n’est pas favorable à l’islam, à ses prêcheurs, à ses écrits, à ses assertions et ses injonctions, à ses complexes de supériorité, à ses velléités de conquête et de domination. Il parle même de « partialité », c’est dire son égarement. En quoi consisterait donc l'"impartialité" dans son cas? Admettre sans discussion ni réticence le discours islamique et sa présentation de l'Histoire et de la science? Impossible de ne le faire qu'en partie, puisque le coran serait incréé, indivisible et indiscutable. Parler de partialité dans ce contexte relève, pour être modéré, du trouble mental ou, alors, de la bêtise crasse.
Question d’esprit, le sien n’est pas seulement lent, il délire. Excès d’urine de chameau, peut-être, après une mauvaise lecture ? Il invente de nouveaux concepts comme « autodafé virtuel » applicable à la critique et à la contestation de la mythologie islamique. Il en arrive enfin, mais on a vu qu’il était lent des neurones, à la « reductio ad hitlerum » en se servant sans vergogne de Molière. Admettons pourtant que lui-même incarne idéalement le « Vulgaire imbécile », rôle certes moins classique mais qui lui sied à merveille.
Bah ! Laissons-le à sa rage impuissante et à ses nausées. Et puisque qu’il nous suggère un usage décoratif de l’entonnoir, je lui en propose un autre. Il peut se le mettre là où… il pense. Il le présentera ainsi cinq fois par jour à celui qu’il prie.
Al Akkot, Jacques Muller, Jean Valjean, etc serait-ce donc l'hydre islamophile?
Normandy, Mario Jelmini, Pierre Noël, Arnica, etc serait-ce alors l'hydre islamophobe?
Que de spéculation...
Si cela devait être le cas, constatons que l'hydre islamophobe a l'injure facile, estomac et nerfs fragiles?
Al Akkot est vraiment créatif. Il vient d'imaginer l'hydre (islamophile) à une tête!
D'autre part, il reconnaît implicitement les limites restreintes du coran, des hadiths et de tous les écrits islamiques pourtant si inspirés: il doit en appeler à Dumas père pour vouer à la géhenne les mécréants "islamophobes" que nous serions.
@ Normandy : n'empêche que si Al Akkot, Jacques Muller, Jean Valjean, etc. connaissent la langue arabe (du Coran) aussi bien que leur français est bon, alors Allah a un redoutable quarteron de mousquetaires.