Rien de tel que le rappel de ce rapport pour constater à quel point l’État français est resté inactif, alors que des réalités effrayantes sont déjà en plein développement.
Ce rapport de Jean-Pierre Obin sur les écoles des quartiers «sensibles» est une illustration des problèmes infinis et incroyables que posent des musulmans dès qu’ils sont en nombre important, et du degré saisissant d’endoctrinement des enfants et des jeunes. Les professeurs et les autorités scolaires ont été mis devant des réalités sidérantes, qu’ils n’avaient pas vu venir. Chez beaucoup, le désarroi et la confusion dominent, certains transigent avec les principes ou choisissent le relativisme. A la question: êtes-vous aidés sur ces questions par vos inspecteurs?, «la réponse a été partout un non sonore et sans appel». La réponse ne serait pas très différente aujourd'hui, même si quelques appuis ont été créés pour les enseignants.
En effet, qu’ont fait les autorités, qu’ont proposé les grands médias? Elles/ils ont passé de démissions en capitulations, laissé s’étendre les revendications, l’incapacité à relativiser ses dogmes, la haine de la France. Tout s’est aggravé.
Jean-Pierre Obin et son équipe ont scruté 61 collèges et lycées publics «sensibles». L’auteur craint en 2004 que ces plaies ne s’étendent à l’ensemble du pays. Elles se sont étendues en France, mais aussi dans l’ensemble des pays occidentaux.
Certains quartiers sont déjà décrits par des interlocuteurs comme «tombés aux mains» des religieux. Et de remarquer une tendance qui depuis s’est constamment confirmée: «la montée en puissance du phénomène religieux dans les quartiers, notamment chez les jeunes.» Des jeunes plus pieux, plus radicaux, qui proposent une nouvelle identité, positive et universaliste, aux communautés musulmanes.
Les régressions côté femmes
«C’est sans doute le côté le plus grave, le plus scandaleux et en même temps le plus spectaculaire de l’évolution de certains quartiers… (…) Il faut avoir vu ces femmes entièrement couvertes de noir, y compris les mains et les yeux, accompagnées d’un homme, souvent jeune, parfois un pliant à la main pour qu’elles n’aient pas à s’asseoir sur un endroit «impur».
Cette affirmation est un hadith de Mahomet.
Approuvé par l'islamiste allemand Pierre Vogel.
Il observe la prolifération des fillettes voilées, la surveillance dont font l’objet les adolescentes, la dureté des prescriptions: maquillage, jupes et robes interdits, pantalon sombre, tunique qui doit descendre suffisamment bas pour masquer toute rondeur. «Dans tel lycée, elles enfilent leur manteau avant d’aller au tableau afin de n’éveiller aucune concupiscence.»
Dans beaucoup de collèges, les vêtements et les mœurs des filles «sont l’objet d’un contrôle général». Dans certains établissements, les jupes et les robes sont «interdites». Des garçons punissent les récalcitrantes, le plus souvent à l’extérieur de l’établissement mais parfois aussi dans l’enceinte des collèges, jusqu’à des gifles, coups de ceinture, tabassages.
Partout, la mixité est dénoncée, traquée.
«Les cas de fillettes voilées semblent également se développer, de même que l’observance du jeûne (…) et le refus de la viande non consacrée à la cantine.» A l’école primaire déjà, on observe des refus de chanter, de danser, de dessiner un visage, de jouer d’un instrument. Les conflits avec les parents se multiplient, notamment à propos du niqab. «Une école a dû organiser un «sas» sans fenêtre ou la directrice peut deux fois par jour reconnaître les mères avant de leur rendre leurs enfants.»
«L’obsession de la pureté est sans limite». On trouve par exemple des robinets de toilette dont l’un est réservée aux musulmans, l’autre aux «Français». Un responsable musulman demande des vestiaires séparés, car «un circoncis ne peut se déshabiller à côté d’un impur».
Un changement depuis 2004: de plus en plus de femmes
adhèrent à leurs discriminations.
Le comportement des autorités académiques fluctue selon les époques entre «le souci d’éviter tout conflit et surtout toute couverture médiatique, et la volonté de s’opposer aux atteintes à la laïcité.»
Des tribunaux administratifs annulent certaines exclusions pour port du voile.
Des récits de « discussion et de compromis sont proprement ahurissants (…): ici on a négocié la couleur du foulard, là sa taille, ici il s’est agi de découvrir le lobe de l’oreille, là de laisser voir une mèche de cheveux, ici on l’a interdit en classe mais pas ailleurs, là ailleurs mais pas en classe…»
La nourriture et les fêtes
Les restaurants scolaires se sont adaptés, ils offrent une alternative à la viande de porc. Mais une nouvelle difficulté a surgi: «le refus par un nombre croissant d’élèves de consommer toute viande non abattue selon le rituel religieux… ».
Les élèves qui ne se conforment pas aux normes des pairs subissent une «stigmatisation agressive». Les demandes des familles pour de la viande halal se multiplient. Dans certains établissements, on a institué une ségrégation entre musulmans et non musulmans en composant des tables distinctes.
Autre source de conflit: le calendrier des fêtes. La fête de Noël est la plus contestée. Des familles demandent de supprimer le sapin et la fête, ce qui a parfois été obtenu. Les fêtes musulmanes sont l’occasion d’un absentéisme massif, sans autorisation, qui peut se prolonger plusieurs jours. Des élèves apportent leur tapis de prière durant le ramadan. La concurrence entre organisations aboutit à l’émergence de prescriptions de plus en plus draconiennes: «ainsi l’interdiction d’avaler le moindre liquide, y compris sa propre salive qui entraîne la pollution des sols par les crachats, et les refus de la piscine… (voir ce que préconisait une association fribourgeoise, et les démissions genevoises).
Les professeurs se plaignent de la fatigue de beaucoup d’élèves et les infirmières sont massivement sollicitées pendant le ramadan.
Le prosélytisme et le racisme
Pour réislamiser les populations, des groupes propagent des conceptions radicales de l’islam en s’appuyant sur des lectures littéralistes du Coran. Le ramadan est l’occasion d’un prosélytisme intense. Certaines familles de culture musulmane ne peuvent plus obtenir que leurs enfants fréquentent la cantine. Même le personnel, notamment d’origine maghrébine, est de plus en plus mis en cause sur le sujet. Certains établissements achètent la paix sociale en recrutant quelques «grands frères». Et l’entrisme se développe pour certaines fonctions: assistants d’éducation, instituteur, conseillers d'éducation…
Antisémitisme et racisme: «Nous ne pouvons hélas que confirmer l’ampleur et la gravité» de ces problèmes: banalisation des insultes antisémites, menaces et agressions, généralement de la part d’élèves d’origine maghrébine. La situation du Proche-Orient et une sourate du Coran sont fréquemment invoquées. L’apologie du nazisme et de Hitler apparaît dans d’innombrables graffitis et parfois dans des propos tenus au personnel d’éducation. Le rapporteur relève «une stupéfiante et cruelle réalité: en France les enfants juifs – et ils sont les seuls dans ce cas – ne peuvent plus de nos jours être scolarisés dans n’importe quel établissement».
Un grand nombre d’élèves se sentent étrangers à la communauté nationale, opposant à tout propos «les Français» et «nous». Si on leur dit qu’ils sont Français «ils répliquent que c’est impossible puisqu’ils sont musulmans!». Leurs héros sont des adolescents palestiniens et les responsables des attentats de New-York et de Madrid. Le principal d’un collège a vu un car scolaire acclamant Ben Laden.
Dans la plupart des établissements visités, les minutes de silence suite aux attentats ont été contestées ou perturbées. Ils rejettent en bloc les valeurs de notre civilisation: «c’est sans doute là et de loin, l’aspect de nos observations le plus inquiétant pour l’avenir».
Disciplines contestées
Dans les disciplines sportives, beaucoup de conflits "tournent autour de la mixité, ou de la préservation de la «pudeur» des filles". L’absentéisme et le refus de certaines activités sont de plus en plus fréquents, notamment en piscine et en plein air. Les dispenses et les certificats de complaisance se multiplient dans certains quartiers. Ces phénomènes explosent à la période du jeûne. Certains comportements révèlent les "conceptions obsessionnelles de la pureté" comme le refus de se baigner dans «l’eau des filles» ou dans celle des non-musulmans. Certains professeurs négocient et transigent. D’autres abandonnent les activités contestées.
Celles-ci ne sont pas généralisées mais «on les retrouve à l’identique dans la plupart des régions»: contestation des philosophes des Lumières, surtout Voltaire et Rousseau, de même que les textes qui soumettent la religion à l’examen de la raison. Contestation encore des œuvres jugées licencieuses comme Cyrano de Bergerac ou favorables à la liberté des femmes comme Madame Bovary, ou des auteurs qu’on accuse de promouvoir la religion chrétienne comme Chrétien de Troyes.
Sans parler évidemment de la difficulté d’enseigner les textes fondateurs des grandes religions du livre. De nombreux élèves refusent que le professeur touche ou lise le Coran, refusent de lire eux-mêmes la Bible. Certains professeurs ont renoncé à cette partie du programme. Quant à l’histoire «elle serait globalement mensongère et partiale, elle exprimerait une vision «judéo-chrétienne» et «déformée du monde.» Tout est occasions de contestation à propos de l’histoire du christianisme, du judaïsme, de la chrétienté ou du peuple juif. Refus d’étudier la construction des cathédrales, d’ouvrir un livre sur un plan d’église byzantine ou encore d’admettre l’existence de religions préislamiques en Egypte ou l’origine sumérienne de l’écriture.
L’histoire sainte est à tout propos opposée à l’histoire. Cette contestation peut même se radicaliser lorsque sont abordés les croisades, le génocide des juifs, la guerre d’Algérie, la question palestinienne. «…en éducation civique, la laïcité est également contestée comme anti religieuse».
«La réaction la plus répandue des enseignants est sans doute l’autocensure», mais certains recourent au Coran pour tenter de légitimer leur enseignement.
Lorsque la reproduction ou l’éducation sexuelle sont traitées, des élèves s’absentent, refusent l’enseignement, des parents ne participent pas aux séances d’information. Raisons invoquées: «l’impudeur» des propos tenus, des images impudiques, et parfois leur caractère superflu puisque «les musulmanes restent vierges».
De nombreux jeunes enseignants se réfugient dans le relativisme, en présentant par exemple la science comme une croyance parmi d’autres.
L’organisation des sorties scolaires est un autre sujet de conflits à propos de la participation des filles, surtout si la classe dort à l’extérieur. Des parents demandent la non-mixité de l’encadrement et une nourriture respectant leurs interdits religieux. Beaucoup de professeurs ont abandonné ces projets.
De nombreux élèves contestent la visite de musées, de lieux de mémoire, d’œuvres architecturales, de cathédrales, etc. Là encore, beaucoup de professeurs transigent soit en rendant la visite facultative, soit en y renonçant. Certains tentent, textes religieux à l’appui, de montrer que les prescriptions religieuses permettent aux élèves de telles visites. D'autres demandent l’avis écrit d’une autorité musulmane.
Quartiers islamisés
Dans certains quartiers, des contre-sociétés closes sont apparues, dont les normes sont en décalage voir en rupture avec celle de la société. C’est «une identité de substitution qui se diffuse d’abord parmi les jeunes de la seconde ou troisième génération».
Obin attribue en partie ces problèmes à la situation sociale des familles et des quartiers. Il préconise en cas de conflit «une volonté de dialogue et d’explication, mais jamais de transaction sur les principes ni de négociations sur les règles » de même que «des établissements où l’on ne tolère pas l’intolérable».
«Pour trop de responsables, un établissement sans conflits est un établissement sans problèmes.»Obin y voit plutôt la règle inverse: c’est où l’on a transigé que «les dérives les plus graves et les entorses les plus sensibles à la laïcité» se sont produites. C’est une stratégie perdante face à «des adversaires rompus à la tactique et prompts à utiliser toutes les failles» et toutes les hésitations des pouvoirs publics.
Les enquêteurs estiment que ce qu’ils ont observé est la partie visible d’un phénomène «bien plus profond, dont l’évolution constitue vraisemblablement l’une des clés de notre avenir.»
Le rapport: http://cache.media.education.gouv.fr/file/02/6/6026.pdf
Récent livre de Jean-Pierre Obin: «Comment on a laissé l’islamisme pénétrer l’école», septembre 2020.
Commentaires
Tout simplement effrayant, consternant et intolérable.
Ca ne peut plus continuer comme ça....
Où sont tous ceux qui luttent contre l'impérialisme ? Car c'est bien de cela dont il s'agit, on est en train de nous imposer une culture, des rites, des croyances qui n'ont rien à voir avec notre univers.
Ah bon "le matériel masculin" est a ce point important pour mettre 2 shorts?? Vanité vanité!
On n'en parle pas beaucoup, mais voici les dernières nouvelles:
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/caricatures-de-charlie-hebdo-menacee-la-nouvelle-republique-porte-plainte-20201021
A ne pas manquer, le tout dernier I-Média intitulé "Islamisme: la Prise de Conscience?" sur l'abject crime des Yvelines:
https://www.youtube.com/watch?v=d1WHyzVyjy4
Dorénavant, pour sortir de l'abrutissement et de la propagande que nous impose la RTS, suivez cette émission hebdomadaire de qualité chaque jeudi:
https://www.youtube.com/channel/UC6uo3uVzDvJVzrJ2DdmZT5Q
"Où sont tous ceux qui luttent contre l'impérialisme?"
Ces derniers ferment les yeux, et, ce qui est encore pire, soutiennent les thèses islamistes. De plus, ils sont bien trop occupés à lutter contre notre cuture et notre civilisation occidentale qui selon eux est la seule responsable de tous les maux de la Terre. Indignation à géométrie variable. Voyez par exemple cette apologie du voile islamique:
https://commecacestdit.blog.tdg.ch/archive/2020/07/28/d-un-voile-a-l-autre-307836.html
Et ici en Suisse c'est déjà imposé, dans un silence médiatique et politique complice.... et le "donnez nous des exemples" couiné par ceux là même qui les défendent n'y changera rien. D'ici 15/20 ans vous aurez le choix entre mourir ou vous soumettre.
Vanité... cela me rappel le titre d'un billet issu d'un blog de la TDG à propose de la responsabilité des Etats vis à vis des communautés. Un texte qui excuse la violence islamique. Je suis choqué de voir qu'un media comme la TDG puisse fournir une plateforme médiatique à des gens qui justifient la violence et tentent de tenir pour responsables les médias et les Etats.
Et si la TDG commençait par donner l'exemple en faisant le ménage chez ses blogueurs???
Les Frérots musulmans sont des terroristes pour les Américains et les Russes mais ici, Hani peut librement enfumer le déficient mental tranquillement.
Cher Riro@ il ne faut pas tomber dans le travers de la censure, il faut la laisser à l'autre camps! Toujours pas d'indignation des médias pour la victime de Morges et pas d'info sur un allemand poignardé hier à Dersd!! Silence de Merkel.
Bonjour, je voudrais voir une photo de ces robinets réservés aux musulmans dans certaines écoles françaises...
Jean-Pierre Obin sera certainement ravi de vous satisfaire.
Je serais très intéressé d'entendre ce que Tariq et Omar ont à dire à propos de ce que raconte ce rapport Obin.
J'imagine que pour le CSIS il s'agit là d'une intégration réussie de l'islam dans notre société, sachant que pour cet organisme officiel et financé par des fonds publics, intégration de l'islam = islamisation.
Réaliser l'équivalent du rapport Obin en Suisse serait très, très intéressant. Mais le seul fait de le suggérer serait sans doute considéré comme "islamophobe". On en est là! Faudra-t-il la décapitation d'un enseignant bien de chez nous pour faire bouger les lignes et stopper cette machine infernale qu'est l'islamisme en marche?
Désormais les collabos essayent de justifier et certains sont encore en plein déni.
https://etudiant.lefigaro.fr/article/assassinat-de-samuel-paty-chahutee-lors-de-la-manifestation-l-unef-est-rattrapee-par-ses-contradictions_f63a2ac2-11de-11eb-8e50-e65c96dd8259/
et aussi
https://etudiant.lefigaro.fr/article/l-islamo-gauchisme-a-la-fac-les-universites-repondent-a-blanquer_08161cfe-1515-11eb-963a-f11f82c22538/
Commencez par écrire mon nom correctement et je vous répondrais volontiers. Tout mélange de la religion et du politique j'y suis opposé.
J’ai un peu fouiné pour savoir qui était ce Jean-Pierre Obin.
De 1990 à 2008, il a été inspecteur général de l'éducation nationale. Effectivement il a déposé son rapport en 2004, qui a été enterré par le gouvernement français.
Ce qui ne l’a pas outre-mesure offusqué. Il poursuit sa carrière encore 4 ans, bénéficie ensuite, semble-t-il de sinécures du gouvernement français et de la communauté juive.
En réalité, ce monsieur était plus un « courtisan » qu’un homme responsable. Inspecteur général de l’éducation est censé quand même protéger les enseignants français. Non! Rien. Le gugusse pantoufle!
Et maintenant à la retraite, il montrerait les dents ?
Si son rapport présentait la réalité, et malheureusement, il semble que ce soit le cas, les français doivent remettre totalement en question leur gouvernement. Son fonctionnement.
Personnellement, j’ai le sentiment que Macron profite du drame des yvelines pour brouter sans vergogne dans le salon de Marine. Donc que les jeux sont fait pour de nouveau se retrouver entre lui et Marine au second tour.
Et c’est dramatique pour le peuple français qui ne mérite pas ça.
De ce constat, je suis plus en plus convaincu, que toutes questions de légitimations des exigences de la communauté musulmanes, que ce soit bâtir une mosquée, obtenir des reconnaissances ou quoi que soit devra être soumis à votation populaire et non à des politiciens ou des experts.
Macron a dit que L'OTAN était en état de mort cérébrale, c'es pas faux au regard des fourberies qu'elle tolère de la part du sultan du nouvel empire ottoman. Mais alors que dire de la France sous perfusion islamique?
Ici vous apprendrez que "LA forme dangereuse de radicalisation" n'est pas l'islamisme, mais "la masculinité dominante":
https://commecacestdit.blog.tdg.ch/archive/2019/11/12/mon-dieu-ma-fille-porte-le-voile-302230.html
A Mireille Vallette.
En réalité , les arabo-musulmans comme les musulmans non arabes qui ont fui leur pays de misère pour vivre en occident cherchent seulement à profiter des avantages sociaux des pays hôtes tout en gardant leurs moeurs , coutumes et traditions du pays d'origine.
Les islamo-gauchistes , expliquent que si presque tous les pays arabo-musulmans et musulmans non arabes, figurent parmi les derniers du classement de l'ONU, l'IDH ( indice de développement humain) cela est dû , au manque de moyens de ces pays et à la mauvaise formation de leurs enseignants.
Pourtant, les enfants des immigrés vivant en occident , n'ont pas ces problèmes et reçoivent les mêmes cours et ont les mêmes enseignants que les enfants autochtones.
Les petits enfants des immigrés asiatiques qui viennent aussi de pays pauvres, brillent autrement, par leur sérieux et leur envie de réussir et ne posent aucun problème.
Alors pourquoi, les enfants venant des pays musulmans (à part une petite minorité ) posent-ils tant de problèmes dans les pays qui les ont reçus avec hospitalité et générosité?
Parce que cela vient de leur famille, des familles qui manquent d'éducation et pour qui le savoir et les connaissances ne sont pas indispensables. Ce qui est indispensable, c'est la lecture du Coran, le seul livre qui contient tout ce que le musulman a le droit et le devoir de connaître, même s'il est incapable de le lire convenablement en le comprenant. Apprendre quelques sourates par cœur, cela suffit. Pour le reste, comme l'a écrit le docteur pakistanais FARRUKH SALEEM: En 2011.
"En réalité, ce monsieur était plus un « courtisan » qu’un homme responsable. " .... LOL
Jean-Pierre Obin est ingénieur de l'Ecole centrale de Lille et titulaire d'un doctorat de spécialité en mécanique des solides. En 1992, il soutient une thèse de doctorat ès lettres et sciences humaines dirigée par Philippe Meirieu. Après avoir enseigné trois ans en Algérie au lycée Ibn-Rostom de Tiaret, il a été successivement maître de conférences de mécanique à l'université Joseph-Fourier de Grenoble, chef de la mission de la formation et de la recherche en éducation du ministère de l'éducation nationale, adjoint au directeur général du Centre national de documentation pédagogique, conseiller technique au cabinet du secrétaire d'État chargé de l'enseignement technique Robert Chapuis.
De 1990 à 2008, il a été inspecteur général de l'éducation nationale (groupe Établissements et vie scolaire) et, de 1993 à 2008, Professeur associé à l'Institut universitaire de formation des maîtres de Lyon. Il a fait depuis 2008 plusieurs missions d'expertise en Afrique. Il a été depuis 2010 chargé de cours à l'université de Cergy-Pontoise et à l'université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.
Il a été membre de la Fondation pour la mémoire de la Shoah (FMS) et du Projet Aladin, il est membre du bureau exécutif de la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA), où il agit pour de meilleures relations entre juifs et musulmans fondées sur la connaissance d'une histoire commune et d'une culture partagée.
"Le magazine Le Point lui consacre sa Une de couverture et 13 pages de son édition du 27 août 2020 et de très nombreux médias se font l'écho des problèmes soulevés par le livre. Ainsi, le magazine L'Express se fait l'écho de ce « cri d'alarme contre les atteintes grandissantes à la laïcité» estimant en parallèle que la parole de Jean-Pierre Obin est «libre» et ses «révélations saisissantes», tandis que Valeurs actuelles et Marianne qualifient cette publication de "livre choc" contenant de nombreuses « révélations inquiétantes ». L'Obs explique que le livre qui « dénonce la montée du radicalisme dans les établissements » constitue « un pavé dans la mare dénonçant les multiples atteintes à la laïcité à l'école»1.
Le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, confirme les analyses de Jean-Pierre Obin en précisant dans Le Point, que des forces sont à l'œuvre pour « imposer un modèle de société qui n'est pas le nôtre ». Il ajoute : "il n'y a pas eu de complicité à l'échelle de l'Etat, mais une forme de passivité à laquelle je prétends mettre fin depuis 2017».
C'est à se demander dans quel torchon vous avez puisé vos infos? Ou alors ce serait une analyse de votre cru? C'est franchement c..ian!
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Pierre_Obin
Je viens de lire ce post intéressant dans l'article du Figaro dont je mets le lien ci-dessous:
"L'année dernière, je publiais un livre qui dénonçait, entre autres, l'impossible "vivre ensemble" avec les séparatistes islamiques. L'ouvrage fut boudé par ceux qui préfèrent la soumission au courage. Hier, ce sont les mêmes qui disaient :"plutôt rouge que mort".
Le titre de ce livre me donnait cruellement raison de façon prémonitoire: "Vivre ensemble ... à en mourir" aux éditions Osmose. Jean-Michel Thouvenin"
https://www.lefigaro.fr/vox/societe/vivre-ensemble-au-prix-de-la-soumission-20201020
Etrange réponse de tarik puisque l'islam est politique/religieux!
A Patoucha
J’ai lu le CR de Monsieur Obin.
Néanmoins je persiste à prétendre que quand on occupe un poste d’inspecteur général de l'éducation nationale, et que le politique enterre un rapport quand même alarmant et qu’on ne claque pas la porte avec fracas, pour encore exercer pendant 4 ans, on manque sincèrement de « couilles, » on on ne pense plus à sa carrière qu’à sa mission. Protéger les enseignants.
Ce Monsieur est à la retraite maintenant. Bien pensionné.
Comprenez que je n’ai pas une profonde estime pour l’homme.
A la question: êtes-vous aidés sur ces questions par vos inspecteurs?, «la réponse a été partout un non sonore et sans appel». CQFD
Encore une histoire de "robinets"!!! Dans une vidéos sur youtube, je pense à l'assemblée nationale, on voyait des universitaires qui avaient entièrement réécrit les livres d'histoire français pour l'enseignement primaire et secondaire!!! Et des députés de s'étonner de ne plus voir de chapitres sur "les croisades" dans ces livres!!! Pour mémoire la Grèce a été fermée par l'empire Ottoman pendant près de 400 ans pour tous les non musulmans!
Chers lecteurs des blogs, voici un très intéressant article à ne pas manquer:
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-ccif-est-une-officine-islamiste-qui-oeuvre-contre-la-republique-estime-gerald-darmanin-20201026
Ce soir dans plusieurs ville de France dont Vienne des turcs sont sortis en masse dans les rues pour agresser .........................des arméniens! clémentine autain et melechon doivent être aux anges!
Cyan@ Je ne sais si vous avez lu ma réponse à votre commentaire sur mon intervention. Quoi qu'il en soit, c'est trop tard. Cette fois, aujourd'hui, nous y sommes, en guerre. Il n'est maintenant plus possible d'avoir le moindre doute à ce sujet. Les huit mille fichés S doivent immédiatement être neutralisés, arrêtés et maintenus dans des camps de concentration, où leur cas sera longuement (le plus longuement possible..) étudié. N'importe quelle autre solution serait un signe de plus de soumission envers l'islam...
@cyan
La lâcheté est devenue le moteur de la "hiérarchie" en ce 21ème siècle!
Vous en connaissez beaucoup vous, qui laisseraient le travail de leur vie - ne serait-ce que pour témoigner.......? - contre ceux qui l'emploient!?
A Géo
« Quoi qu'il en soit, c'est trop tard. Cette fois, aujourd'hui, nous y sommes, en guerre. »
Oui et non.
Les islamistes nous font la guerre !
C’est à dire, qu’ils frappe en commando, actions terroristes ponctuelles, et action de sape en provoquant chez les musulmans, installés chez nous, un sentiment de victime.
« On les méprise, on se fout de leur croyance, on bafoue le prophète etc… »
Et chez nos enseignants et intellectuels une volonté masochiste de repentance imbécile concernant notre histoire. Colonisation, traite des noirs, pillage des ressources naturelles et éradication de cultures indigènes.
Et chez les blancs un sentiment de culpabilité d’avoir été quand même supérieur à nos frères de couleurs dans l’histoire récente.
Ajoutons une propagande agressive à coup d’aide financière dans ce travail de sape.
Introduction d’imams et d’oulémans payés par des état musulman adepte de la Charia, Turquie et Arabie Saoudite, pour n’en citer que deux particulièrement actif. Afin de véhiculer le mantra musulman, tout est dans le Coran et seul le Prophète doit servir d’exemple. Corruption morale et certainement pécunière de quelques élus, intellectuels, éditorialistes et experts en orthodoxie libérale et bons clients de médias de plus en plus à vocation commerciale. La presse, la TV et même internet, aujourd’hui sont plus soucieuses de retombées publicitaires que de fournir une vraie information.
Et depuis des années.
Aujourd’hui, nos décideurs, ceux qui ont en théorie et le pouvoir et les moyens de riposter sont dans le déni.
Par conséquent, ils laissent s’installer chez nos hôtes musulmans l’islamisme, surtout chez ses jeunes. Qui sont manipulables comme le sont tous les jeunes, et ce d’autant plus fragiles et crédules quand ils sont en crise.
Erdogan, qui est un frère musulman, et aussi profondément nostalgique de l’empire Ottoman aujourd’hui par exemple, abat cyniquement ses cartes.
C’est un islamiste de la pire espèce et certainement un commanditaire des terroristes.
Le plus navrant, c’est que les musulmans qui vivent chez nous, ont souvent fuit un pays où l’Islam comme société, et la charia comme loi, ne leur proposait que la soumission et la misère. L’ignorance crasse et le servage à des blaireaux pires que les plus abominables de nos aristocrates du moyen âge.
Et aujourd’hui ils veulent nous imposer ce type de société dont ils ont été eux-mêmes déjà victimes.
Même le plus modéré des musulmans aujourd’hui, n’arrive pas à admettre que momo et le bouquin, c’est bidon. Que faire comme exigé lors du ramadan, de ne pas manger et surtout de ne pas boire en pleine canicule, c’est néfaste.
Mais…
De mon point de vue, en France, les français de souche l’ont maintenant bien compris.
Malheureusement, pas encore leurs dirigeants.
L’Europe en particuliers, aussi. l’Allemagne de Merkel encore moins.
Mais pas les allemands.
Comme la plupart des peuples non musulmans.
Pour être clair, nos gouvernements refusent de nous laisser riposter, et de reprendre l’avantage militaire dans cette guerre. Jusqu’à combien de morts parmi la population ?
Je ne sais pas.
Votre solution concernant les fichés S serait plutôt du pain bénit pour les islamistes, qu’efficace. Vous pouvez être fiché S rien que pour avoir salué un islamiste, ou être son cousin lointain.
A la rigueur, proposer aux femmes voilées une formation de pilote de drones, leur offrir à chaque barbus pulvérisés une journée de « shooping » avec carte de crédit illimitée chez Harrod’s et je suis sûr qu’en moins d’un mois, nous n’aurions plus que des vapeurs de « djihadistes « dans la couche d’ozone.
Si on les sélectionne bien, ça pourrait marcher et cette superstition hystérique serait assez vite oubliée. Et ça ne coûterait pas tellement cher, au final.
Une autre façons des plus pacifiques pour en finir avec ces énergumènes, viendrait du Vatican.
Que François annonce Urbi et Orbi que contrairement à ce que Nietsche prétendait, en affirmant « Dieu est mort ! »,
-« Que Dieu ne peut pas mourir parce que Dieu n’a jamais existé. »
Je ne vous dit pas le bazar qu’il mettait chez tous les monothéistes.
A Patoucha
« Vous en connaissez beaucoup vous, qui laisseraient le travail de leur vie - ne serait-ce que pour témoigner.......? - contre ceux qui l’emploient!? »
Non.
Pas beaucoup, surtout dans un pays comme le nôtre qui ne protège pas les lanceurs d’alertes.
Seulement je tiens quand même à souligner, que la mission de Monsieur Obin était de protéger les enseignants et non de faire plaisir à sa hiérarchie.
Les hauts fonctionnaires de l’état français ont d’énormes avantages sur le commun des mortels. Ils se recasent très aisément dans le privé. Et pour atteindre ces situation, il faut être un sacré bon lêche- bottes.
La carrière de Monsieur Jobin le démontre bien.
C’est un choix de vie que je ne juge pas. Néanmoins, je trouve ce Monsieur un peu opportuniste plus que sincère avec son livre.
Les héros ce sont les enseignants qui doivent en plus des difficultés de leur travail subir leur administration.