Un vaste centre, pionnier des traitement de la dysphorie de genre chez les mineurs, doit fermer. Les reproches: sectarisme, problèmes scientifiques, risques pour la santé mentale des enfants, etc.
La folie trans, notamment des mineurs, reçoit parfois un coup de frein salutaire. Témoin l’annonce par le service de santé du Royaume-Uni (NHS) de la fermeture du «Gender Identity Development Service» surnommé «Tavistock». C’était la plus grande clinique pédiatrique du monde spécialisée dans la dysphorie de genre de mineurs (enfants confrontés à des troubles de l’identité sexuelle). Elle traitait des milliers de patients.
Récemment, la Finlande et la Suède sont aussi revenues de leur activisme pionnier sur le sujet.
Le réveil du service de santé britannique fait suite à diverses polémiques, dont la dénonciation en justice de Keira Bell victime dès 14 ans de bloqueurs de puberté et d’injection d’hormones sans le moindre diagnostic sérieux, et d’ablation des seins.
Les constats du Docteur Hilary Cass, mandaté pour une évaluation du centre londonien, sont effrayants, mais en fait pas étonnants: délivrance systématique de bloqueurs de puberté et d’hormones à des moins de 16 ans sans «aucune tentative d'examiner d'autres facteurs affectant le bien-être mental» et «refus de suivre les effets de ces traitements». Plusieurs voix dissidentes de hauts cadres ont conduit à des licenciements. Le Dr Cass a conclu que le modèle appliqué, fondé sur l'affirmation du genre (je me sens fille donc je le suis et inversement) n’est «pas une option sûre ou viable à long terme» et souligne l’absence de données sûres. Le danger de soumettre les jeunes à des risques pour leur santé mentale n’est pas le moindre des problèmes.
Vaud choisit le sectarisme
L’Association pour une approche mesurée des questionnements de genre chez les jeunes (AMQG), sise à Genève, a publié un communiqué. Elle rappelle que depuis sa création, elle «se fait l'écho des préoccupations soulevées par le Dr Cass» et espère que cette décision conduise à une réflexion de fond en Suisse, et à la mise en place d’une prise en charge prudente des jeunes.
Le canton de Vaud, lorsqu’il a décidé de se lancer dans le repérage intensif des dysphories de genre dans ses écoles s’est s'est associé avec l’association Agnodice. Celle-ci n’a pas opté pour la moindre discussion, mais a longuement démoli l’AMQG: «L’accompagnement transaffirmatif des jeunes est actuellement attaqué par une nouvelle association genevoise.» Pour ses animatrices, tout est limpide: «attaquer refuser ou retarder des interventions médicales nécessaires aux jeunes peut prolonger leur souffrance de genre et faire émerger ou aggraver une détresse psychiatrique.» Leur pratique comme leur idéologie correspondent à celles du Tavistock londonien.
Plongés dans le sectarisme, ces idéologues sont prompts à taxer de transphobie toute divergence.
On espère sans trop y croire que la Suisse complétement embarquée dans cette folie reviendra à des initiatives plus réfléchies, notamment pour les mineurs.
Depuis le 1er janvier 2022, n’importe quel résident peut demander, avec l’accord jusqu’à 16 ans, à changer de sexe et de prénom à l’état civil. Aucune condition n’est requise. Quelque 350 personnes l’ont déjà fait.
La France connait aussi une augmentation impressionnante des demandes de changement de sexe. Et ce n’est pas l'annonce par Élisabeth Borne d’une prochaine nomination d'un «ambassadeur aux droits LGBT+» qui a de quoi rassurer.
https://www.bvoltaire.fr/enfants-trans-le-royaume-uni-fait-marche-arriere-pas-la-france
Commentaires
Jusqu’à maintenant le plus grand problème que je voyais était l’islamisation rampante et surtout l’excuse de tout pardonner et permettre aux adeptes de l’islam…
Maintenant on a toutes les histoires de transgenre qui sont venues se greffer et qui conduisent à occulter les autres problèmes, nettement plus importants.
Que se passe-t-il dans le monde occidental ? Est-ce que le trop-bien-vivre a rendu les gens fous ?
Je vous recommande les vidéos d'un certain Matt Walsh sur YouTube. C'est un journaliste/chroniqueur américain, catholique et conservateur, qui démolit toute l'idl'idéologie trans, gender fluid etc ...avec une ironie et un sarcasme dévastateurs.
P.ex. Les trans et autres féministres radicales nous disent que ce ne sont pas les seins qui font une femme, quiconque qui s'identifie à une femme peut se dire femme (et entrer dans les vestiaires des femmes à la piscine ou au fitness). Ce n'est pas le pénis qui fait l'homme, quiconque s'identifie et c.... Mais alors pourqoui se faire ajouter de faux seins ? Pourquoi se faire arracher des morceaux de muscle au bras ou à la cuisse pour se faire fabriquer un faux pénis ?
PS. On n'arrive pas à voir ce qu'on tape ....J'écris totalement à l'aveuzgle
Pour ceux qui voudraient savoir ce qui se cache derrière cette propagande pro LGBT et trans outrancière que nous et nos enfants subissons 24h sur 24, je vous conseille cette excellente émission qui vous fera comprendre que tout cela n'est qu'un élément d'un grand plan d'ingénierie sociale au profit d'une toute petite minorité de mondialistes ultra riches et puissants pour instaurer la grande réinitialisation de notre société.
https://rumble.com/v17fi4n-le-mois-de-la-firt-et-lingnierie-sociale-mondialiste..html
Il y a probablement surtout un immense lobby pharmaceutique derrière tout ça.
Où sont donc tous les anti-Covid, qui étaient si virulents contre Big Pharma ?
Bien sûr, Arnica, qu'il y a aussi le lobby pharmaceutique, mais ce n'est pas du tout la raison première. Ecoutez les vidéos et vous verrez.
Et voici un exemple de propagande abjecte au jardin d'enfants:
"Le ministère de l'Éducation de Californie recommande aux élèves de maternelle des livres faisant la promotion des transitions de genre
Les livres recommandés faisaient partie des "programmes et ressources" du département californien de l'éducation sur son site web."
https://www.foxnews.com/media/california-department-of-education-advocates-books-promoting-gender-transitions-kindergartners
En effet, on ne voit (presque) pas ce qu'on écrit car les lettres sont blanches sur un fond très pâle. Mais si vous cliquez hors de l'encadré, l'écriture apparaît en noir. Vous pouvez donc contrôler avant d'envoyer.